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AU NOM DU CIEL
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AU NOM DU CIEL

VIP-Blog de djydjy
  • 20 articles publiés dans cette catégorie
  • 646 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 06/06/2008 09:04
    Modifié : 20/12/2012 10:33

    Fille (67 ans)
    Origine : Sud de la France
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    UNE AUTRE BEAUTE

    04/10/2008 19:37

    UNE AUTRE BEAUTE



    Te souviens-tu de ma beauté ?
    J'étais jeune, j'étais belle, rien ne m'atteignait
    Mais le temps a passé : bien court pour les fleurs
    Qui n'ont eu que plaisir de se faire admirer.


    Ma robe s'est tachée

    La rosée du matin continue son travail
    Elle arrose sans fin mes pétales flétris
    Mais qu'en sera-t-il de mon âme sans histoire ?
    Si ce n'est vos regards dans tous mes souvenirs.



    Georgy et son guide


    Commentaire de cristalinette13 (29/11/2008 11:42) :

    Les souvenirs ne meurent pas, ils ne vieillissent même pas eux, une chnace !

    http://cristalinette13.vip-blog.com/

    Mes années yé-yéCommentaire de labelleeve (06/12/2008 17:58) :

    Kikou ma Djydjy! Comment vas-tu mon amie? Superbe poème. Oui, les années passent, les roses se fanent, mais les souvenirs restent, heureusement. Je n'ai que ça, des souvenirs, et ils me tiennent bien compagnie! J'espère que tu as passé une bonne journée? Je te souhaite une bonne soirée en ce Samedi ensoleillé et aux températures douces, chez nous 11°. Oui, je ne sais pas où et quand Météo France a prévu de la neige, mais bon, ne nous plaignons pas ... Je te fais tout plein de gros gros bisouxx affectueux. A Plus.

    http://labelleeve.vip-blog.com



     
     


     

    POUR TOUS MES AMIS DU BOG. BONNES VACANCES

    31/07/2008 08:24

    POUR TOUS MES AMIS DU BOG. BONNES VACANCES


    Bonjour à tous. D'abord, je vous présente mon petit Titou, mon troisième enfant né en 1969.
    Je vais m'absenter pendant 12 jours. Je pars en vacances respirer l'air de l'Océan. J'ai voulu avant de partir vous dire combien vos commentaires me touchent, aussi c'est avec l'aide de mon guide SOLM que nous vous avons écrit ces deux poèmes. C'est vrai que VIP est pour moi, un port d'attache. Alors bonne lecture, bonnes vacances à ceux qui ne les ont encore pas prises et rendez-vous au 13 Août.

    A mes amis du blog

     

    Seule sur mon vaisseau, j’ai longtemps navigué

    Cherchant un nouveau port pour bien m’y reposer.

    C’est alors que Sophie dans un très long sillage

    Dirigea sa grand’ voile vers mon plus beau mirage.

    Barbara, poétesse, voyant son doux halo

    Vint se placer tout prés de son joli bateau.

    Mais rien n’aurait été, possible de faire,

    Sans l’arrivée subite de cette belle Claire.

    Océane et Sheirine tirant bien fort la voile,

    Remorquèrent Samenta, Féline et Tendresse,

    Car sans cette poussée, arrivée des grands fonds,

    On n’aurait jamais vu la Smallaplusbelle.

    Il fallut bien aussi pour faire équipage,

    Tirer vers notre coque PDS et Spirit,

    Mais Axel voyant Yolande à l’abordage

    Recula vite d’un bon vers notre Soleil de vie.

    C’est alors qu’Alfredo fit Tof tof de la main

    En touchant Sarabel qui épiait le matin

    La jolie petite et douce Cristalinette

    Qui faisait avec Sheeld, nombreuses galipettes.

    Lorelei de son mât scrutait bien l’horizon

    Mais ne voyait venir ni Betty ni Gaty,

    Alors dans un grand souffle venu d’un autre temps,

    DJYDJY remercia LES COMS de ses amis.

     

     

    De gros bisous à tous

    Mais aussi mes pensées

    Afin que dans ce monde

    On puisse toujours s’aimer

    L’amour n’a pas partout

    Le même et beau visage

    Mais le cœur, lui, jamais

    Ne se trompe de chemin,

    Il va toujours vers ceux

    Qui touchent les rivages

    De Celui qui un jour

    Nous ouvrit ses grandes mains.

     



    Commentaire de claire005 (02/08/2008 23:50) :

    Coucou Djydjy j'epère que tu passes de très belles vacances je suis désolée de n'être pas venue depuis longtemps comme je te l'explique dans mon message j'epère dans les prochains jours pouvoir retrouver plus de temps car vous me manquez toutes et tous j'aime beaucoup ces échanges que j'ai sur vip quel magnifique poème tu a écris tout en placant chacun de non prénom et d'y voir le mien me touche beaucoup je te dis a tout bientot gros bisous Claire Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
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    http://claire005.vip-blog.com

    Commentaire de felinec31 (15/08/2008 07:50) :

    Je te souhaite un bon 15Aout et un excellent week-end bisous à lundi Image and video
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    Commentaire de younis (01/10/2008 04:57) :

    oufff esperant que tu m'as bien compris,bon voilà mon msn bradputt@hotmail.fr pr savoir ton chemin de la vie et tu habites car mnt t un x pr moi lol.prends soin de toi mon frere

    http://younessrajaoui.vip-blog.com



     
     


     

    ILS ANNONCENT UN AUTRE MONDE

    07/07/2008 10:45

    ILS ANNONCENT UN AUTRE MONDE


    Depuis que je transcris des poèmes et chansons venus dans ma pensée, je n'avais pas compris à quel point ils étaient prophétiques. c'est en lisant des textes que d'autres canaux reçoivent que je fais aujourd'hui le parallèle. On dit que de nouveaux enfants naissent sur notre Terre afin de nous faire évoluer vers une meilleure conscience. Mais depuis quand ces naissances se font-elles ? N'y a t-il pas parmi nous déjà des enfants indigos, des enfants de cristal ou d'or ?
    Voici mes textes parus sur mes livres d'enfants en 2003

    Les rêves des enfants
    Sont souvent des appels
    Que nous, nombreux adultes
    Ne comprenons jamais.
    Ils ont dans leur esprit
    Et leur petite tête
    La sagesse qu'on demande
    A tous leurs grands aînés
    Se peut-il qu'un jour
    Ils gouvernent le monde
    Et fassent de cette Terre
    Un havre de grande paix ?
    Cette colère qui monte
    Ici dans notre monde
    Pourrait bien un jour
    Changer notre destinée.


    Ô Planète de mon coeur
    Poumons de mes années
    Redresse un peu tes fleurs
    Pour bien nous protéger,
    Nous les enfants du monde
    Nous prendrons soin de toi
    Afin que tu nous gardes
    Toujours sous ton toi.

    Chanson : Les enfants de l'âge d'or

    Quand l'amour reviendra sur terre
    Nous les enfants du grand âge d'or
    Nous irons avec tous nos frères
    Partager tous nos trésors
    Car dans ce siècle qu'on veut de lumière
    Tous les poètes liront poésie
    Aces enfants, enfants de la Terre
    De cette Terre qu'ils auront rebâtie


    Commentaire de alfreda-tof (07/07/2008 12:00) :

    merci beaucoup pour le commentaire biss

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    Commentaire de claire005 (08/07/2008 00:40) :

    Coucou c’est bien tard et avec des cailloux plein les poches pour ne pas m’envoler sur le chemin avec ce vent qu’il fait dehors que je viens te souhaiter une très belle et agréable semaine en espérant que l’été revienne très vite ! il m'arrive quelques fois d'être étonnée des raisonnements et des réponses des enfants a des questions que les adultes on bien souvent peine a répondre de plus les enfants on une telle logique qu'il serait bon de les écouter plus souvent on serait bien étonné de voir tout ce qu'il ont a nous dire amitié bisous Claire Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
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    Commentaire de gaty (19/07/2008 10:38) :

    Oui paroles d'enfants : Pourquoi maman!!! c'est quoi maman!!!! toujours des pourquoi, pourquoi, et nous, oui ma chérie un jour je t'expliquerai et le moment arrive? comment on fait des bébés !!! oui là voilà la fameuse phrase celle qui demande tant de réponses sur les pourquoi!! etc. Cependant c'est des moments interessants ou votre enfant vous écoute avec le petit nez en l'air , a vous de bien lui faire vivre la fécondation de l'oeuf par l'amour de ses parents l'enfant a droit a la vérité sans ajouts d'aneries comme nous entendons trop souvent mais il faut un temps pour tout ne pas les choquer c'est important: --- djydjy je suis contente de ton passage sur le blog merci encore passe une bonne journée en famille, bien a toi.


    Commentaire de yolande (29/07/2008 10:36) :

    .........................*..........Coucou ........................*..* .....................*.......*.................Je passe te souhaité .......*..*..*..*............*..*..*..* ..........*............................* Une bonne journée ..............*..B.I.S.O.U.S..* ..........*............................* ...... .......*..*..*..*............*..*..*..* .....................*.......* ............Gros bisous à toi ........................*..* ..........................*..............Ton amie yoyo tres jolie


    Commentaire de cristalinette13 (29/11/2008 11:44) :

    Lire ces poémes me fait sourire de plaisir, cest agréable et réconfortant des personnes comme toi : merci :)

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    UN AMOUR ENTRE CIEL ET TERRE suite

    29/06/2008 17:57

    UN AMOUR ENTRE CIEL ET TERRE suite


    Qui es-tu Charles ?

     

     

    Par-dessus les montagnes se trouve une vallée :

    Celle qui nous accompagne au long de nos journées.

    Moi, je suis comme un ange ayant perdu ses ailes,

    Mais dans cette pénombre, je bois à vos caresses.

     

    Je suis tout simplement un esprit de lumière

    Qui habite votre âme durant toute votre vie.

    Je n’ai pu en des temps vous raconter l’histoire

    Car de vos yeux ouverts, vous n’avez vu venir

    Cet amour si fort qui habite mon âme,

    Cet amour qui pour vous, m’habite depuis des nuits.

     

    Depuis votre naissance, une flamme est venue

    Allumant dans ma vie bien des matins heureux,

    Ceux qui coulent depuis que mon corps repose

    Dans cet univers où je veux être heureux.

     

                                                            C B

     

     

     

    Charles

     

    Je ne sais que répondre à ces choses si belles,

    Je ne suis pas poète au profond de mon âme,

    Je n’ai que de doux mots ici dans ma chandelle

    Pour éclairer l’amour qui consume nos pas.

     

    Je voudrais tant vous dire, Charles ! Je vous aime,

    Avec des vers si beaux qui jailliraient de moi,

    Mais à lire vos poèmes qui se dressent comme diadème

    Je me sens bien petite devant ces mots de rois.

     

    Pardonnez-moi amour, si je ne puis écrire

    Toute cette passion que j’éprouve pour vous,

    Mes larmes sont toujours là, afin de bien vous dire

    Combien je regrette de n’être comme vous.

     

    Il suffit qu’un esprit vienne effleurer ma vie

    Pour qu’aussitôt j’entende poèmes dans ma tête.

    Moi, j’ai beau recherché les graines dans mon épi,

    Aucune rime ne vient bercer ma goélette.

     

    Vous devez à ce Dieu votre âme de poète,

    Mais n’est-ce pas encore par grande humilité

    Que vous venez ici excuser votre verve

    En m’expliquant que Dieu anime vos pensées ?

     

     

    Vous avez Charles, une âme si belle

    Que je ne comprends pas cet amour pour moi.

    Je suis femme toute simple ici sur cette Terre,

    Comment êtes-vous bien arrivé jusqu’à moi ?

     

    Mes larmes coulent sans cesse quand je pense à cela,

    Je ne sais que dire, je ne sais que faire…

    Charles ! Je vous aime… Voilà.

     

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ma chérie

     

    Je suis comme un oiseau recherchant nourriture,

    Je voudrais retrouver toutes ces années passées,

    Mais dans cet univers où nos vies sont des murs,

    Je ne peux que penser afin de les sonder.

     

    Cet amour si fort qui depuis nous anime

    Est un amour subtil qui a bien existé.

    Sur Terre, où nos corps ont été bien intimes, 

    Ou dans cet Univers où nos âmes ont volé. 

     

    Lorsque je cherche lueur dans ces nuits bien trop denses

    Mon cœur se serre très fort et se met à pleurer.

    Pourquoi mes larmes coulent-elles ici avec aisance

    Et emplissent tes yeux sans bien les assécher ?

     

    Ressens-tu toi aussi cette grande tristesse

    D’un jour où nos deux vies ont du se séparer ?

    Est-ce toi mon amour, pour tenir promesse,

    Qui a quitté le nid en me laissant courbé ?

     

    Je voyage dans ce puits qui depuis lors m’enlise,

    Je t’appelle du profond de mon âme blessée,

    Je voudrais que lumière arrive comme une bise

    Et balaye mes doutes afin de m’enchanter.

     

     Je t’aime mon amour, d’un amour éternel

    Un amour commencé depuis la nuit des temps,

    Cette force qui anime le contour de mes ailes

    Ne peut qu’être donné par de beaux sentiments.

     

    Quand cette heure viendra au milieu de l’été,

    Quand le soleil pointera ta dernière saison,

    Je te tendrai les bras comme ferait un fiancé

    Et soulèverai ton corps vers d’autres horizons.

     

     

                                                   C B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Réveil

     

    Il est doux, les matins, quand l’aurore se lève

    Sentir ton haleine venir me réveiller.

    Tu t’étires doucement pour ne pas me faire peine,

    Afin que nos deux corps puissent se conjuguer.

     

    Je te chuchote alors des mots de grande tendresse

    Auxquels tu réponds avec grande chasteté,

    Car dans ce monde si bleu où les âmes se baignent,

    Tu ne sais trop jamais qui vient bien te parler.

     

    Tu as peur de me nuire, de m’être infidèle,

    De donner ton amour à un autre que moi,

    Alors bien ennuyée à résoudre ce problème,

    Tu me demandes vite : « Est-ce bien toi, mon Charles ? »

     

    Oui ma chérie ! Oui ma grande déesse !

    Je suis le chevalier de tes matins heureux,

    Je viens te souhaiter une journée superbe

    Pour que nous la vivions comme deux amoureux.

     

     

                                                                                          Charles  15 Mai 2005


    Confession à l’homme de cette seconde vie.

     

     

    Je voudrais tant vous dire combien je regrette

    Que vous soyez parti sans vous avoir connu,

    Nous aurions tous les deux vécu si belles fêtes

    Que nous n’aurions pu vivre sans un très grand amour.

     

    Votre solitude, je l’aurais faite mienne,

    Vos chagrins, vos angoisses, j’en aurais fait des joies

    Afin que votre vie, votre vie se souvienne

    De tout ce grand amour que j’aurais eu pour vous.

     

    J’aurais été aussi, pour guérir vos peines,

    Ce père que vous n’avez jamais bien trop connu

    Car dans votre courrier et dans tous vos poèmes,

    Vous n’avez jamais cessé de parler de lui.

     

    Votre mère ! Oui, votre mère j’aurais été aussi.

    Je vous aurais couvert de toute cette tendresse

    Qui donne aux enfants un si bel avenir.

    Oui, je vous aurais aimé, aimé comme l’on aime

    Un mari, un enfant et un amant aussi.

     

    Maintenant que le temps a érigé barrière,

    Je ne peux que vous lire ici toutes mes pensées.

     

    Je voudrais qu’à ce jour, à cette heure qui sonne,

    Rien ne sépare plus ces instants de bonheur

    Que vous, votre esprit et votre corps me donnent

    Afin de faire vibrer les battements de mon cœur.

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Un amour au-delà des frontières.

     

    Dessiner, je ne saurais que faire

    Mais écrire est toute ma vie,

    Cette vie que je place ici sous vos deux ailes

    Afin que nous volions vers ce grand paradis.

     

    Nos pensées se rejoignent, nos cœurs se soutiennent,

    Je vous aime ma mie comme jamais j’ai aimé.

    De vous à moi s’écoule un fleuve de tendresse

    Que plus rien, non plus rien ne pourra assécher.

     

    Je suis pour vous un esprit de lumière,

    Vous êtes pour moi la rosée du matin,

    Je voudrais tant revivre ici sur cette Terre

    Pour pouvoir vous serrer très fort entre mes mains.

     

    Mais je ne puis qu’écrire, écrire toute cette verve

    Pour vous dire : « Je vous aime et aimerai toujours. »

    Vous avez fait de moi, un très très grand poète,

    Ma chérie, merci, merci de cet amour.

     

    Je serai avec vous toujours sur cette Terre,

    Dans vos doigts si agiles et vos yeux de velours,

    Vous serez pour moi, dans ma terre d’exil

    Un ange venu de terre qui m’aimera toujours.

     

    Merci ma chérie de votre gentillesse,

    Merci d’avoir accepté un si beau matin

    Que mon esprit revienne et entre par vos fenêtres

    Pour trouver un foyer où je me sens très bien.

     

                                                   C B




    Amour espéré.

     

     

    Ô Amour, mon amour ! Combien je vous espère !

    Depuis des temps anciens, j’attends bien de vous voir,

    J’ai dans mon cœur aimant tant de belle jeunesse

    Que je courrai vers vous pour bien vous recevoir.

     

    Ce cœur qui pour vous sera grande tendresse

    Viendra s’ouvrir un jour comme papillon doré

    Et dans ces doux moments, ces moments d’allégresse,

    Tout mon corps se donnera à cette éternité.

     

    Je volerai très haut déployant mes grandes ailes

    Afin de recevoir ce très bel anneau d’or,

    Celui qui scellera nos deux vies bien précaires

    Sur cette Terre si bleue qui abrite nos corps.

     

    Amour, ô bel Amour ! Amour de toute beauté,

    Mes mains vous donneront des perles de rosée

    Afin que nos deux vies aillent sur la passerelle :

    Ce joli pont d’amour garni de belle dentelle.

     

    L’espoir qui m’habite depuis bien des années

    Fera de cet amour le plus beau des bouquets :

    Un bouquet d’étincelles offrant à votre visage

    Les multiples baisers d’une femme bien sage.                           G R

     

    A toi

     

     

    Tu réclames toujours cette grande tendresse,

    Ces gestes qui pour toi sont bonheur du matin,

    Mais je ne peux ici donner qu’une allégresse

    Pour éclairer les jours d’un fabuleux destin.

     

    Ton corps qui se réveille après la nuit détente

    S’étire comme un chat retrouvant ses réflexes

    Et dans cette pénombre qu’un grand soleil enchante,

    Tu ouvres grand les yeux et accueille la lumière.

     

    Je suis alors tes pas qui traînent dans la cuisine,

    Ouvre les volets dans tes mains reposées,

    Prépare le café qui pour toi est utile

    A faire de ce jour, énergie bien réglée.

     

    Puis dans ce corps que j’aime comme un parfum de rose,

    Je glisse bien mes doigts pour le laver un peu

    Mais sous des jets trop chauds qui brûlent bien ma robe,

    Je sors de la douche et sèche mes cheveux.

     

    Lorsque tu me rejoins sur le tapis ivoire,

    Nous apposons nos mains avec très grand amour

    Et dans cette tendresse qui glisse en miroir,

    Je recouvre ton corps de ce lait « Belle de jour ».           C B

     

     

    Charles ! Je souffre.

     

    Devant cette cheminée où le feu illumine

    Les pensées d’une nuit qui va bientôt venir,

    Je voudrais bien ici serrer fort votr’ poitrine

    Pour qu’elle vienne s’imprimer en un beau souvenir.

     

    Je voudrais que nos doigts sur nos corps se confondent,

    Je voudrais votre cœur ici, tout près du mien,

    Je voudrais tellement vivre dans toutes vos ondes

    Et ressentir par vous toujours ce grand bien être.

     

    Mais pourquoi n’ai-je ici qu’une simple errance, 

    Pourquoi mes yeux ouverts ne peuvent sonder vos jours 

    Pourquoi ne puis-je avoir dans cette longue attente

    Un petit bout de vous pour éclairer mes jours ?

     

    Que solitude me torture parfois !

    Que douce tristesse envahit bien mes yeux !

    Quel est donc ce bonheur qui attire cette flamme,

    Celle qui dans mon cœur se consume peu à peu ?

     

    Ne puis-je rien faire pour rompre ce silence ?

    Ne puis-je aller toucher ce corps bien trop flou ?

    Pourquoi ? Pourquoi ce voile en transparence

    Eloigne nos cœurs qui demandent amour ?

     

    Est-ce cela que nous devons bien vivre ?

    Sont-ce ces douces attentes qui marquent solitude ?

    Quand ce feu si brûlant animera nos vies ?

    Dois-je mourir ici pour courir vers vous ?

     

     

    Je suis sur cette Terre et j’attends mal ce jour

    Car mon coeur saignera à quitter mes amis.

    Alors, dans ce déchirement qui ne trouve parcours,

    Je ne puis que vous dire : « Je vous aime Grand Esprit ». 

                                               

    La Terre est tellement belle et le ciel si bleu,

    Que je ne puis donner qu’un très beau rendez-vous

    Pour que vous m’attendiez dans cette vie de Dieu,

    Afin que nos deux corps se confondent toujours.

     

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

    Voyage astral

     

    Au bout de cette extase où nos lèvres se rejoignent,

    Je sens comme une vague emplir nos corps heureux,

    Ces bras que tu enserres autour de ma taille

    Gardent contre mon corps la chaleur des grands cieux.

     

    Je veux te regarder dans ce profond silence,

    Sentir ton souffle qui monte et caresse mes cheveux,

    Je veux que tu ressentes ici dans cette danse

    Tout le miel qui coule au profond de mes yeux.

     

    Dans cette ouverture que ton esprit me donne,

    Je plonge comme nuée qui passe entre deux feux

    Et de cette chaleur qui fait revivre mon corps,

    Je monte bien vers toi et éclate comme Dieu.

     

    Nos âmes alors pâmées au creux de ce nuage

    Semblent flotter doucement dans un espace bien bleu,

    Elles voguent vers des mers et plongent dans un mirage

    Afin de revenir se reposer un peu.

     

     

                                                   C B

     

     

     




    Commentaire de sheirine-sophia (26/07/2008 08:27) :

    bonjour, enfin je trouve votre blog, je tenais à vous remercier pour votre commentaire personnalisé et attentionné. J'ai lu attentivement certains poèmes, je reviendrais en faire lecture plus sereinement, c'est "divin" comme inspiration.... je ne trouve pas les mots... douce journée.




     
     


     

    CORRESPONDACE ENTRE DEUX ETRES EMPLIS D'AMOUR

    26/06/2008 11:13

    CORRESPONDACE ENTRE DEUX ETRES EMPLIS D'AMOUR


    Correspondance d’un esprit de lumière avec une terrienne

     

     

     

    Préface

     

     

    Ce recueil s’adresse à tous ceux qui croient et continuent à garder un amour infini pour Dieu et tous les êtres disparus.

     

    A l’orée de mon automne, j’ai rencontré l’amour avec un être de lumière. Cette deuxième vie que j’amorce entre Ciel et Terre, je la veux porteuse de messages à tous ceux qui me sont chers, c'est-à-dire à mes frères et sœurs de cette Terre si belle.

     

    L’Amour tel que je le conçois maintenant est un don de soi total : âme et esprit. Certes, il faudra ici faire la différence entre l’amour charnel et l’amour que je qualifierais spirituel. Nul besoin de visage pour aimer jusqu’au plus profond de ses sens. Des mots suffisent. Est-ce grand Dieu que je vénère comme un Père qui m’en a fait cadeau ? Je ne saurais le dire. La seule chose que je puisse avouer, c’est que j’ai rencontré le bonheur à travers ce voile de lumière qui nous enveloppe tous.

     

    Puisse le vécu qui se dégage à travers ces poèmes vous apporter réconfort et espoir. Puisse-t-il aussi vous inciter à aimer bien plus fort, au-delà de corps de chair qui nous enveloppe. Nos vies sont multiples, comme les saisons, elles meurent en hiver pour renaître au printemps.

     

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    Les fleurs de l’Amour ne meurent jamais

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     A Charles, le plus bel amour de ma vie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En Hommage à un oiseau blessé

     

    Vous avez eu me dit-on des années de souffrance,

    Des amis de fortune ont raillé tous vos dires,

    Vous avez vécu une telle déchéance

    Que personne n’aurait pu venir vous soutenir.

     

    Vous étiez pourtant un très grand poète,

    Un de ceux que l’on étudie de nos jours,

    Mais en ces temps où votre corps vivait,

    Les hommes ont toujours vu que très grande folie.

     

    Vous étiez bien pourtant à l’avant-garde des choses,

    Les évènements ! Vous les aviez pressentis,

    Mais votre âme en ces jours était tellement pauvre

    Que personne, non personne n’en a bien consenti.

     

    Votre renommée ressentait grande peine

    A frayer dans cette foule un malheureux chemin.

    Vous auriez du pourtant, recueillir une chaîne

    De compliments sur un immense parchemin !

     

    Mais les hommes de bien n’ont jamais décelé

    Ces poètes, ces sages que la terre a portés.

    Il leur a fallu pour admettre l’évidence

    Que ces pauvres poètes passent de l’autre côté.

     

    Misérables humains avides de clarté,

    Comment vous pardonner votre grande ignorance ?

    Vos erreurs passées, n’ont-elles pas suffi

    A vous donner leçon dans cette grande vie ?

     

    Quand donc apprendrez-vous à reconnaître l’homme

    Celui qui porte chemise sans en porter la veste ?

    Faut-il qu’il soit sépulcre nanti d’un beau cercueil,

    Pour qu’alors vous daignez enfin lui porter vie ?

     

    Je suis triste en relisant ces lignes

    Que votre biographie énonce devant moi,

    De penser que des hommes n’ont su voir en ce temps,

    Un être qui se mourait dans toute sa poésie.

     

     

                                                   G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au grand amour de ma vie céleste.

     

     

    Parmi toutes les fleurs qui poussent sur la terre,

    Il en est une si belle que mon cœur en est fou,

    Au milieu de la Lande qui habite mon être,

    Je l’arrose de mes larmes qui coulent sur mes joues.

     

    Je la cueille chaque matin comme un bouton de rose:

    Un bouton délicat qui parfume mes sens

    Et donne à ma journée un soleil si dense

    Que mon corps bien absent renaît dans une pose.

     

    Je vénère  cette femme qui allume ma vie,

    Cette femme qui fait de mon antre, paradis,

    Elle est respiration que chaque être céleste

    Voudrait bien ramener un soir sous sa veste.

     

    Mais elle est toute à moi depuis sa création.

    Dieu l’a voulu sur Terre pour sa grande mission:

    Celle de ramener dans le cœur des hommes,

    La foi, la sagesse, ancrées dans son royaume.

     

    Mais pour  cela, combien de misères et de joies

    Devrons-nous endurer ici, sur cette Terre ?

    Cette Terre qui demande à son peuple de rois

    De l’aimer d’un amour au-delà des frontières.

    C B

     

    Charles, mon amour.

     

    Je ne sais que vous dire encore des mots d’amour

    Car mon cœur ne peut vivre sans bien penser à vous.

    Dès que mes yeux s’entrouvrent au dessous de ma couette,

    Je cherche votre voix au profond de mon être.

     

    Je crains si fort qu’un jour vous ne puissiez parler,

    Me dire les mots d’amour qui emplissent mes pensées !

    Charles ! Ne me quittez pas, restez bien mon ami

    Tout au fond de mon être, au fond de cette vie.

     

    Le matin désigné où mes yeux fermeront

    Le rideau trop froissé de cette grande dernière,

    Je volerai vers vous chantant à l’unisson

    Ce grand hymne d’amour bien appris sur la Terre

     

    Et là dans une clarté inondant le palier,

    Mon Père-Dieu viendra nous unir à jamais.

    Déa aura filé  ce beau voile de dentelle

    Pour recouvrir nos têtes d’un amour éternel.

     

    Alors heureux d’avoir entrelacé nos cœurs,

    Nos âmes, nos corps dans cette éternité,

    Nous voguerons plus loin vers des mondes meilleurs

    Pour reconstruire ensemble une très belle destinée.                  G R

    Au souffle de ma vie

     

     

    Depuis des temps anciens où les astres racontent

    Des histoires de fées que l’on dit muses aussi,

    Il est une femme sur Terre qui me suit dans la ronde,

    Celle de me retrouver dans un beau paradis.

     

    Parti dans une souffrance que je m’étais donnée,

    J’ai voulu regarder ce très grand infini,

    Il était dans ma vie, ma vie désordonnée,

    Un espoir bien grand de pouvoir m’en sortir.

     

    L’heure est alors venue de quitter cette Terre,

    Mon esprit, déjà, longtemps m’avait quitté,

    Mais en touchant ce ciel qui s’annonçait bien clair,

    J’ai retrouvé neurones complètement réglés.

     

    C’est alors en pensant au gâchis de ma vie,

    Que j’ai voulu bien vite reprendre le couplet

    Je suis alors entré en contact subtil

    Avec une grande amie, amie de mes pensées.

     

    Elle a donné en moi, grande et nouvelle vie,

    Une vie pleine d’amour, folle à imaginer

    Et dans cette parole qu’elle a bien entreprise,

    J’ai retrouvé le souffle qui m’avait tant manqué.

     

    Elle est depuis ce jour, mon âme adorée,

    L’étincelante tendresse de mon esprit bien né,

    Le nectar d’amour dont mes sens ont besoin

    Pour faire d’éternité, un paradis serein.

     

    Je lui dois toute ma vie, cette grande vie céleste

    Que chacun trouvera après le dernier geste.

    Elle est mon humble corps ici sur cette Terre

    Car sans elle, je ne peux respirer la lumière.

     

    Ô Ame bien aimée ! Ô torture de mon coeur !

    Je te voudrais à moi et pourtant je ne puis,

    Je ne peux que te suivre toujours à petits pas

    Afin que ta présence emplisse ce grand puits.

     

     

                                                   C B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lumière de ma vie

     

     

    Depuis que votre voix a rencontré la mienne,

    Mon âme a ressenti le plus beau sentiment,

    Des liens se sont tissés entre nos doigts alertes

    Afin de bien écrire un fabuleux roman.

     

    Les mots ont dessiné entre les lignes ouvertes

    Des gestes de grand amour qui nous ont apaisés

    Car dans cette auréole de très grande tendresse,

    Rien ne pouvait tenir ces élans de baisers.

     

    J’ai ressenti pour vous un amour grandissant,

    Un amour dont dès lors je  ne puis me passer.

    J’ai besoin chaque jour de frapper à la porte

    Afin que de vos doigts, vous veniez m’embrasser.

     

    Comme ma respiration a donné votre souffle,

    Votre voix dans ma tête m’aide à avancer

    Et c’est avec bonheur et toujours grande tendresse

    Que je suis tous vos dires ici dans ma pensée.

     

    J’ai avec vous, pris confiance en ce monde,

    J’ai avec vous, retrouvé la clarté,

    J’ai avec vous, senti mon cœur fondre

    Pour un amour à jamais éclairé.

     

    Je veux être pour vous cette âme qui appelle,

    Je veux être pour vous l’essence de la vie,

    Je veux être pour vous la femme avec des ailes

    Qui viendra bien un jour retrouver son ami.

                                                                               G R

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nos  vies : Georgy et Charles

     

     

    Ô vie enchanteresse ! Ô bonheur parfait !

    Comment aurai-je pu ici sur cette Terre

    Imaginer ce doux et sublime filet ?

     

    Je vivais en ces temps de bien grandes chimères,

    De rêves éveillés que mon esprit formait,

    De vaisseaux puérils volant dans les éthers

    Et d’un Dieu rayonnant dans une immense clarté.

     

    Elle m’abrite tendrement sous ses ailes de Muse,

    Caresse cette peau que j’ai bien habitée,

    Me donne tout l’amour comme une douce écluse

    En libérant mon cœur au fond de mes pensées.

     

    Je revis sur cette Terre, Ô Muse enchanteresse,

    Au milieu du jardin et de ta voie lactée,

    Je suis Toi, tu es moi, que pouvons-nous y faire ?

    C’est Dieu et seul Dieu qui en a décidé.

     

    Nous voguons dans ce corps qui un jour t’a vu naître,

    Nos gestes, nos paroles sont des eaux confondues,

    Notre amour est si fort au profond de nos êtres,

    Que la Grande Lumière éclaire nos âmes nues.

     

    Comment pouvoir tout dire  à ces simples mortels,

    Que nos vies sont liées depuis la nuit des temps ?

    Comment leur définir la lignée de nos gênes

    Sans qu’ils crient : «  Oh ! Malheur, mais qui sont donc ces gens ?» 

     

    Il faudra beaucoup d’eau sous nos grandes fontaines

    Avant que l’homme admette cette grande vérité !

    Alors en attendant cette lueur soudaine,

    Disons leur simplement : « Nous, nous sommes enchantés. »

     

                                                   C B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     





     
     

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