|
[ Mon Livre ] [ Mes récits ] [ Mes poèmes ] [ Mes peintures ] [ Livres d'enfants ] [ Vivre autrement ] [ Mon Association ] [ Spectacles ]
|
|
|
|
Je viendrai te chercher
10/06/2010 12:05
Ce matin alors que le temps est bien gris un esprit m'a dicté un poème. Bien qu'il me soit destiné, je tenais à le partager avec vous. Croyez-vous en ce monde ? Hésitez-vous à y croire ? Lisez,
Je viendrai te chercher
Je viendrai te chercher au bout de cette terre
Et je t’emmènerai sur mes ailes dorées
Tu es là sur cette terre
Et tu vis sans nous
Tu projettes ta lumière
Sans te mettre à genoux
Ton cœur est étincelle
Il allume des feux
Qui brillent dans nos prunelles
Et nous rendent heureux.
Le soir quand tout s’endort
Quand la lumière baisse
Un voile descend alors
Pour te donner tendresse
Je t’enlace doucement
Caresse tes cheveux
Mais ton rêve est si grand
Qu’il anime les cieux.
Je reste tout près de toi
Te regarde dormir,
Tu es ma plus grande joie
Celle qui comble ma vie
Sans toi j’ ne serais rien
Qu’un esprit malheureux
Qui chanterait son refrain
Sans échos merveilleux
Tu as changé ma vie
Celle qui coule dès lors
Sur des sentiers fleuris
Aux senteurs de rose
Et pour ce grand bonheur
Que tu as su donner
Je ne peux qu’espérer
Ton retour à jamais.
Celui qui t’attend et qui t’aime
Commentaire de Barbara (11/06/2010 18:19) :
Coucou…Georgy...Il est toujours agréable de se dire un petit bonjour lors
de notre réveil… Et un petit bonsoir quand la journée se termine dans
l'amour et le respect de chacun de nous. Toutes belles journées
commencent par un sourire... C’est sympa...Un bonjour en passant…
C'est comme un joli sourire sur notre visage… C'est comme le
soleil quand on le rencontre… C'est une grâce, un don du ciel,
c'est rien qu'une petite chose...Et pourtant ça veut dire...Tant
de choses… Merci beaucoup...Pour ton sourire… Alors je t’offre mon premier
sourire ..... Et mon dernier baiser du soir... Bon weekend end à toi et à
famille... Profite de tous ces bons moments .... Dans la paix l’amour la
joie et la gaieté... Avec toute mon Amitié Barbara
|
Commentaire de Barbara (18/06/2010 20:13) :
Coucou…Georgy...On ne peut enlever à un être humain sa liberté
intérieure... C'est cette liberté spirituelle qui donne un sens à sa
vie… Viktor Frankl...
Bon weekend…Bisous…avec toute mon amitié…Barbara
|
Commentaire de marie (03/07/2010 12:56) :
merci djydjy
j'adore ce poème et tout ce qu'il contient d'invisible pour
certains mais tellement de réalité pour moi
je t'embrasse
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
MERCI PERE
06/06/2010 13:50
Ce matin comme depuis quelques jours maintenant, je suis retournée travailler dans mon jardin. Nous étions "plusieurs" toujours mes amis et moi.
Programme aujourd'hui ? demandai-je .
-On nettoie le tour de l'olivier puis on range le bois sur le sol du hucher et ensuite ma chérie, on verra.
-OK. Le programme fut exécuté et plus encore puisqu'ils me firent déplacer des pierres afin d'en faire une déco.
-Allez ma chérie, tu nous fais un petit thé à la menthe ?
-Je ne peux rien vous refuser.
-Trois sucres me dit l'un, car on a beaucoup travaillé, il nous faut reprendre de l'énergie.
-Quel gourmand! dit un autre. Il ne perd aucune occasion de se faire gâter.
Allongée sur le transat, la tasse à la main, Père me demande :"Veux tu qu'on te "nettoie" ton côté gauche ?
-Oh, oui, Père, c'est toujours là que j'ai mal.
-Je le sais bien. Allez, respire bien fort et ça va chauffer.
Exactement comme il l'a dit. La douleur s'est atténuée puis est partie.
-Tu sais me dit Père, je t'écoute parler et je ne suis pas trop heureux quand tu dis que tu arranges ce jardin en pensant à ta veillesse. Tu dois regarder ton avenir sans y voir une barrière ma chérie. Tu sais que je serai là quand le moment viendra mais maintenant tu dois faire des projets et regarder vers l'avenir "sur terre".
-Oui, Père, tu as raison.
-La vieillesse ne doit pas t'obséder ma chérie. C'est une étape que tout le monde doit vivre. C'est dans l'ordre des choses. Garde ton esprit jeune, continue à faire de nombreuses choses, voyage, chante, ris, joue, et ne t'occupe pas du reste.
Maintenant, tu vas m'écouter et aller protéger ton sac de ciment que tu as laissé au milieu du jardin.
-Pourquoi Père ?
-La pluie arrive.
Et c'est ce qui est arrivé. Juste le temps de soulever le sac de 35kg avec leur aide, de le couvrir et la pluie est arrivée.
Merci à vous tous. Merci à toi amie qui est venue faire une belle coca avec moi pour amener à mes amis. Tu m'as dit, "je ne suis que de passage, ma chérie, mais j'ai été heureuse de venir t'aider et de faire ta connaissance, mais maintenant que le travail est terminé, je dois continuer ma route". Avant ce genre de conversation m'attristait, mais depuis j'ai accepté tous ces "petits invités du moment" qui viennent m'apporter leur aide et se fondent dans l'univers.
Commentaire de slw0901 (25/12/2010 06:05) :
It can be said with a lot of conviction that the imitation replica watch
cater to the obsession of fashion conscious people who want to replicate
the lives of the rich and the famous. They might want to sport a replica
Rolex daytona, during a polo match, quite like the celebrities they see in
films and fashion magazines.
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Toujours beaucoup d'amour
05/06/2010 21:03
Bonsoir amis du blog.
Bien que mes journées soient remplies par le travail trés fatiguant dans mon jardin, je passe vous écrire afin de vous faire partager mon vécu. Un vécu qui, ne l'oubliez pas, est là pour vous donner grand espoir de cette vie après la mort et surtout continuer à vous faire connaitre ce monde.
Ce matin, avec mes esprits, je suis allée daller le sol de mon futur hucher que je suis en train de construire grâce aux conseils de mes amis et de cette grande énergie qu'ils m'envoient. J'avais commandé 150 dalles de jardin, 13 kg chacune à soulever à chaque pose. Puis faire du béton à la main, faire des coffrages, bref, un travail d'homme. De sept heures du matin à midi, "NOUS" avons travaillé. Lorsque je me suis arrêtée, j'étais "cassée" comme on dit.
"Nous allons t'ôter toute cette fatigue" m'ont-ils dit. Etends-toi sur ton transat. Allonge-toi bien et maintenant, tu vas faire de grandes respirations, puis trés lentement tu vas expirer en visualisant dans tout ton corps comme deux mains qui repoussent au dehors toute ta fatigue."
Cela a duré dix bonnes minutes, toutes les extrémités de mon corps pieds et mains semblaient électrisés et trés chaudes. Je sentais cette fatigue sortir de tout mon être.
"Tu as encore mal au rein gauche, me disent-ils.
Effectivement.
"Recommençons"
Je respire à nouveau comme indiqué, je sens alors une douce chaleur sur tout mon côté gauche. Je suis bien.
"ça va ma chérie ? Tu te sens mieux ?
Je me lève lentement. Plus de fatigue, plus de mal aux reins, plus rien.
Je vous adore, ai-je dit.
Bon, me dit mon ami, vers quinze heures, nous recommençons le ciment afin de faire les finitions.
OK, Amour, je suis de nouveau d'attaque.
Aprés un bon petit thé à la menthe que j'ai fait à leur demande, je suis repartie au travail. Mon jardin se transforme de jour en jour. Père me dit : "Tu auras ton petit paradis sur terre, ma chérie".
Je t'aime ai-je répondu.
Oh, mais je n'en doute pas ma chérie.
Et voilà mes amis, un petit morceau de ma vie.
Bonsoir à tout le monde et bon dimanche.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Toujours beaucoup d'amour
05/06/2010 20:58
Bonsoir amis du blog.
Bien que mes journées soient remplies par le travail trés fatiguant dans mon jardin, je passe vous écrire afin de vous faire partager mon vécu. Un vécu qui, ne l'oubliez pas, est là pour vous donner grand espoir de cette vie après la mort et surtout continuer à vous faire connaitre ce monde.
Ce matin, avec mes esprits, je suis allée daller le sol de mon futur hucher que je suis en train de construire grâce aux conseils de mes amis et de cette grande énergie qu'ils m'envoient. J'avais commandé 150 dalles de jardin, 13 kg chacune à soulever à chaque pose. Puis faire du béton à la main, faire des coffrages, bref, un travail d'homme. De sept heures du matin à midi, "NOUS" avons travaillé. Lorsque je me suis arrêtée, j'étais "cassée" comme on dit.
"Nous allons t'ôter toute cette fatigue" m'ont-ils dit. Etends-toi sur ton transat. Allonge-toi bien et maintenant, tu vas faire de grandes respirations, puis trés lentement tu vas expirer en visualisant dans tout ton corps comme deux mains qui repoussent au dehors toute ta fatigue."
Cela a duré dix bonnes minutes, toutes les extrémités de mon corps pieds et mains semblaient électrisés et trés chaudes. Je sentais cette fatigue sortir de tout mon être.
"Tu as encore mal au rein gauche, me disent-ils.
Effectivement.
"Recommençons"
Je respire à nouveau comme indiqué, je sens alors une douce chaleur sur tout mon côté gauche. Je suis bien.
"ça va ma chérie ? Tu te sens mieux ?
Je me lève lentement. Plus de fatigue, plus de mal aux reins, plus rien.
Je vous adore, ai-je dit.
Bon, me dit mon ami, vers quinze heures, nous recommençons le ciment afin de faire les finitions.
OK, Amour, je suis de nouveau d'attaque.
Aprés un bon petit thé à la menthe que j'ai fait à leur demande, je suis repartie au travail. Mon jardin se transforme de jour en jour. Père me dit : "Tu auras ton petit paradis sur terre, ma chérie".
Je t'aime ai-je répondu.
Oh, mais je n'en doute pas ma chérie.
Et voilà mes amis, un petit morceau de ma vie.
Bonsoir à tout le monde et bon dimanche.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Fête des Mères
30/05/2010 19:37
Bonne fête Maman.
Une maison aux tuiles rouges,
Un arbre dans le jardin
Un chien sur la pelouse
Un pied de romarin
Et tout en haut
Dans un grand ciel bleu
Un « Je t’aime Maman »
C’était la fête des mères.
Une boite fleurie
Un ruban de couleur
Un papier de soierie
Un beau collier en coeur
Et sur un petit carton
En lettres imprimées
Un « Je t’aime maman ».
C’était la fête des mères.
Un panier bien fermé
Caché derrière le dos
Un sourire princier
Un oeil à demi-clos,
C’était un petit chien
Un délicieux cadeau
Et sur une étiquette
Un « Je t’aime maman »
C’était la fête des mères
La sonnette retentit
La porte bien ouverte
Un gros bouquet de fleurs
Dans des mains inconnues
Une petite carte
Ecrite à toute vitesse
« Un je t’aime Maman »
Mais le cœur n’y est plus.
C’était la fête des mères.
Plus de petits dessins,
Plus de colliers de cœurs
Plus de porte ouverte
Plus de bouquet de fleurs
Plus de « Je t’aime maman »
Un silence sans fin.
Et une fête des mères, habillée de chagrin.
Mais le bonheur est là
Mes enfants sont vivants
Quelque part, sur la terre
Sous le grand firmament.
Georgy ROD
| |
|
|
|
|