Acte IV
Après des mois de bonheur intense où tu m’as peu à peu initiée, tu m’as dit « Ma chérie, assied-toi, je dois te parler. »
Oui Père ai-je répondu, et là dans mon jardin où les oiseaux gazouillent, tu m’as dit :
« Mon oiseau, il est grand temps de s’occuper de cette humanité. La terre est en déclin, les hommes prennent grande folie, les enfants n’ont plus de repères et les progrès constants qui animent votre vie sont les signes certains d’une longue agonie. Je ne dis pas que celle-ci sera pour demain, mais vous devez bien vite vous ressaisir car la nature si belle reprend grande vitesse, comme celle qui m’a fait perdre mon plus beau paradis. Comme l’aveugle qui court pour trouver la lumière, remettez-vous bien vite à tâter vos sentiers, arrêtez ces folies qui détruisent la terre et donnez-vous la main pour la repartager. Dis à tous ces hommes qui habitent cette terre que moi, berger ou jardinier, je n’ai besoin d’aucune de vos prières simplement je réclame de l’amour, un grand amour qui m’a fait naître au fond de ce trou noir que j’ai vite éclairé.
Merci à toi qui enchantes mes jours, merci pour ces conseils que ton cœur nous donne, je te fais la promesse de passer ce message et de faire bouger le grand cœur des hommes.
Georgy ROD (médium depuis le 27 avril 2002)
Ecrit le 07 07 2007