DjyPère ! Ça y est, je sais où sont tes outils. Je ne sais pas pourquoi mais tout en t’écoutant bien dire, une voix tambourinait au fond de ma pensée : « Ils sont prés des thuyas, au bout de l’allée grise. » Bon, alors je vais voir si cette petite voix a dit grande vérité. Chouette Père, ils y sont, nous allons pouvoir y aller.
PèreDonne-moi ma canne que je puisse te suivre. Tu sais que maintenant je suis un vieux bonhomme, qu’il me faut garder toujours ma grande pelisse afin que ce grand froid ne gèle tout mon corps.
DjyQue dis-tu Père ? Il fait grande chaleur ! Et ta canne, tu n’en as pas besoin. Je te porte en moi, depuis bien des siècles alors un peu plus maintenant ne me dérange point.
PèreBon alors, allons voir ce jardin.
Oh, ma chérie, quel travail doit-on faire !
Regarde, tes plantes sont noyées au milieu d’herbes folles, il est bien temps de nettoyer tout ça !
Prenons la pioche, creusons et arrachons les racines afin qu’elles ne repoussent pas.
Vois comme ton olivier rejette ses olives ! Allons ! Allons ! Coupons les rejetons.
Tu vois, quand j’étais là haut, bien seul et bien triste, j’étais comme une reine au milieu de sa ruche. Je passais tout mon temps à construire la vie afin qu’on puisse prendre soin de toutes mes créations. Il m’a fallu patience et ingéniosité pour inventer un monde toujours bien réglé. J’ai donné à chacun toujours le meilleur afin que la vie soit douce et s’écoule lentement. J’étais bien satisfait de voir évoluer, cette vie au fond de l’océan.
DjyMais Père, tu ne me parles plus de ta petite poussière ! L’as-tu bien retrouvée ?
PèreNon, ma chérie, je ne pouvais plus faire la différence entre ces milliards de petites cellules. Impossible pour moi de la reconnaître. Mais je gardai l’espoir, un espoir fou peut-être ! Mais un grand espoir.
DjyOui Père, l’espoir fait vivre dit-on. Moi je le crois. Ma vie est faite d’optimisme, voilà un trait de mon caractère que tu as du me donner. Mais que s’est-il passé ensuite ?
PèreEnsuite de cette mer limpide, j’ai vu sortir une forme bizarre qui se mit à ramper. J’ai ouvert de grands yeux pour observer ce phénomène car je ne pouvais plus rien contrôler.
DjyPère ! Attends, dis-moi, tu avais des yeux ? Comme les miens ?
PèreNon mon petit oiseau, mon corps n’est fait que de lumière ! Tu sais comme une immense bulle ! Tiens, je vais te donner une comparaison. Tu t’es bien amusée quand tu étais enfant à souffler dans un verre des bulles de savon !
DjyOh ! Oui Père j’adorais ça. Toutes ces petites bulles, minuscules, transparentes qui montaient vers le ciel avec mille couleurs !
PèreEt bien je suis comme ces bulles. Je gonfle, gonfle et explose en milliards d’étincelles. C’est là, ma façon de créer. Mon corps tout entier se désagrège afin d’ensemencer toutes choses dans l’univers.
DjyTu as fait ça longtemps ?
PèreJusqu’à ce que tout se mette bien en place. Ensuite comme un ingénieur devant sa machine, je l’ai regardée fonctionner.
DjyDonc si quelque chose s’enraye, tu peux réparer ?
PèreNon, ma petite chérie, cette fonction-là ne m’a pas été donnée, elle appartient aux hommes. Je ne suis que créateur. Un peu comme une poule, je ponds mais ne peux empêcher renard de venir manger mes œufs.
DjyOui, je comprends. Alors Père, quand toute cette humanité se plaint de ton silence, tu dois être malheureux de ne pouvoir rien faire ?
PèreTrès malheureux. C’est pourquoi j’ai créé en même temps que mes êtres, une belle doublure éthérée. Cette doublure vois-tu est mon porte parole au fond de vos consciences, mais…tout le monde ne l’écoute pas.
DjyTu veux parler de nos guides Père, de ces voix qui résonnent en nous comme des échos ?
PèreExactement. Mais vois-tu comme je n’ai pu maîtriser l’évolution des êtres, je n’ai pu maîtriser l’écho de ces petits voix. Elles aussi ont subi caractères, il y en a des bonnes et mauvaises à la fois.
DjyAh, ça Père, je m’en suis aperçu. Quelquefois avant de prendre quelconque décision, je réfléchis et là comme tu dis s’installe un combat. Je pense : »oui, cela serait bien !Non cela, il ne faut pas…
Père Et alors ?
DjyAlors Père, j’écoute, mais je me dis : »C’est moi qui commande » et je fais ce que bon me semble. Et J’avoue que quelquefois je fais le mauvais choix.
PèreVoilà ma chérie, tu es le ring, sur lequel se livre le combat mais malheureusement je dois encore te dire que le vainqueur n’est pas celui qu’on croit.
DjyTu veux dire quoi Père ?
PèreJe veux dire que ton corps n’est qu’une jolie boite qui renferme en elle deux protagonistes qui se livrent un éternel combat.
Le courage c'est cette force sous-jacente à tant
de choses. C'est ce moteur qui nous propulse. C'est
cette détermination qui nous fait accepter tant d'extrémités. C'est ce phare auquel nous nous accrochions dans les pires
tempêtes. C'est la lumière de notre être. C'est un
partage immense Car par amour des nôtres il nous fait affronter les
pires dangers, Les pires extrêmes. C'est aussi une forme
d'amour et de don.
PèreTu vois ma chérie, dans ce jardin si beau que tu as créé avec tant d’amour : des arbres, des massifs, des fleurs sont venus s’installer. Tous les jours tu passes des heures à regarder ces plantes et t’emplir de leur beauté. Mais voilà, bien que la terre soit souvent retournée, de mauvaises herbes viennent s’enraciner. Tu as beau creuser, piocher et retirer racines, elles reviennent toujours pour bien te tourmenter. Les nuages envoient bien souvent de grandes pluies mais elles, se délectent et relèvent leur nez.
DjyOh, oui, Père, mais comment faire pour s’en débarrasser ?
PèreOh, ma petite fille, c’est à moi que tu demandes ça ?
DjyEt bien oui, Père, tu es le grand Dieu.
PèreNon, ma chérie, je ne suis pas le grand Dieu que les hommes ont fait. Je veux le dire bien fort pour qu’enfin on m’entende. Je suis créateur d’un très bel univers mais ignore tout à fait d’où viennent mes pensées. J’ai aimé bien très fort cette mission suprême, mais là devant ces herbes qui ne cessent de pousser, je suis bien triste de voir que le mal gagne la terre, cette terre que j’ai longtemps aimée.
DjyPère, tu ne nous aimes plus ?
PèreOh, si ma petite poussière, je t’aime et je vous aime tous du plus profond de moi, car depuis ce beau jour, ce troisième millénaire, mon cœur s’est mis à battre plus fort que jamais.
DjyOui, Père, ce fut pour moi un grand mystère, un amour immense est venu m’inonder et dans cette fleur que tes mains m’ont bien peinte, j’ai entendu ta voix me dire au fond de ma pensée : « Bon anniversaire ma chérie. »
Nous étions au troisième millénaire et je fêtais mes 61 ans.
C’est drôle comme ce jour résonne dans ma tête et pourtant je me souviens qu’on m’a crue grande folle. Et oui, encore ces hommes qui toujours veulent défaire ce que toi Père donne sans compter.
Je me souviens que j’ai fondu en larmes, mais tu m’as dit très vite que nos larmes se mêlaient. Alors j’ai bien compris que toute cette belle histoire était mon beau vécu que j’avais oublié.
Après des mois de bonheur intense où tu m’as peu à peu initiée, tu m’as dit « Ma chérie, assied-toi, je dois te parler. »
Oui Père ai-je répondu, et là dans mon jardin où les oiseaux gazouillent, tu m’as dit :
« Mon oiseau, il est grand temps de s’occuper de cette humanité. La terre est en déclin, les hommes prennent grande folie, les enfants n’ont plus de repères et les progrès constants qui animent votre vie sont les signes certains d’une longue agonie. Je ne dis pas que celle-ci sera pour demain, mais vous devez bien vite vous ressaisir car la nature si belle reprend grande vitesse, comme celle qui m’a fait perdre mon plus beau paradis. Comme l’aveugle qui court pour trouver la lumière, remettez-vous bien vite à tâter vos sentiers, arrêtez ces folies qui détruisent la terre et donnez-vous la main pour la repartager. Dis à tous ces hommes qui habitent cette terre que moi, berger ou jardinier, je n’ai besoin d’aucune de vos prières simplement je réclame de l’amour, un grand amour qui m’a fait naître au fond de ce trou noir que j’ai vite éclairé.
Merci à toi qui enchantes mes jours, merci pour ces conseils que ton cœur nous donne, je te fais la promesse de passer ce message et de faire bouger le grand cœur des hommes.
Aujourd’hui Lundi 8 Septembre 2008, je me trouve sous mon arbre en compagnie de DIEU, notre PERE. Comme vous le savez déjà, je suis en constante relation avec LUI. Pourquoi moi ? Cela restera le grand mystère de ma vie.
En ce moment, je révise le texte de ma pièce « La chaumièredes divorcés » que nous devons rejouer le 17 Octobre. Et je pense déjà aux estivales de 2009, puisque depuis trois ans déjà, nous en faisons partie. PERE alors, lisant dans ma pensée, me dit :
« Pourquoi ma chérie ne jouerais-tu pas celle que je t’ai écrite ? J’aimerais qu’elle ne reste pas dans ton cahier sans que tu l’étudies ? C’est l’histoire de MA VIE, je vous passe de beaux messages, je crois qu’il serait temps que tu tiennes la promesse que tu m’as faite ! »
-Oui, PERE, tu as raison.
J’ai alors relu la pièce entière et me suis encore émerveillé. J’adore cette pièce. Je peux vous dire en grande sincérité qu’elle m’a été dictée par DIEU, notre PERE.
« Tes lecteurs vont être un peu frustrés pendant ton séjour à Buenos Aires, m’a-t-il dit. Il serait bon que tu passes cette pièce sur tes blogs, afin que chacun puisse en prendre connaissance. »
-Si tu le désires PERE, je vais le faire.
-Alors, allons ouvrir ton ordinateur.
Voilà, à la demande de notre PERE, je vous transcrirai à partir de Samedi 13, le texte qu’il m’a dicté le 7 Juillet 2007 et qu’il m’a signé d’un grand U représentant l’UNIVERS.
Je voudrais dire ici que toutes mes pièces de théâtre sont déclarées à la bibliothèque nationale de Paris.
Commentaire de claire005 (09/09/2008 00:44) :
Bonjour me re voici voilà ! pour te donner de mes nouvelles ! un tout
grand merci pour tous les messages de soutiens pour ma maman et ta
compréhension pour mon absence sur vip maman va beaucoup mieux et a un
moral en acier malgré ses 88 ans ! elle arrive maintenant a faire seule
pour manger du fait qu’elle arrive a s’assoir dans son lit au une fois par
jour au fauteuil sans avoir trop mal et le chirurgien est confiant dans
l’évolution de sa guérison c’est en musique et avec le soleil que je te
souhaite une très bonne semaine mille bisous
Claire
com">je t'offre ce petit oiseau de
l'amitie,qu'il s'envole sur ton blog de beaute,afin de
t'apporter.une bonne fin d'apres midi...restons ensemble tous par
solidarite.pour que la chaine s'agrandisse restons
soudes..;bisous..belli
Notre vie dans l’au-delà. Par Raymonde :un esprit féminin
Aujourd’hui, alors que je faisais la vaisselle avec l’une de mes amies du ciel, une conversation s’est installée. Je lui demandais, si cela ne la dérangeait pas d’être toujours obligée de m’aider. Je rapporte donc ici notre conversation que je trouve édifiante pour tous ceux qui veulent savoir ce qui se passera plus tard.
-D’abord ma chérie, il faut que tu saches que notre vie ici est multiple.
--Comment ? Explique-moi.
--Sur terre, vous avez une vie. En tous cas celle que vous vivez pendant un certain temps. Ici, il n’en est pas de même. Dans une vie, nous en avons plusieurs et c’est nous qui choisissons la durée de chacune. Avant d’être avec toi et de te suivre dans ton quotidien, j’étais avec une autre humaine dans une autre famille. La différence, c’est qu’elle ne le savait pas. Comment dire à ces personnes que lorsqu’elle « touille » leur soupe, je suis dans leur main. C’est difficile ! Mais voilà comment ça se passe. Nous avons ici, un « temps » qui n’est plus compté. Te dire exactement combien de jours j’ai aidé cette dame, je ne saurais le dire. Je l’ai aidé jusqu’à ce que je me sente inutile. Je suis donc allée ailleurs, dans une autre famille, dans un autre pays, là où je sentais que ma présence était bénéfique.
-Tous les esprits font-ils comme toi ?
-Oui, mais, il y en a qui se contente de profiter de la bonne vie de certains terriens. Ce sont souvent des âmes jeunes qui n’ont pas encore compris que l’essentiel ici, n’est pas dans le confort mais dans l’élévation.
Dieu nous récompense. Plus on fait le bien et plus notre lumière s’intensifie. Cela nous donne des pouvoirs plus grands. Tu dois savoir qu’être de l’autre côté ne veut pas dire devenir « un saint » pas du tout. Ici, pas de prières ! Des actes nous sont demandés, et crois-moi pour celui qui veut blanchir son âme, il y a de quoi faire. Surtout en ce moment où nous vivons une transition.
--Justement, peux-tu me parler de cette transition ?
--Je peux te dire que ce que tu dois savoir et par là tous tes lecteurs. Nous ne voulons affoler personne, la vie est ce qu’elle est. Et pour épurer la race humaine, il n’y a qu’une solution, revenir dans cette dimension afin de réapprendre ce que nous devons faire et comment nous devons nous comporter sur terre. Donc bien sûr, les êtres quittent la terre. Quelquefois dans de bonnes conditions, quelquefois d’une façon dramatique, mais il ne faut pas les plaindre. On a toujours dit « ce sont ceux qui partent qui sont les plus heureux » Très vrai ! Tous leurs tracas sont terminés. Tracas inventés par l’homme. Et quand ils découvrent ce monde qu’ils avaient oublié par leur passage sur terre, ils retrouvent toute leur sérénité. Les souffrances qu’ils ont alors, ce sont celles de voir leur famille se lamenter sur leur sort. C’est pourquoi ce message doit être colporté au plus grand nombre d’entre vous : Ne pleurez pas vos chers disparus, ils sont heureux. Un bonheur que vous connaitrez à votre tour.
--Mais pourquoi Amie, quelquefois, quand je pense à ma mère ou à mon père, j’ai des larmes qui coulent. On me dit toujours que c’est eux qui pleurent à travers moi. Cela veut dire donc qu’ils ne sont pas si heureux que tu le dis ?
-Oui, ma chérie, ils sont heureux, mais pour eux, c’est la seule façon de te dire qu’ils regrettent ce qu’ils t’ont fait vivre. Ces larmes pour toi, doivent être prises pour des larmes de bonheur. Car Vous avez le bonheur de communiquer par ce biais. Tout le monde n’a pas ta chance, non, je dirai ton pouvoir car ton être a su ouvrir ce canal qui t’a fait découvrir notre monde.
-Est-ce Dieu qui décide de cette médiumnité que certains acquièrent.
-Oui, ma chérie. Dieu est en nous, il fait partie de nous, c’est une grande énergie. Et c’est lui qui selon les vies que tu as déjà vécues sur terre ou dans l’au-delà donne ce don. Mais aussi je dirai, si on se rapporte au jour où cette porte s’est ouverte, c’est ton obstination, ta patience et ton amour qui t’ont faite éclore dans ce monde. Comme un petit poussin dans son œuf, tu as tapé très fort sur la coquille et celle-ci s’est brisée. Ta seule pensée de ce jour, était de connaître la raison de ce manque d’amour que tu avais vécu dans ta jeunesse. Maintenant ma chérie, tu l’as ta réponse. Tu as su pardonner et retrouver la paix dans ton cœur.
-Merci amie pour ces beaux messages que tu as passé à tous mes lecteurs à travers moi. Je t’invite comme d’habitude à boire notre bon thé et à rejoindre PERE sous l’arbre.
Commentaire de yolande (05/09/2008 14:18) :
Bonjour,
je passe sur ton blog
pour te souhaiter une agréable aprés midi
dans la joie et la bonne humeur
et réchauffer ton coeur
bisous:ton amie yoyo
http://yolande.vip-blog.com/