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AU NOM DU CIEL
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AU NOM DU CIEL

VIP-Blog de djydjy
  • 311 articles publiés dans cette catégorie
  • 646 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 06/06/2008 09:04
    Modifié : 20/12/2012 10:33

    Fille (67 ans)
    Origine : Sud de la France
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    MON VOYAGE A BUENOS AIRES

    21/09/2008 13:09

    MON VOYAGE A BUENOS AIRES


    Bonjour à tous mes amis du blog.
    Me voilà de retour ! Je viens de passer quatre jours à Buenos Aires.
    Que ça ? Me direz-vous !
    Oui, je profite des rotations de mon fils qui travaille à Air France pour faire de petits séjours. Mais croyez moi, en trois ou quatre jours, on peut faire pas mal de choses. Il suffit d'être bien chaussé et de ne pas avoir peur de marcher. Donc, je vais ici vous donner mes impressions sur cette ville que j'ai beaucoup aimée. J'ai pris beaucoup de photos que je passerai petit à petit, car il me faut faire un tri afin de vous rapprocher le plus possible de la réalité.

    Comme son nom l'indique, BUENOS AIRES, on respire le bon air. Certains l'appellent la ville des cinq étoiles, moi je dirai que BUENOS AIRES est une ville au milieu d'un jardin. Les nombreux  arbres et parcs majestueux qui s'étendent en plein coeur de la ville aussi bien que dans ses environs, donnent à BUENOS AIRES une note de fraicheur.
     
    Partis à 23h15 de Charles de Gaulle, nous avons attéri à Buenos Aires le mardi en début d'aprés midi. Aprés un parcours de 40 minutes, la navette d'Air France a conduit l'équipage (dont je faisais partie en tant qu'accompagnante, )à L'hôtel "Sheraton".
    Je remercie toujours Dieu, notre PERE de m'offrir cette vie. C'est grâce à mon fils, que je peux connaitre tous ces beaux hôtels car seule, mon budget ne me le permettrait pas.



     
     


     

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER

    13/09/2008 09:49

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER


                                    Pièce pour un acteur

     

     

     

     

     

     






     
    MON PERE :

    CE GRAND JARDINIER

     

     

     

     

     

     

     

                                                  

     

     

     

     








    Georgy ROD


                                                                                  Acte I

     

     

     

     

    Père                  Djy, où as-tu mis mes outils ? Ma pioche, ma binette, mon sécateur et mon arrosoir.

     

    Djy           Oh ! Père, je ne sais pas. Hier je les avais rangés derrière la grange et ils n’y sont plus.

     

    Père          Ah, ma chérie ! Tu es bien distraite, comment veux-tu que je refasse ce monde si je n’ai pas en mains mes outils.

     

    Djy           Refaire le monde, Père ! Mais pourquoi, celui-ci ne te convient pas ?

     

    Père          Hum ! Hum ! Il y aurait beaucoup à dire, ma chérie. Crois-tu que tu seras assez patiente pour en écouter l’histoire ?

     

    Djy           Père ! Tu sais que j’ai toujours adoré les histoires ! Du plus profond de ma conscience, elles remontent pour me ravir.

     

    Père          N’en  n’as-tu pas oublié quelques lignes ?

     

    Djy           Ah, peut-être bien Père ! Mais je sais que tu vas te faire un plaisir de me rafraichir la mémoire.

     

    Père          Bien, alors asseyons-nous sous cet arbre car dans ses feuilles tous les mots sont écrits.

     

                    Vois-tu ma chérie, il y a fort longtemps, l’univers n’était que trou noir. Rien dans cette noirceur, ne présageait des lendemains heureux. Et puis un jour, du fond de ma mémoire, est sorti un oiseau aux grandes ailes dorées.

     

    Djy           Un oiseau,  Père ! Cela existait déjà ?

     

    Père          Oui, mais cet oiseau n’avait rien à voir avec ceux que tu connais.

     

    Djy           Bon, alors explique-moi, à quoi ressemblait-il ?

     

    Père          En fait, il n’était pas. C’est tout simplement mon imagination qui l’avait créé.

     

    Djy           Oh, la la Père ! Je ne comprends plus. Tu me dis qu’il y avait un oiseau et puis tu ajoutes tout aussitôt qu’il n’existait pas. Avoue qu’il est bien difficile de te suivre !

     

    Père          Oui, je sais, je sais. Et pourtant c’est bien comme cela que commence mon histoire.

     

    Djy           Soit ! J’essaierai d’être bien attentive s’il le faut et de ne pas t’interrompre. Mais avant, j’aimerais bien savoir d’où te vient cette mémoire ? Car si mémoire, il y a, cela veut dire que tu as vécu une certaine histoire !

     

    Père          Bien entendu. Si ma mémoire est bien fidèle, je me trouvais dans ce trou noir. Mais un jour, en battant mes ailes, j’ai chassé tout ce néant.

     

    Djy           Bien, bien, compliqué ton histoire ! Père.

     

    Père          Pas si compliqué que ça. Imagine le dessin d’un enfant. Petit Pierre par exemple, vient de dessiner une maison mais malencontreusement, il ne l’a pas mise à la bonne place. Alors, dis-moi, que fait-il ?

     

    Djy           Et bien c’est simple, il l’efface et recommence.

     

    Père          Bien. Mais entre le gommage et son nouveau dessin, n’y a-t-il pas un temps où la feuille est restée blanche ?

     

    Djy           Oui, bien sûr !

     

    Père          Alors ma chérie, tu peux comprendre qu’après avoir effacé le néant, j’ai trouvé un environnement bien pur où j’ai pu commencer à construire ma maison.

     

    Djy           Ouf ! Et moi Père, où étais-je ?

     

    Père                  Toi ma chérie, tu n’étais encore pas là. Tu m’es arrivée bien plus tard.

     

    Djy           Combien de temps ? Père.

     

    Père          Ce mot temps n’existait pas, comment veux-tu que je le sache.

     

    Djy           Soit, je me contenterai de cette réponse. Et alors….

     

    Père          Et alors, je me suis baigné fort longtemps dans cette douce quiétude. J’ai étendu mes ailes toujours à l’infini. Je croyais qu’un jour, je trouverai rivage ! Mais non, mes ailes s’étalaient comme un jour sans fin.

                    Ai-je imploré très fort en ces temps, ce vide devant moi afin de me donner espoir d’y trouver quelque chose ? Toujours est-il, qu’au plus profond de mon être, je me souviens d’une rencontre.

     

    Djy           Ah ! Dis vite Père, dis vite !

     

    Père          Une poussière, une minuscule poussière vint se fondre à moi.

     

    Djy           Mais d’où venait-elle Père ?

     

    Père          Je ne sais pas. Je pense que ma mémoire tient à me le cacher. Enfin toujours est-il, que cette douce rencontre a créé dans mon être, un très très grand émoi. Je me suis mis à couver cette petite poussière pour qu’elle ne s’envole pas, longtemps, longtemps, très longtemps et j’ai découvert ainsi le plus beau sentiment.

     

    Djy           L’Amour ! Père, l’Amour !

     

    Père          Oui ma chérie, l’amour. J’étais tellement heureux que j’ai voulu tout de suite partager mon bonheur !

     

    Djy           Oui Père, ça je le comprends, je suis tout à fait comme toi. J’aime à partager mes moments d’allégresse, mes fous-rires et mes plus grandes joies. Alors qu’as-tu fait pour satisfaire cet élan de générosité ?

     

    Père          J’ai aimé, aimé, aimé très fort. Et un jour poussière s’est transformée.

     

    Djy           Père, ton histoire est magique !

     

    Père          Magique ! Non. L’Amour est un sentiment capable de miracles car c’en fut un ! Mais ce fut le seul pendant de très longues années.

     

    Djy           Quoi, tu veux dire que tu n’as jamais connu d’autres miracles ?

     

    Père          Non, non, pendant des milliards d’années. Et un jour pas très lointain dans cette date, un autre miracle s’est produit : celui de te retrouver. Mais n’allons pas si vite, suivons bien le chemin pour comprendre les étapes de tous ces lendemains.

     

    Djy           Bon, alors tu me disais que la poussière s’était transformée…

     

    Père          Oui, c’est ça.

     

    Djy           Mais en quoi ? Père. 

     

    Père          Je dirai en petite cellule, puisque les hommes l’ont appelée ainsi.

     

    Djy           Et cette cellule ressemblait à quoi ? Père.

     

    Père          Un tout petit disque transparent en forme de cœur. J’étais émerveillé de voir si belle chose ! Alors fou de joie, je me mis à tourner, tourner, tourner à une vitesse folle entrainant ma poussière bien loin de mes années. Une lumière alors apparut dans le vide, une lumière immense qui donna grande clarté. Aveuglé par l’éclat qui transperça ma robe, je perdis le chemin de ma poussière aimée.

                    Le vide se transforma en une voûte céleste, les jours se mirent très vite à se changer en nuits, des nuits où mille étoiles parcouraient ce grand ciel et venaient quelquefois s’éteindre dans mes plis.

     

    Djy           Cela devait être beau ! Père. Et ta petite poussière, l’as-tu bien retrouvée ?

     

    Père          Non, ma chérie, j’avais toute la lumière mais mon cœur s’est bien vite déchiré. Alors j’ai crié bien très fort à ce très beau soleil, j’ai crié : « Rends-moi, ma bien aimée. » Mais le soleil, très fier, s’est figé dans le ciel et m’a dit : « Tu dois te sacrifier ». Tu vas être un grand Dieu, un Grand Dieu créateur, tu vas créer un monde avec toutes ses beautés. Les êtres un jour compteront les heures qui s’égrènent et tu pourras ainsi retrouver ton aimée.

                    Mais quand ? Lumière, Quand ? Lui ai-je demandé.

                    Tu l’as retrouveras au troisième millénaire.

     

    Djy           Père ! C’est triste.

     

    Père          Oui, mais l’espoir m’a fait vivre. J’ai usé de mes dons : j’ai créé tout un monde où terres, montagnes et plaines se sont entremêlées. Et pendant bien longtemps, j’ai soulevé les pierres afin de pouvoir te trouver. Mais au bout d’un moment, ma souffrance si vive se transforma en larmes et créa océans. C’est alors qu’un cycle s’installa sur la terre : soleil et chaleur donnèrent nuages et vents et là comme le fait un peintre devant sa palette, la terre se recouvrit d’une toile si belle, que mes yeux à ce jour ne cessent  de regarder.

     


                                                 




    Commentaire de oceane24 (14/09/2008 08:20) :

    Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit j'espère que tu vas bien.gros bisous christine


    Commentaire de Barbara (14/09/2008 16:29) :

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    Bonjour…djydjy …je viens te souhaiter une bonne fin de journée et une bonne semaine…bisous… avec toute mon amitié…Barbara
    aimer_la_vie


    Commentaire de marie-louise (14/09/2008 18:40) :

    Bonsoir,

    Si chaque étoile était un bonheur

    Ne les décrochent pas toutes en une fois
    Mais une à une et prends bien soin de chacune d'entre elles
    Car le bonheur doit durer le plus longtemps possible...

    *** Auteur Inconnu ***

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    Je te souhaite une bonne semaine

    Milles bisous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Commentaire de claire005 (15/09/2008 23:05) :

    Bonsoir un petit passage pour prendre de tes nouvelles et te remercier pour tes coms malgré une absence de plus de ma part décidément il m’ai bien difficile en ce moment d’avoir le temps pour moi et mon ordi ! pour maman elle va mieux juste qu’il lui faudra au moins 2 mois pour remarcher a dit le chirurgien elle est toujours a l’hôpital et après elle va dans un centre de revalidation et pour moi petit accident vendredi dernier surtout ne pas rire !!! je me suis prise le coin d’un meuble avec le pied et CRAC !!! je me retrouve avec un doigt de pied cassé !!! mais comme c’est des doigts des mains que j’ai besoin pour l’ordi tout va presque bien !! LOL !!! Je te souhaite une très belle et agréable semaine a tout bientôt Mille bisous http://claire005.vip-blog.com Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
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    MON PERE :CE GRAND JARDINIER

    13/09/2008 09:46

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER


                                                                Acte II

     

     

    Djy           Père ! Ça y est, je sais où sont tes outils. Je ne sais pas pourquoi mais tout en t’écoutant bien dire, une voix tambourinait au fond de ma pensée : « Ils sont prés des thuyas, au bout de l’allée grise. » Bon, alors je vais voir si cette petite voix a dit grande vérité. Chouette Père, ils y sont, nous allons pouvoir y aller.

     

    Père          Donne-moi ma canne que je puisse te suivre. Tu sais que maintenant je suis un vieux bonhomme, qu’il me faut garder toujours ma grande pelisse afin que ce grand froid ne gèle tout mon corps.

     

    Djy           Que dis-tu Père ? Il fait grande chaleur ! Et ta canne, tu n’en as pas besoin. Je te porte en moi, depuis bien des siècles alors un peu plus maintenant ne me dérange point.

     

    Père          Bon alors, allons voir ce jardin.

                                    Oh, ma chérie, quel travail doit-on faire !

    Regarde, tes plantes sont noyées au milieu d’herbes folles, il est bien temps de nettoyer tout ça !

    Prenons la pioche, creusons et arrachons les racines  afin qu’elles ne repoussent pas.

    Vois comme ton olivier rejette ses olives ! Allons ! Allons ! Coupons les rejetons.

    Tu vois, quand j’étais là haut, bien seul et bien triste, j’étais comme une reine au milieu de sa ruche. Je passais tout mon temps à construire la vie afin qu’on puisse prendre soin de toutes mes créations. Il m’a fallu patience et ingéniosité pour inventer un monde toujours bien réglé. J’ai donné à chacun toujours le meilleur afin que la vie soit douce et s’écoule lentement. J’étais bien satisfait de voir évoluer, cette vie au fond de l’océan.

     

    Djy                   Mais Père, tu ne me parles plus de ta petite poussière ! L’as-tu bien retrouvée ?

     

    Père                  Non, ma chérie, je ne pouvais plus faire la différence entre ces milliards de petites cellules. Impossible pour moi de la reconnaître. Mais je gardai l’espoir, un espoir fou peut-être ! Mais un grand espoir.

     

    Djy           Oui Père, l’espoir fait vivre dit-on. Moi je le crois. Ma vie est faite d’optimisme, voilà un trait de mon caractère que tu as du me donner. Mais que s’est-il passé ensuite ?      

     

    Père          Ensuite de cette mer limpide, j’ai vu sortir une forme bizarre qui se mit à ramper. J’ai ouvert de grands yeux pour observer ce phénomène car je ne pouvais plus rien contrôler.

     

    Djy           Père ! Attends, dis-moi, tu avais des yeux ? Comme les miens ?

     

    Père          Non mon petit oiseau, mon corps n’est fait que de lumière ! Tu sais comme une immense bulle ! Tiens, je vais te donner une comparaison. Tu t’es bien amusée quand tu étais enfant à souffler dans un verre des bulles de savon !

     

    Djy           Oh ! Oui Père j’adorais ça. Toutes ces petites bulles, minuscules, transparentes qui montaient vers le ciel avec mille couleurs !

     

    Père          Et bien je suis comme ces bulles. Je gonfle, gonfle et explose en milliards d’étincelles. C’est là, ma façon de créer. Mon corps tout entier se désagrège afin d’ensemencer toutes choses dans l’univers.

     

    Djy           Tu as fait ça longtemps ?

     

    Père          Jusqu’à ce que tout se mette bien en place. Ensuite comme un ingénieur devant sa machine, je l’ai regardée fonctionner.

     

    Djy           Donc si quelque chose s’enraye, tu peux réparer ?

     

    Père          Non, ma petite chérie, cette fonction-là ne m’a pas été donnée, elle appartient aux hommes. Je ne suis que créateur. Un peu comme une poule, je ponds mais ne peux empêcher renard de venir manger mes œufs.

     

    Djy           Oui, je comprends. Alors Père, quand toute cette humanité se plaint de ton silence, tu dois être malheureux de ne pouvoir rien faire ?

     

    Père          Très malheureux. C’est pourquoi j’ai créé en même temps que mes êtres, une belle doublure éthérée. Cette doublure vois-tu est mon porte parole au fond de vos consciences, mais…tout le monde ne l’écoute pas.

     

    Djy           Tu veux parler de nos guides Père, de ces voix qui résonnent en nous comme des échos ?

     

    Père          Exactement. Mais vois-tu comme je n’ai pu maîtriser l’évolution des êtres, je n’ai pu maîtriser l’écho de ces petits voix. Elles aussi ont subi caractères, il y en a des bonnes et mauvaises à la fois.

     

    Djy           Ah, ça Père, je m’en suis aperçu. Quelquefois avant de prendre quelconque décision, je réfléchis et là comme tu dis s’installe un combat. Je pense : »oui, cela serait bien !  Non cela, il ne faut pas…

     

    Père          Et alors ?

     

    Djy           Alors Père, j’écoute, mais je me dis : »C’est moi qui commande » et je fais ce que bon me semble. Et J’avoue que quelquefois je fais le mauvais choix.

     

    Père          Voilà ma chérie, tu es le ring, sur lequel se livre le combat mais malheureusement je dois encore te dire que le vainqueur n’est pas celui qu’on croit.

     

    Djy           Tu veux dire quoi Père ?

     

    Père          Je veux dire que ton corps n’est qu’une jolie boite qui renferme en elle deux protagonistes qui se livrent un éternel combat.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    Commentaire de oceane24 (19/09/2008 13:12) :

    je n'ai pas trop de temps pour lire tous tes articles.mais je viens te fais un petit coucou quand mème Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit je te fais de gros bisous à bientot christine

    http://oceane24.vip-blog.com/

    Commentaire de marie-louise (19/09/2008 18:11) :

    Bonsoir,

    Le courage c'est cette force sous-jacente à tant de choses.
    C'est ce moteur qui nous propulse.
    C'est cette détermination qui nous fait accepter tant d'extrémités.
    C'est ce phare auquel nous nous accrochions dans les pires tempêtes.
    C'est la lumière de notre être.
    C'est un partage immense
    Car par amour des nôtres il nous fait affronter les pires dangers,
    Les pires extrêmes.
    C'est aussi une forme d'amour et de don.

    *** Auteur Inconnu ***

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    Avec tout mon coeur

    Je te souhaite un très bon week-end

    Milles bisous

     

     

     

     

     

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    MON PERE :CE GRAND JARDINIER

    13/09/2008 09:44

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER


                                                                Acte III

     

     

     

    (Père pioche et arrache la plante)

     

    Père                  Tu vois ma chérie, dans ce jardin si beau que tu as créé avec tant d’amour : des arbres, des massifs, des fleurs sont venus s’installer. Tous les jours tu passes des heures à regarder ces plantes et t’emplir de leur beauté. Mais voilà, bien que la terre soit souvent retournée, de mauvaises herbes viennent s’enraciner. Tu as beau creuser, piocher et retirer racines, elles reviennent toujours pour bien te tourmenter. Les nuages envoient bien souvent de grandes pluies mais elles, se délectent et relèvent leur nez.

     

    Djy           Oh, oui, Père, mais comment faire pour s’en débarrasser ?

     

    Père          Oh, ma petite fille, c’est à moi que tu demandes ça ?

     

    Djy           Et bien oui, Père, tu es le grand Dieu.

     

    Père          Non, ma chérie, je ne suis pas le grand Dieu que les hommes ont fait. Je veux le dire bien fort pour qu’enfin on m’entende. Je suis créateur d’un très bel univers mais ignore tout à fait d’où viennent mes pensées. J’ai aimé bien très fort cette mission suprême, mais là devant ces herbes qui ne cessent de pousser, je suis bien triste de voir que le mal gagne la terre, cette terre que j’ai longtemps aimée.

     

    Djy           Père, tu ne nous aimes plus ?

     

    Père          Oh, si ma petite poussière, je t’aime et je vous aime tous du plus profond de moi, car depuis ce beau jour, ce troisième millénaire, mon cœur s’est mis à battre plus fort que jamais.

     

    Djy           Oui, Père, ce fut pour moi un grand mystère, un amour immense est venu m’inonder et dans cette fleur que tes mains m’ont bien peinte, j’ai entendu ta voix me dire au fond de ma pensée : « Bon anniversaire ma chérie. »

                    Nous étions au troisième millénaire et je fêtais mes 61 ans.

                    C’est drôle comme ce jour résonne dans ma tête et pourtant je me souviens qu’on m’a crue grande folle. Et oui, encore ces hommes qui toujours veulent défaire ce que toi Père donne sans compter.

                    Je me souviens que j’ai fondu en larmes, mais tu m’as dit très vite que nos larmes se mêlaient. Alors j’ai bien compris que toute cette belle histoire était mon beau vécu que j’avais oublié.






     
     


     

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER

    13/09/2008 09:42

    MON PERE :CE GRAND JARDINIER


                                                                                   Acte IV

     

     

    Après des mois de bonheur intense où tu m’as peu à peu initiée, tu m’as dit « Ma chérie, assied-toi, je dois te parler. »

     

                    Oui Père ai-je répondu, et là dans mon jardin où les oiseaux gazouillent, tu m’as dit : 

     

                    « Mon oiseau, il est grand temps de s’occuper de cette humanité. La terre est en déclin, les hommes prennent grande folie, les enfants n’ont plus de repères et les progrès constants qui animent votre vie sont les signes certains d’une longue agonie. Je ne dis pas que celle-ci sera pour demain, mais vous devez bien vite vous ressaisir car la nature si belle reprend grande vitesse, comme celle qui m’a fait perdre mon plus beau paradis. Comme l’aveugle qui court pour trouver la lumière, remettez-vous bien vite à tâter vos sentiers, arrêtez ces folies qui détruisent la terre et donnez-vous la main pour la repartager. Dis à tous ces hommes qui habitent cette terre que moi, berger ou jardinier, je n’ai besoin d’aucune de vos prières simplement je réclame de l’amour, un grand amour qui m’a fait naître au fond de ce trou noir que j’ai vite éclairé.

     

     

     

     

     

                    Merci à toi qui enchantes mes jours, merci pour ces conseils que ton cœur nous donne, je te fais la promesse de passer ce message et de faire bouger le grand cœur des hommes.           

     

     

                                           Georgy ROD (médium depuis le 27 avril 2002)

     

     

     

                                                                               Ecrit le 07 07 2007





     
     

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