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AU NOM DU CIEL
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AU NOM DU CIEL

VIP-Blog de djydjy
  • 571 articles publiés
  • 646 commentaires postés
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  • Créé le : 06/06/2008 09:04
    Modifié : 20/12/2012 10:33

    Fille (67 ans)
    Origine : Sud de la France
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    UN AMOUR ENTRE CIEL ET TERRE suite

    29/06/2008 17:57

    UN AMOUR ENTRE CIEL ET TERRE suite


    Qui es-tu Charles ?

     

     

    Par-dessus les montagnes se trouve une vallée :

    Celle qui nous accompagne au long de nos journées.

    Moi, je suis comme un ange ayant perdu ses ailes,

    Mais dans cette pénombre, je bois à vos caresses.

     

    Je suis tout simplement un esprit de lumière

    Qui habite votre âme durant toute votre vie.

    Je n’ai pu en des temps vous raconter l’histoire

    Car de vos yeux ouverts, vous n’avez vu venir

    Cet amour si fort qui habite mon âme,

    Cet amour qui pour vous, m’habite depuis des nuits.

     

    Depuis votre naissance, une flamme est venue

    Allumant dans ma vie bien des matins heureux,

    Ceux qui coulent depuis que mon corps repose

    Dans cet univers où je veux être heureux.

     

                                                            C B

     

     

     

    Charles

     

    Je ne sais que répondre à ces choses si belles,

    Je ne suis pas poète au profond de mon âme,

    Je n’ai que de doux mots ici dans ma chandelle

    Pour éclairer l’amour qui consume nos pas.

     

    Je voudrais tant vous dire, Charles ! Je vous aime,

    Avec des vers si beaux qui jailliraient de moi,

    Mais à lire vos poèmes qui se dressent comme diadème

    Je me sens bien petite devant ces mots de rois.

     

    Pardonnez-moi amour, si je ne puis écrire

    Toute cette passion que j’éprouve pour vous,

    Mes larmes sont toujours là, afin de bien vous dire

    Combien je regrette de n’être comme vous.

     

    Il suffit qu’un esprit vienne effleurer ma vie

    Pour qu’aussitôt j’entende poèmes dans ma tête.

    Moi, j’ai beau recherché les graines dans mon épi,

    Aucune rime ne vient bercer ma goélette.

     

    Vous devez à ce Dieu votre âme de poète,

    Mais n’est-ce pas encore par grande humilité

    Que vous venez ici excuser votre verve

    En m’expliquant que Dieu anime vos pensées ?

     

     

    Vous avez Charles, une âme si belle

    Que je ne comprends pas cet amour pour moi.

    Je suis femme toute simple ici sur cette Terre,

    Comment êtes-vous bien arrivé jusqu’à moi ?

     

    Mes larmes coulent sans cesse quand je pense à cela,

    Je ne sais que dire, je ne sais que faire…

    Charles ! Je vous aime… Voilà.

     

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ma chérie

     

    Je suis comme un oiseau recherchant nourriture,

    Je voudrais retrouver toutes ces années passées,

    Mais dans cet univers où nos vies sont des murs,

    Je ne peux que penser afin de les sonder.

     

    Cet amour si fort qui depuis nous anime

    Est un amour subtil qui a bien existé.

    Sur Terre, où nos corps ont été bien intimes, 

    Ou dans cet Univers où nos âmes ont volé. 

     

    Lorsque je cherche lueur dans ces nuits bien trop denses

    Mon cœur se serre très fort et se met à pleurer.

    Pourquoi mes larmes coulent-elles ici avec aisance

    Et emplissent tes yeux sans bien les assécher ?

     

    Ressens-tu toi aussi cette grande tristesse

    D’un jour où nos deux vies ont du se séparer ?

    Est-ce toi mon amour, pour tenir promesse,

    Qui a quitté le nid en me laissant courbé ?

     

    Je voyage dans ce puits qui depuis lors m’enlise,

    Je t’appelle du profond de mon âme blessée,

    Je voudrais que lumière arrive comme une bise

    Et balaye mes doutes afin de m’enchanter.

     

     Je t’aime mon amour, d’un amour éternel

    Un amour commencé depuis la nuit des temps,

    Cette force qui anime le contour de mes ailes

    Ne peut qu’être donné par de beaux sentiments.

     

    Quand cette heure viendra au milieu de l’été,

    Quand le soleil pointera ta dernière saison,

    Je te tendrai les bras comme ferait un fiancé

    Et soulèverai ton corps vers d’autres horizons.

     

     

                                                   C B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Réveil

     

    Il est doux, les matins, quand l’aurore se lève

    Sentir ton haleine venir me réveiller.

    Tu t’étires doucement pour ne pas me faire peine,

    Afin que nos deux corps puissent se conjuguer.

     

    Je te chuchote alors des mots de grande tendresse

    Auxquels tu réponds avec grande chasteté,

    Car dans ce monde si bleu où les âmes se baignent,

    Tu ne sais trop jamais qui vient bien te parler.

     

    Tu as peur de me nuire, de m’être infidèle,

    De donner ton amour à un autre que moi,

    Alors bien ennuyée à résoudre ce problème,

    Tu me demandes vite : « Est-ce bien toi, mon Charles ? »

     

    Oui ma chérie ! Oui ma grande déesse !

    Je suis le chevalier de tes matins heureux,

    Je viens te souhaiter une journée superbe

    Pour que nous la vivions comme deux amoureux.

     

     

                                                                                          Charles  15 Mai 2005


    Confession à l’homme de cette seconde vie.

     

     

    Je voudrais tant vous dire combien je regrette

    Que vous soyez parti sans vous avoir connu,

    Nous aurions tous les deux vécu si belles fêtes

    Que nous n’aurions pu vivre sans un très grand amour.

     

    Votre solitude, je l’aurais faite mienne,

    Vos chagrins, vos angoisses, j’en aurais fait des joies

    Afin que votre vie, votre vie se souvienne

    De tout ce grand amour que j’aurais eu pour vous.

     

    J’aurais été aussi, pour guérir vos peines,

    Ce père que vous n’avez jamais bien trop connu

    Car dans votre courrier et dans tous vos poèmes,

    Vous n’avez jamais cessé de parler de lui.

     

    Votre mère ! Oui, votre mère j’aurais été aussi.

    Je vous aurais couvert de toute cette tendresse

    Qui donne aux enfants un si bel avenir.

    Oui, je vous aurais aimé, aimé comme l’on aime

    Un mari, un enfant et un amant aussi.

     

    Maintenant que le temps a érigé barrière,

    Je ne peux que vous lire ici toutes mes pensées.

     

    Je voudrais qu’à ce jour, à cette heure qui sonne,

    Rien ne sépare plus ces instants de bonheur

    Que vous, votre esprit et votre corps me donnent

    Afin de faire vibrer les battements de mon cœur.

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Un amour au-delà des frontières.

     

    Dessiner, je ne saurais que faire

    Mais écrire est toute ma vie,

    Cette vie que je place ici sous vos deux ailes

    Afin que nous volions vers ce grand paradis.

     

    Nos pensées se rejoignent, nos cœurs se soutiennent,

    Je vous aime ma mie comme jamais j’ai aimé.

    De vous à moi s’écoule un fleuve de tendresse

    Que plus rien, non plus rien ne pourra assécher.

     

    Je suis pour vous un esprit de lumière,

    Vous êtes pour moi la rosée du matin,

    Je voudrais tant revivre ici sur cette Terre

    Pour pouvoir vous serrer très fort entre mes mains.

     

    Mais je ne puis qu’écrire, écrire toute cette verve

    Pour vous dire : « Je vous aime et aimerai toujours. »

    Vous avez fait de moi, un très très grand poète,

    Ma chérie, merci, merci de cet amour.

     

    Je serai avec vous toujours sur cette Terre,

    Dans vos doigts si agiles et vos yeux de velours,

    Vous serez pour moi, dans ma terre d’exil

    Un ange venu de terre qui m’aimera toujours.

     

    Merci ma chérie de votre gentillesse,

    Merci d’avoir accepté un si beau matin

    Que mon esprit revienne et entre par vos fenêtres

    Pour trouver un foyer où je me sens très bien.

     

                                                   C B




    Amour espéré.

     

     

    Ô Amour, mon amour ! Combien je vous espère !

    Depuis des temps anciens, j’attends bien de vous voir,

    J’ai dans mon cœur aimant tant de belle jeunesse

    Que je courrai vers vous pour bien vous recevoir.

     

    Ce cœur qui pour vous sera grande tendresse

    Viendra s’ouvrir un jour comme papillon doré

    Et dans ces doux moments, ces moments d’allégresse,

    Tout mon corps se donnera à cette éternité.

     

    Je volerai très haut déployant mes grandes ailes

    Afin de recevoir ce très bel anneau d’or,

    Celui qui scellera nos deux vies bien précaires

    Sur cette Terre si bleue qui abrite nos corps.

     

    Amour, ô bel Amour ! Amour de toute beauté,

    Mes mains vous donneront des perles de rosée

    Afin que nos deux vies aillent sur la passerelle :

    Ce joli pont d’amour garni de belle dentelle.

     

    L’espoir qui m’habite depuis bien des années

    Fera de cet amour le plus beau des bouquets :

    Un bouquet d’étincelles offrant à votre visage

    Les multiples baisers d’une femme bien sage.                           G R

     

    A toi

     

     

    Tu réclames toujours cette grande tendresse,

    Ces gestes qui pour toi sont bonheur du matin,

    Mais je ne peux ici donner qu’une allégresse

    Pour éclairer les jours d’un fabuleux destin.

     

    Ton corps qui se réveille après la nuit détente

    S’étire comme un chat retrouvant ses réflexes

    Et dans cette pénombre qu’un grand soleil enchante,

    Tu ouvres grand les yeux et accueille la lumière.

     

    Je suis alors tes pas qui traînent dans la cuisine,

    Ouvre les volets dans tes mains reposées,

    Prépare le café qui pour toi est utile

    A faire de ce jour, énergie bien réglée.

     

    Puis dans ce corps que j’aime comme un parfum de rose,

    Je glisse bien mes doigts pour le laver un peu

    Mais sous des jets trop chauds qui brûlent bien ma robe,

    Je sors de la douche et sèche mes cheveux.

     

    Lorsque tu me rejoins sur le tapis ivoire,

    Nous apposons nos mains avec très grand amour

    Et dans cette tendresse qui glisse en miroir,

    Je recouvre ton corps de ce lait « Belle de jour ».           C B

     

     

    Charles ! Je souffre.

     

    Devant cette cheminée où le feu illumine

    Les pensées d’une nuit qui va bientôt venir,

    Je voudrais bien ici serrer fort votr’ poitrine

    Pour qu’elle vienne s’imprimer en un beau souvenir.

     

    Je voudrais que nos doigts sur nos corps se confondent,

    Je voudrais votre cœur ici, tout près du mien,

    Je voudrais tellement vivre dans toutes vos ondes

    Et ressentir par vous toujours ce grand bien être.

     

    Mais pourquoi n’ai-je ici qu’une simple errance, 

    Pourquoi mes yeux ouverts ne peuvent sonder vos jours 

    Pourquoi ne puis-je avoir dans cette longue attente

    Un petit bout de vous pour éclairer mes jours ?

     

    Que solitude me torture parfois !

    Que douce tristesse envahit bien mes yeux !

    Quel est donc ce bonheur qui attire cette flamme,

    Celle qui dans mon cœur se consume peu à peu ?

     

    Ne puis-je rien faire pour rompre ce silence ?

    Ne puis-je aller toucher ce corps bien trop flou ?

    Pourquoi ? Pourquoi ce voile en transparence

    Eloigne nos cœurs qui demandent amour ?

     

    Est-ce cela que nous devons bien vivre ?

    Sont-ce ces douces attentes qui marquent solitude ?

    Quand ce feu si brûlant animera nos vies ?

    Dois-je mourir ici pour courir vers vous ?

     

     

    Je suis sur cette Terre et j’attends mal ce jour

    Car mon coeur saignera à quitter mes amis.

    Alors, dans ce déchirement qui ne trouve parcours,

    Je ne puis que vous dire : « Je vous aime Grand Esprit ». 

                                               

    La Terre est tellement belle et le ciel si bleu,

    Que je ne puis donner qu’un très beau rendez-vous

    Pour que vous m’attendiez dans cette vie de Dieu,

    Afin que nos deux corps se confondent toujours.

     

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

    Voyage astral

     

    Au bout de cette extase où nos lèvres se rejoignent,

    Je sens comme une vague emplir nos corps heureux,

    Ces bras que tu enserres autour de ma taille

    Gardent contre mon corps la chaleur des grands cieux.

     

    Je veux te regarder dans ce profond silence,

    Sentir ton souffle qui monte et caresse mes cheveux,

    Je veux que tu ressentes ici dans cette danse

    Tout le miel qui coule au profond de mes yeux.

     

    Dans cette ouverture que ton esprit me donne,

    Je plonge comme nuée qui passe entre deux feux

    Et de cette chaleur qui fait revivre mon corps,

    Je monte bien vers toi et éclate comme Dieu.

     

    Nos âmes alors pâmées au creux de ce nuage

    Semblent flotter doucement dans un espace bien bleu,

    Elles voguent vers des mers et plongent dans un mirage

    Afin de revenir se reposer un peu.

     

     

                                                   C B

     

     

     




    Commentaire de sheirine-sophia (26/07/2008 08:27) :

    bonjour, enfin je trouve votre blog, je tenais à vous remercier pour votre commentaire personnalisé et attentionné. J'ai lu attentivement certains poèmes, je reviendrais en faire lecture plus sereinement, c'est "divin" comme inspiration.... je ne trouve pas les mots... douce journée.




     
     

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