XII
Des oreilles à l’écoute
Dans ce monde où tout revêt sonorité, il est des oreilles qui savent se préserver de toutes ces mauvaises langues qui avalent leur salive en prétendant que Dieu n’existe pas. Dans ces oreilles, où le son de l’âme résonne, la lumière atteindra les sphères de nos cœurs. Nous sommes reconnaissants à ces êtres de Terre de bien nous écouter et nous faire confiance.
Sur cette planète si grande pour vous et si petite pourtant, nous nous plaisons à voir tous vos agissements. De ces femmes et ces hommes qui gardent dans leur âme toute cette bonté pour leurs frères d’infortune, montera dans ce siècle une grande lumière qui étonnera tout un petit monde.
Ces « fous » comme les autres les appellent, ces malades des nerfs, ces grands déprimés, viendront dans peu de temps montrer à tous ces êtres que si fous ils étaient, ils sont arrivés à bien discerner la sagesse de Dieu de la folie des hommes. Car eux, « fous de ce siècle », ont bien compris que l’heure étaient à la préparation de reconstruire ce monde qui perdait fort la boule.
L’heure se précipite. Partout nous voyons grands feux de forêts mais aussi feux du cœur. Car dans cette folie, l’homme ne contrôle plus les degrés de sa haine. La désolation couvre le sol, et il ne reste plus place pour la Paix.
Alors, pendant que ces vrais fous ratissent les sols, eux les fous aux oreilles tendues vers cet Univers qui leur crie « Gare ! », essaient dans leur propre univers de terriens de créer une chaîne pour que Grande Paix se fasse. Mais écouteront-ils, ces humains trop pressés de remplir leurs valises avant le grand départ ? On a beau leur jouer « Titanic », ils continuent à croire que le paquebot suivra son chenal sans se préoccuper des écueils.
Vous êtes encore à faire des projets de voyage ! Mais savez-vous humains, que gratuité vous sera donnée car ce ne sera plus vous qui iraient vers vos destinations, mais bien elles qui viendront vers vous.
Ah ! Nostradamus était un grand fou ! Et plus prés de vous Georgy, une malade ! Nous verrons bien amis qui ira la soigner. Elle a dans notre cœur, gagné tant de confiance que nous lui promettons des temps très heureux. Des temps de grande folie où nous mettrons un « s » car de cette sœur confiante en l’avenir, viendra un âge d’or, un âge plein de lumière pour elle, ses enfants et ceux qui l’auront suivie.
Partie sur des bases éclairées par ses frères et ses sœurs célestes dont elle s’est faite amis, elle aidera la construction d’un monde, un monde de lumière au milieu de la mer dont elle est issue.
Que diront-ils ces fous qui ne feront pas partie de ce nouvel âge ? Que diront-ils, eux, qui de là-haut, ont raté le sauvetage ? Nous, nous le savons. Ils répéteront en chœur ; « Pourquoi notre folie s’est-elle étendue à tout notre équipage ? N’aurions –nous pas pu en sauver quelques-uns . Et non frères ! Vos yeux étaient bien trop sales, vous ne pouviez lire l’ordonnance. Certains d’entre vous, avant de traverser le voile, ont bien vu qu’ils s’étaient trompés mais réflexion, était bien trop tardive ! Il fallait bien y penser.
Mais n’ayez pas de rancœur, ici, dans l’Univers où il a fallu apprendre ce que Dieu voulait, nous sommes bien en mesure maintenant de vous le répéter. Nous vous attendons donc, ici, dans les basses sphères pour un très bel enseignement, celui que Georgy se proposait de faire là-bas en ces temps. Nous lui avions données nombreuses leçons, mais apparemment, vos oreilles n’ont pas voulues recevoir les sujets. Que dire, que faire ? dirait cette maitresse pour enseigner ces mauvais élèves ? La méthode est bien simple : faisons du bachotage pendant de nombreux siècles et leçons difficiles porteront leurs fruits : les fruits que notre Père s’il le désire, pourra remettre sur Terre pour refaire son Paradis.
Cette histoire vous semble utopique ! Croyez-nous terriens, nous ne parlons jamais sans en avoir fait expériences. Et malheureusement expériences avons faits. C’est donc en esprits avertis et expérimentés que nous vous parlons.
Comme nous disons toujours : Il y a là que messages, faîtes-en ce que bon vous semble.