IX

             Une affaire bien simple

De quelle affaire s’agit-il ?

D’une très vieille histoire que la bible a contée. Celle qui tape ces mots sans en connaître le but, se demande bien ici, de quoi va-ton parler ! Car amis, cette petite Djy est bien comme vous dans une totale ignorance. Elle qui a essayé de faire comme tout le monde, de lire cette bible un peu chaque soir, s’est bien vite fatiguée à lire toutes ces lignes où il n’était questions que disputes, ruines, sang et vengeance.

       Comment des hommes au regard bien tendre auraient pu écrire tant d’âneries ? Alors d’où viennent ces poètes en herbe qui ont cru tout comprendre pour en passer message ?

       Voilà une affaire qui va certainement faire couler beaucoup d’encre ou amener grandes discussions ! Et pourtant dans notre ciel où toute chose est claire, comment continuerions, nous, à vous laisser croire que la bible est livre de vérités !

       Non ! Non, amis, il est temps pour vous de remettre les choses en place.

       D’abord commençons par l’alphabet. D’où viennent toutes ces lettres dont les pages sont pleines ? Qui donc les a écrites puisque écriture n’étaient que dessins ! Sont-ce des êtres doués de grande culture ! Mais livres ! Il n’y avait pas ! Alors d’où leur est venu si grande clarté ? Est-ce Dieu qui le leur a soufflée ? Mais comment ce Dieu pouvait-il souffler, puisque lui-même en ces temps bien obscurs, ne pouvait discerner aiguille de botte de foin ! Donc c’est bien cela, seul homme ridicule et orgueilleux à la fois, a pu inventer toute cette salade pour faire repas à toutes ces souris, qui sont venues gentiment grignoter le gâteau, de toutes ces inepties.

       Mais le premier livre ne suffisant pas, d’autres hommes plus intelligents que les premiers ont cru renouveler les faits, mais cette fois ci à leur manière. Attention, humains ! L’histoire n’est pas finie car en ce siècle qui verra changement, d’autres viendront encore retordre cette histoire. Mais où va-t-on humains, où va-t-on ?

       Qu’adviendra-t-il de cette bible, de ce beau livre d’histoires dont seuls les historiens en comprennent les mots ? Car à vrai dire, est-ce les petites gens qui se penchent vers elles ? Non, il n’y a que les religieux et ceux, qui pour faire plaisir, se mettent un jour à lire toutes ces lignes en disant : » Mais quel est donc ce foutoir ? »Ils s’en veulent tous et c’est Dieu qui commande ces armées de timbrés ? Ils veulent tous le même lopin de terre, alors ils assassinent même leurs frères pour en avoir accès ! Et dire que depuis ce temps, les hommes continuent à se disputer pour savoir à qui appartient ce lopin de Terre que Dieu, à les entendre, le leur a donné.

       Mais n’en avez-vous pas assez de suivre tant de fadaises !

Réveillez-vous, amis, réveillez-vous ! La vie, votre vie est une affaire toute simple.

       Dieu, notre créateur, nous a mis sur la Terre pour le servir. Il nous a créé une belle Terre, centre de l’Univers (eh, oui !)pour que nous coulions des jours heureux. En échange de cet amour que nous lui devons et de cette grande tendresse, il nous a fait un Paradis. Qu’en avez-vous fait de ces belles promesse, car promesses ont été faites avant de quitter l’Univers ? Une montagne de déplaisirs.

       Que croyez-vous que ce Père fera ? Est-ce écrit dans la bible ? Car si avenir il y a, je pense que ce bon Père n’ira pas l’écrire là. Il aime trop la poésie pour la mélanger à ce plat.

Cet avenir qu’il voudrait bien clair, il nous en parle chaque jour, il rêve de trouver dans ses nombreux enfants, un retour aux valeurs de la vie. Il rêve d’une Terre où chaque homme reprendrait ce que LUI, P7re leur a enseigné. Car dans ces premières naissances que la Terre a eues, ce Père si chaleureux, si paisible, leur avaient dicté conduite à tenir. Mais au fil des siècles, les hommes se sont dégradés. En voyant les richesses que Père leur consentait, ils ont entamé le gâteau sans partage, s’appropriant les plus grosses parts à coups de fusil. Nous n’avons pas terminé les chapitres. Les mitraillettes crépitent toujours et maintenant on arme les enfants. L’amour n’est plus de mise, il faut haïr, haïr pour faire clan.

       Ne vous étonnez pas que Dieu veuille tout changer, veuille faire grande lessive de ce monde pourri qui ne sait plus aller. L’âge d’or, mes amis, l’âge d’or arrive mais pour des enfants unis et qui aiment DIEU. Ceux qui dans leur cœur comprennent son tourment seront récompensés de l’avoir bien aimé. Les autres reviendront ici, dans cet Univers pour apprendre à nouveau ce qu’AMOUR veut dire. On ne peut éternellement vouer Amour à ceux qui n’en veulent pas. Ils auront pour la peine à apprendre ce jour, que Dieu existe, mais ne le « verront » pas. Car seuls les enfants qui gardent dans leur cœur le souvenir de ce Père, pourront à nouveau lui tendre les bras, l’appeler et lui dire : « PERE, je t’aime, PERE, n’en doute pas. »

       Nous vous avons passé ici, de très beaux messages, en saurez-vous faire grand profit ? il n’est jamais trop tard pour prendre de nouvelles résolutions et les tenir. Mais saurez-vous alors faire abstinence de certains plaisirs, plaisirs de richesse ! A vous de le dire. Nous, amis de l’Univers, nous avons pris nos responsabilités, celles de vous prévenir qu’il est temps de changer. Mais encore une fois, écouterez-vous nos dires, ceux que notre sœur a acceptés d’écrire ? C’est vous qui décidez.

       VIII

             Les signes de l’Univers

       Depuis qu’Univers existe, nous avons toujours eu pour désir de vous contacter afin de vous crier bien fort notre existence.

Bien des signes ont été envoyés ici, sur cette Terre, mais dan votre entêtement à vouloir nous croire morts, vous avez toujours pensé, extra-terrestres. Mais oui  amis, nous sommes des extra terrestres puisque nous vivons hors de votre Terre sur d’autres vibrations, mais nous ne sommes pas issus d’une autre planète comme vous pouvez le penser. Nous sommes  les esprits de vos parents, de vos sœurs, de vos frères, de vos enfants et toute l’humanité. Vous ne trouverez dans ce ciel, aucune autre âme que nous. (Mais alors amis, tous ces mondes dont on parle dans d’autres livres, sont-ils qu’illusions ?

-        Non ma chérie, ces autres mondes sont habités par les mêmes esprits. Dieu les envoie dans ces autres mondes pour des apprentissages. Il y a bien sur cette planète différents continents ! Ils sont toujours habités par les hommes de même constitution.

–      Oui effectivement.)

Nos corps sont d’éther et invisibles pour vous, alors bien que cet univers soit plein comme un œuf, vous ne verrez jamais âme qui vive, à moins d’être comme nous : esprit de lumière.

       Pourquoi avez-vous tant de mal à accepter ce monde, croyez-vous que seul corps physique appelle vie ? Mais non mes amis, il existe bien d’autres mondes invisibles  qui vivent parallèlement à vous.

       Si vous étiez conscients, bien conscients de ce monde, et acceptiez nos existences, vous feriez alors découverte de tous les signes que nous vous envoyons. Nous ne parlons pas ici, aux femmes et hommes qui sont déjà entrés en relation avec nous, soit par magnétisme soit par clairaudiance, soit encore par magnétophone ou autre matériel sophistiqué, non, nous parlons au commun des « mortels ». Vous, ou vous, qui marchez dans la rue, sans vous soucier que quelqu’un vous suit. Un ange direz-vous ? Non, mes amis, c’est un mot religieux. Aucun ange n’habite l’univers. Je pense que tout le monde l’avait compris, l’ange est une création de l’homme. Une belle image qui ramène à l’oiseau.(comme par « hasard).

       Ici, nous avons des corps qui se déforme selon notre bon plaisir, mais des ailes, nous n’en avons pas et d’ailleurs qu’en ferions-nous ? Nous nous déplaçons à la vitesse de la pensée. Nous pouvons être à Paris, New-York ou Tokyo à la fois. Non, ce que nous voulons vous dire, c’est que chacun de nous a une mission. Vous mettre en garde devant des routes qu’il serait bien urgent que vous ne preniez pas.

       Vous est-il arrivé par exemple de vous dire : Tiens je vais passer par là. Et puis, sans savoir pourquoi, au dernier moment, vous changez de route. Là est déjà un signe. Car c’est nous qui vous mettons sur le bon chemin.

       Alors, nous demanderez-vous : Mais alors, pourquoi l’enfant s’égare-t-il pour aller chercher la « mort » ? Ce n’est pas la mort amis, que cet enfant va chercher, mais simplement son chemin de lumière, car son PERE l’a rappelé. Cette mort si atroce pour vous, lui seul l’a décidée selon sa promesse faîte à ce PERE avant de redescendre sur Terre. Nous savons qu’il est dur pour un humain d’en comprendre la chose et pourtant amis nous sommes là pour vous apprendre grandes vérités. Nous pensons que dans ce monde où tout va mal et se dégrade, les hommes, les femmes et les enfants ont besoin de connaître cette vérité. Nous pensons sincèrement que l’avenir qui s’annonce sera peut-être mieux compris et accepté.

       Nous parlions donc de ces signes de bonne direction. Nous avons d’autres signes à découvrir. Dans toutes vos activités, nous vous aidons. Nous vous donnons idées, marche à suivre, beaucoup d’inspiration, mais comme nous vous le disions plus haut, seule votre décision incombe.

       Quelquefois, vous partez sur une piste de pensées, vous êtes sûrs de vous, et puis on ne sait pourquoi, vous vous blessez et vous vous apercevez que la première idée était la bonne ! Vous n’avez pas suivi votre « conseiller ». Et que dire encore et que dire … J’aurais dû tourner sept fois ma langue avant de parler ! Eh, oui ! Là encore on a essayé de vous aider. Que dire encore de tous ces petits bruits qui animent votre maison ! Ils ne sont pas toujours issus de la vieille charpente ou du meuble qui craque ! Non, mes amis, nous sommes encore là. Il faudra vous y faire. Mais comme dis notre petite Djy qui ne nous craint pas ; « Vous êtes des farceurs, des petits esprits pleins d’humour, avec vous, je ne m’ennuie pas. »

       Quand pourrez-vous agir comme elle, amis quand ? Nous voudrions bien être dans vos têtes, mais pour cela il faudra bien nous aimer et accepter le cœur ouvert que l’Au-delà existe et qu’un jour vous en ferez partie. Quel bonheur alors nous aurions à nous entretenir, vous sur cette Terre et nous dans l’Univers.

       Dieu nous a promis que ce jour arriverait, mais il faudra alors bien faire, pour lui obéir et retrouver la Paix. Ce siècle, nous l’avons appelé siècle de lumière, siècle de l’âge d’or. Serait-ce, ce siècle mes frères, nous le voudrions tant !

       Nous avons inspiré à Djy, notre sœur , de belles sculptures dorées car nous voulons espérer que comme elle, vous aurez à cœur de ramener la Paix. Aidez-là vite amis, car le temps presse. Père n’a plus grande patience et Déa non plus. Ils ont envie de voir la Terre à nouveau propre et terriens aussi. Lisez nos messages, message de cinquième et sixième sphère, nos poèmes vous édifieront sur les chemins que l’humanité doit reprendre pour que cet âge d’or s’éclaire de lumière.

       N’oubliez plus amis de dire « Merci » à chaque fois que vous sentez notre aide, vos mercis sont pour nous signes de clarté. Plus notre ciel sera dans la lumière, plus nous viendrons vous aider.

       N’en veuillez plus à Dieu de toutes ces catastrophes ! L’homme est le seul coupable. Il ferme ses oreilles à tous ces petits signes et n’écoute que sa folie boursière.

       Dieu aussi, dans sa grande colère, vous fait signe de là-haut, il envoie souvent des appels, mais l’homme reste sourd. Que feriez-vous amis, si au bout de trois millénaires, vos enfants encore rejetaient les bonnes manières que vous leur avez enseignées ? Auriez-vous encore cette grande patience ? Comprenez dans un langage imagé que la coupe est pleine, qu’il faut la vider, la rincer et y mettre un nouveau breuvage. Serez-vous de ce nouveau cuvage ? Nous le souhaitons frères, nous le souhaitons.

       Nous vous avons aussi par l’inspiration que nos artistes vous donnent, écrit de belles chansons. Depuis des siècles déjà, les paroles ramènent à ce grand Au-delà, essayez maintenant d’en trouver les clés ! Ecoutez-bien amis les paroles de Georgy, c’est nous qui les lui avons dictées. Elles vous apporteront connaissance de nos vies, nos aspirations et nos regrets aussi. Elles indiqueront les sentiers que dès lors vous devez retrouver.

       Bonne chance amis ! Bonne chance ! Nous sommes là pour vous accompagner.

VII

       L’homme, a-t-il su toujours remercier ? L’a-t-il appris ? L’a-t-il oublié ?

Que faut-il penser de nos jours, ces jours du troisième millénaire où tout semble dû.

       Ici, dans l’Univers, nous avons essayé de réfléchir à ce tracé qui a fait de l’homme, un être demandeur ne sachant dire merci. Comment après des siècles où abondance a plu, il n’y ait que les peuples les plus misérables qui savent de nos jours remercier. Quand nous voyons ici, ces peuples de nature, ces êtres qui se contentent de choses simples, des hommes, des femmes et enfants qui gardent en eux amour de leurs prochains,que croyez-vous qu’on pense de tous ces progrès ? A quoi vous servent-ils humains, hommes des pays civilisés ! A quoi vous servent-ils ?

       Dans cette vie que vous vous êtes créée au détriment de tous ces peuples qui ne peuvent vous suivre, n’avez-vous pas humains le sentiment d’écraser votre propre avenir ?

       Que vous restera-t-il à part votre confort, vos maisons, vos voitures et vos belles chemises que vous n’amènerez pas ici dans notre décor ? Y avez-vous pensé amis de la Terre ?

       Que diriez-vous de faire l’analyse de vos vies. Serez-vous d’accord avec cet Univers qui va pointer le doigt vers ce bel « estomac » ? Car il en faut de l’estomac pour affronter ce siècle qui semble bien précaire, quand on voit les petites ficelles rongées par tous ces rats !

       Oui, direz-vous, mais que viennent faire tous ces moralistes de l’Au-delà ?

       Pas grand-chose à vrai dire mes frères car à ce stade, si stade il y a, nous ne pouvons rien faire. La chose étant bien entamée, je crois que nous ne pouvons que constater les dégâts.

       D’abord il faut vous dire que dans ce chapitre, ceux qui vous parlent de haut, sont les ministres de la justice, ceux que Dieu a appelés pour faire grand constat.

       Nous n’avons jamais vécu sur terre, nous sommes des êtres de l’Univers. Dieu nous a créés en un temps bien lointain, quand il a observé ce que les hommes commençaient à faire de sa Terre et de son atmosphère. Tout ceci pour vous dire que l’introduction dure depuis bien des années.

       Après que ces hommes aient introduit objets de convoitise et disputes, nous sommes vite arrivés à prévoir dénouement.

       De cette Terre si belle où Nature excellait, nous avons commencé à noter grandes bévues. De ces cadeaux grandioses que notre Père faisait à tous ses enfants dont il avait la garde, il s’est avéré que certains d’entre eux ont voulu grignoté ce bel héritage. Et ne pensant plus que ces richesses étaient données pour en faire bon profits (nous ne parlons pas d’argent mais de partage), ces hommes dis-je ont commencé à détruire ce que Dieu pourtant avait créé pour eux.

       Saccageant belles forêts, creusant dans les montagnes, ils ont peu à peu dénaturé le paysage qui leur était donné. Mais la chose n’étant pas assez de bonne augure, ils ont dévié rivières et asséché étangs entrainant dans leur folle bévue, la mort des poissons et toute petite faune.

Fallait-il encore que Nature s’en mêle ? Alors dans leur soif de refaire un monde à leur image, ils ont bouleversé toute cette planète avec leurs engins mécaniques et robotisés. Là ils ont attaqué leurs frères dans leur labeur. De ces mains que Dieu avaient créées pour que l’homme puisse toujours garder une poigne divine, ils ont annulé pouvoirs de création. Le chômage alors, a couru dans les villes entrainant avec lui grande dépravation. Ne pouvant plus nourrir la famille, ces hommes alors se sont mis à tuer, à voler, à boire, à frapper car dans leur grande détresse, il accusait Dieu de toutes leurs misères.

       Pauvre Dieu, sur qui on se retourne afin de mieux jeter sa haine et l’accuser de tous les maux.

       Vous est-il arrivé de lui demander avant que n’adviennent tous ces désastres, s’il était bien d’accord sur toutes vos décisions ?

       Non ! Pourquoi l’auriez-vous fait ? Vous, qui vous croyez si forts ! C’est vrai, il aurait fallu remercier de certaines bontés ! Et ça vous ne savez.

       Et nous arrivons au fil des siècles, des millénaires à ce 2003, début d’un renouveau. Mais Renouveau de quoi ? Car pour que renouveau s’entâme, il faut alors que dénouement se meurt.

       Alors voyons ici, si le choix vous était donné, ce que vous seriez capables de faire pour que Renouveau se fasse sans fissure.

       Nous avons dans ce siècle appelé une sœur ici sur votre Terre. Messagère et prophète, elle doit vous rapporter ce que Dieu, notre bon Père désire dans ce siècle vous voir commencer. Nous allons donc ici vous rapporter avec grande finesse, la conduite à tenir dans les proches années. Si votre intelligence égale votre scepticisme, nous pourrons arriver à limiter les dégâts. Si au contraire, votre bêtise vous empêche de tirer les conclusions que ce siècle demande à votre humanité, alors humains, nous compatissons bien, mais avec tous nos regrets, nous ne pourrons que laisser aller ce chariot de malheur vers son macabre destin.

       Depuis bientôt deux ans que nous parlons à notre Djy, nous lui avons demander instamment de prévenir sur les dangers du nucléaire. En effet, comme nous l’avons dit, le nucléaire se montre très néfaste pour notre constitution et notre espace.

       Nous voudrions que les déserts soient irrigués

       Que les bateaux reprennent les voiles

       Que tous les édifices religieux soient fermés et remplacés par des crèches et des maisons d’accueil. Les indigents qui y viendront devront être de grande honnêteté, propres, non ivres ni drogués.

       Pour faire plaisir à notre sœur Marie, nous désirons que toutes ces croix disparaissent de la Terre car rien n’est plus morbide que d’encenser un enfant crucifié.

       Nous ne voulons plus d’armées.

       Vous donnerez aussi grande part à ces femmes dans toutes vos places fortes, elle sauront mener le monde à de plus grandes valeurs.

       Vous devez dans un avenir proche installer une grande Paix sur tout votre sol.

       Nettoyer tous les espaces nature

       Respecter la vie des animaux.

       Votre Terre de là-haut ressemble à une immense poubelle où les hommes se ruent pour en tirer les morceaux. Oh, bien sûr diront certains, « notre Terre est propre ! Oui amis, nous ne parlons pas en particulier car de là-haut nous voyons tous les sols, ceux du Nord, du Sud de l’Est et de l’Ouest. Et si vous étiez à la même place, votre Terre vous ferait horreur. Notre vue, vue de lumière nous permet de rentrer dans les moindres détails.

       Voici donc, les différentes choses que Dieu notre Père voudrait voir sur la Terre. Si comme nous le craignons, rien n’est entrepris dans un avenir proche, alors amis, voilà les prédictions.

(Mon fils par une mauvaise manipulation avait effacé mon disque dur, j’avais bien heureusement imprimé ce livre en 2003. Pourquoi  l’avais-je fait à ce moment là ? Hasard ? Et non mes amis, la preuve en est qu’aujourd’hui on m’a demandé de passer le message. Je suis heureuse de voir que les choses avancent et que l’homme se met enfin au travail. Il y a encore à faire, mais je pense que nous nous en sortirons, c’est pourquoi je vous demande de lire les prédictions qu’ils ont faites avec l’espoir que nous n’irons pas jusque là. Je fais ce qu’on me demande. Passer au plus grand nombre le message. Merci.)

       Comme vous l’avez remarqué la planète va mal, son climat se dérègle, nous passons de grosses chaleurs à grands froids. Et cela va continuer. Des pluies diluviennes, des inondations vont se faire de plus en plus pressantes et répétées.  (texte écrit en 2003)

       Fin 2004, comme Nostradamus l’annonçait, un tremblement de terre de moyenne envergure viendra frapper l’Europe et pays voisins. Si conscience de l’homme ne voit pas encore Dieu, avertissement.

       2006 verra grande faille (je pense guerre) en Irak et pays voisins. Nous pensons que beaucoup d’êtres terriens se rebelleront contre les hommes de pouvoir qui ne veulent entendre raison.

       Si rien n’est fait dans un temps que nous ne pouvons honnêtement vous dater, les trois quarts de la planète seront pulvérisés. Raz de marée, cyclones, tremblements de terre feront de ce beau joyau désastre et pauvreté. Les âmes sauvées par Dieu reprendront le chemin d’une vie meilleure où il faudra compter sur la présence du Père car seul LUI, décidera de leur devenir.

       Nous concluerons ici, avec une phrase de Malraux : « Le troisième millénaire sera un millénaire de foi ou ne sera pas.  Fasse Dieu qu’il le soit. »

 Nous ajouterons ici que l’homme tient seul sa destinée entre les mains, il ne lui reste qu’à les tendre vers Dieu pour demander Pardon.

Poème dicté par PERE, pour les enfants de ce monde

Pour faire de ce monde qui s’endort et qui meurt

Un beau jardin de fleurs, un très beau paradis :

« Mes enfants, mes chéris, je viens toujours ici

Dans les doigts de Georgy, vous apporter mes dires.

Ici, sur cette Terre, où tout est délabré

Je voudrais mes enfants que vous y remettiez

Bon ordre dans toutes choses égarées.

Votre vie qui ici remplit mon cœur de joie,

Doit très vite se pencher vers belle honnêteté.

Votre richesse ici, ne doit plus compter

Ces nombreux billets qui vous ont pervertis,

Je voudrais maintenant, que vous réappreniez

Que l’argent n’est pas conducteur

Des sentiers les plus hauts.

Vous prendrez avec lui des chemins bien pervers

Qu’il vous faudra ici laver à grandes eaux,

Car ici, pour me plaire et prendre mes joyaux

Il faut être propre, honnête et avoir grande richesse

Mais une richesse du cœur essentielle à vos vies

Commentaire de labelleeve (04/12/2008 14:00) : Kikou ma Djydjy! Comment vas-tu? Chez nous il pleut des cordes. C'est un plaisir de te lire, mon amie. C'est vrai que la planète est une vraie poubelle, mais comme "le libre arbitre" a été laissé aux hommes, ils pensent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent, sans chercher plus loin! Je vois les sacs poubelles dehors, déchirés, ...alors que les containers sont à côté. Que pouvons-nous faire, nous, petites créatures, alors que nos Gouvernements laissent faire parce que cela ne rapporte rien ... sauf les guerres qu'ils provoquent! Je te souhaite une bonne journée, ma Djdjy, et je te fais des gros gros bisouxx. A plus. http://labelleeve.vip-blog.com

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                        L’esprit cosmique

       Qu’est-ce que l’esprit cosmique ?

       Déjà tout simplement, nous dirons l’esprit de Dieu. Un esprit générateur de toutes choses.

       Dans des temps très anciens, au fin fond de l’espace, vivait une poussière bien minuscule pourtant. De cette poussière stagnant dans cet espace, sortit un jour, on ne sait comment un « Esprit de grande intelligence ». C’est es tout cas le souvenir de Dieu. Comment cette poussière se trouvait-elle là ? Personne, oh, non, personne ne pourra l’expliquer. Même pas ce grand Dieu qui pourtant réfléchit à ce que poussière lui avait amené.

       Toujours est-il que ce grand esprit se mit à créer. Il se créa d’abord de grande intelligence puis se donna de très grands pouvoirs, car de cet espace de silence, il voulait déjà faire de très grands couloirs. (Père es-tu bien d’accord sur ce que tes ministres écrivent ? Oui, ma chérie, je ne te laisserai pas taper des inepties. Merci Père.)

       Comme chacun doit le penser et peut-être le redouter, la solitude n’est pas conductrice de bienfaits. Et pourtant, ce Dieu dans sa grande détresse sentit déjà le besoin de trouver compagnie. L’espace étant immense et bien dans les ténèbres, il ne pouvait en mesurer les limites. Bref au bout d’un temps qu’il ne pouvait compter en années lumière puisque lumière n’existait pas, il commença à bâtir « son corps », mais un corps bien pensant qui le satisferait. Telle une bulle emplie de grande intelligence, il prit tout son temps pour en tirer partie et dans cet effort cérébral dirons-nous, il réussit à créer une seconde poussière.

       Baigné déjà dans un sentiment de reconnaissance pour cette créature qui venait là combler son existence, il fit en sorte toujours selon ses pouvoirs d’améliorer son esprit bien pensant. C’est alors que découvrant que poussières pouvaient naître de son «  corps » il se créa plus fort, voulant ainsi bien faire pour commencer multiplicité. Il créa donc ce qu’on appellera bien plus tard, pénis et vagin et de ces deux outils en fit reproducteurs. A l’intérieur de LUI beaucoup d’autres ficelles firent de cet esprit, écrin de saveurs. Nous resterons là un peu poétique car l’invention fut si belle qu’elle demande beaux mots et douceurs bien mises ; car petits spermatozoïdes et ovules gracieuses durent pendant des millénaires faire grande tendresse pour apprendre un jour à procréer.

       Et voilà notre Dieu, nanti de ces deux frères, mais ne sachant faire utilité. Esprit de grande mouvance et de grande souplesse, il fit l’accord de ces deux amoureux. Sortit alors, dans un jour bien lointain et après bien des peines, une petite poussière en forme de petite sphère. (Je voudrais dire ici, que pour mon exposition au musée des Matelles, PERE avait à l’aide de mes doigts sculpter « son corps ». Et il m’avait expliqué que celui-ci était muni de ce que nous appelons maintenant vagin et pénis. Et c’est par des mouvements ondulatoires qu’il était arrivé à réunir les deux, et ainsi donner naissance à l’œuf. Tout ceci se fit bien entendu en plusieurs millénaires.)

       En ce temps là, comment nommer cette chose ?

Peut-être petit œuf ou simplement cellule. Toujours est-il que devant cette chose, émerveillements furent de belles mises. Dieu et sa poussière promise regardèrent longtemps, (si nous pouvons nous exprimer ainsi, car seule vue de l’esprit existait) ce petit « œuf. ». Déjà en ce temps, sentiment de protection gagna nos deux fiancés. Dieu alors essaya avec compassion de fermer cet esprit toujours bien pensant afin de faire abri à ce petit amour. Mais après bien des contorsions et grande perte d’énergie, il se rendit à l’évidence. Seul, il ne pouvait venir en aide à cette petite chose. C’est alors que voyant ou plutôt ressentant l’émoi de sa poussière, il fit grande prouesse et la transforma en oiseau portant de belles ailes. L’oiseau alors couronné par son Dieu, prit ce petit Dieu car pour elle c’en était un et le cacha sous ses ailes. Les deux parents, car parents il y eut, couvèrent ce petit, Dieu de son regard et DEA de ses ailes. Car ce grand oiseau aux plumes couleur de nuit, fut baptisé par ce Dieu du nom de DEA, Dieu au féminin. (Père ! Je ne comprends plus rien !

-        N’oublie pas ma chérie que mon corps est conçu avec les « deux sexes » je puis être masculin comme féminin.

-        –Mais Alors DEA qui est-elle ?

-        Ma partie féminine.

-         Donc tu es aussi l’oiseau ?

-        –Je suis toute chose créée. Je suis Toi, tu es MOI, comprends-tu ma chérie ? J’essaie PERE. J’essaie.)

Des siècles, des millénaires passèrent avant que ce petit prenne forme d’oiseau car c’est bien ce qui arriva après grandes galères que nos amoureux vécurent dans cet espace. Mais comme grandes vagues se calment, le bonheur arriva quand de ce petit œuf sortit un petit bec, un petit bec d’amour pareil à sa maman. On saura bien plus tard que ce petit oiseau était petite femelle.

       Eh, oui ! Mes chers terriens, il vous faudra revoir toutes vos belles histoires. Car les deux premières créations que notre Dieu fit dans ce grand univers, furent bien deux femelles pour engendrer le monde.

Peut-être est-ce pour cela que les hommes dans leur mémoire cosmique ont très grande colère de n’avoir pu s’arroger le droit de procréer. Ils bafouent toutes ces femmes et leur font grandes misères afin inconsciemment de pouvoir se venger.

       Les animaux, eux, n’agissent pas de même, ils ont gardé grand respect pour toutes leurs femelles qui leur font beaux petits. Pensez au beau lion, au renard, à l’aigle ! Que direz-vous hommes pour vous disculper de tous ces outrages que vous faîtes subir à ces femmes qui n’ont que pour vertu de vous faire des enfants afin d’en faire lignée.

       Ceux sont aux femmes que nous devons fortune, ce sont à elles que vont nos belles pensées, car elles ont su dans ce monde de misères, garder la tête haute pendant bien des années. Des années durant lesquelles, votre soif de conquêtes a anéanti bien des choses dans ce monde où elles ne demandaient que nids, sécurité. Que leur donnez-vous en remerciement de leur dévouement ? Des champs, des champs de mines où leurs enfants perdent leurs pieds, des asiles de fous, encore pour ces petits, car à entendre bombes et fusils, au dessus de leur tête, ils en perdent la raison et viennent s’enfermer dans des mondes où, vous, humains ne pouvaient accéder.

       Que faites-vous encore de ces pauvres femmes, qui toute leur vie durant doivent cacher à ce Dieu, leurs cheveux, leur visage et le corps que Dieu leur a pourtant donnés.

       Que dire encore, des foyers que vous avez construits bien trop loin des points d’eau ? Elles partent au petit matin, leurs enfants dans le dos, le seau sur leur tête, pour que la famille puisse bien s’abreuver.

       Continuerez-vous longtemps cette punition ? Dans vos âmes d’écervelés, ne voyez-vous pas que le monde change et que bientôt  ces femmes reprendront les guides de leur vie et celles de leurs enfants ? Ici, nous le voyons très bien arriver et nous applaudissons car de ces femmes emplies de tendresse, viendra un jour, un monde de Paix.

(Comment ne pas les croire, depuis ma médiumnité, peintures, sculptures, poèmes et livres d’enfants, racontent la même histoire.)

                                V

                    Nos âmes et nos corps liés

       Nous allons ici décrire l’une des premières toiles que nous avions inspirée à Georgy. Cette toile, intitulée : Nous ne sommes pas des robots sans cœur, a été très difficilement interprété par notre amie. Comme elle se demandait : « Mais  qui sont les robots ? Vous  ou nous ? Nous avons repris son interrogation pour plus d’explication : Est-ce que l’Univers sert la Terre ou est-ce la Terre qui sert l’Univers ?

       Et d’après vous amis ?

Nous allons donc tacher de répondre à cette question sans froisser quiconque. Comme nous vous le disions plus haut, nous sommes deux mondes bien liés. Nous ne pouvons nous passer l’un de l’autre. C’est bien pour cela que nous nous découvrons aussi clairement car nos deux mondes sont en péril.

       Nous, âmes célestes, avons été créées dans un deuxième temps. Effectivement, nous vivons parce que vous vivez. Notre Père dans sa première création a fait l’être animal. Cet être animal, Il l’a doté d’esprit. Cet esprit s’échappe après la « mort » du corps physique et rejoint l’Univers ou Au-delà. Mais, les esprits humains qui habitent dès lors l’Univers se réinvestissent auprès des esprits terriens, puisque chaque être naît déjà avec un esprit.

       Nous faisons-nous bien comprendre humains ?

En résumé, votre esprit est composé de deux parties : une qui vous est propre et une autre partie qui vient de l’Univers. Votre cerveau, car qui dit esprit, dit cerveau, n’est donc pas seul à fonctionner.

       Dans cet esprit que vous recevez de l’univers, il existe plusieurs parties d’esprits ayant appartenues à plusieurs corps. Cela semble compliqué, mais si vous faites un petit dessin, vous comprendrez.

       Dans cet esprit multiple univers, va donc pouvoir s’installer, esprits de bonnes âmes comme esprits de mauvaise. Nous dirons comme nous l’avons toujours dit, que dans chaque être humain, se trouve le bien et le mal.

       Qui donc pourra agir ?

Vous seul humain, car c’est de votre seul esprit que doit venir la sagesse. Si vous savez bien écouter votre « Moi » intérieur, vous devez prendre les bonnes décisions. Mais pour cela, il faut sans doute pas de précipitation et bien peser le pour et le contre. En définitif le bien et le mal.

       Qui l’emportera ?

A vous seul de décider. Donc, bien que nous vous aidions dans vos choix, quelquefois très judicieux, c’est à vous seul qu’incombe la décision.

       Vous retrouverez donc déjà un brin d’explication dans les robots de Georgy. L’univers représente donc ce bon Père et la Terre cet enfant. Mais comme tous les enfants, écoutons-nous toujours les conseils de notre père ?

       Pourquoi cet univers est muni de blocs et la Terre de souliers ?

Nous dirons là amis, que vous êtes notre mouvement. C’est grâce à vos pensées que nous nous mouvons dans nos vies célestes ; et comprenez déjà, que si nous nous mouvons, nous pouvons vous aider. Entrevoyez-vous bien ce cercle qui sse dessine entre vous et nous ?

       Alors vous demanderez-vous : « Nous devons toujours penser à vous ? ». Mais que serez nos vies terrestres, si tous les jours, nous devions penser à tous ces êtres chers et disparus ! C’est ici qu’entre la notion de cerveau cosmique. Une autre toile peinte par  Georgy et dont nous lui avons donné explication car elle ne pouvait inventer toute cette théorie.

       Lorsque sur la Terre vous perdez une être cher, votre chagrin va durer de longues années selon les sensibilités de chacun, puis les peines s’estomperont, pour arriver  à un semblant d’oubli. Nous disons semblant car rien ne s’oublie vraiment. Une photo, une parole, un endroit viendront toujours vous rappeler l’être cher que vous avez aimé. Quelques uns pourtant se plaisent à effacer des moments douloureux.

 Donc au bout d’un certain temps, ces âmes vont tomber dans l’oubli. Nos corps alors bien éthérés, se figent dans une immobilité que seul notre esprit tient en vie. Nous sommes à ce stade, beaucoup moins performants que lorsque nous sommes investis de mouvements. Notre Père ayant un amour et une bonté sans égal a donc rassemblé dans son esprit cosmique, esprits de toutes âmes. Ce qui veut dire, qu’il vous suffit terriens de penser à Dieu pour que tous nos esprits se mettent en mouvement. Nous entendons d’ici vos esprits bien trop vifs à dire :

« Alors il faut prier ? »

Non ! Humains, nous vous le répétons, ici pas de prière, simplement des pensées d’amour et de tendresse. Lorsque vous vous levez le matin, les yeux bien ouverts, dites tout simplement : «  Bonjour Père et merci de cette belle journée. » Ces mots qui pour vous sont que banalités sont pour nous mille et une lumières qui viennent de l’esprit de la Terre. Car si nous avons notre Esprit cosmique, vous avez-vous aussi, Esprit fort de la Terre. Cet esprit qui récolte comme dans  un champ de blé tous les épis de vos âmes fidèles, fidèles à notre Père qui vous a toujours aimés.

Sachez bien maintenant que dans votre Univers, tout ce qui est humains, plaines, mers, forêts, montagnes, lacs et rivières sont imprégnés de l’essence de Dieu. Quant à nous, nous  sommes dans vos doigts, vos pieds, mais aussi votre tête. Nous nous servons de vous pour voir, entendre, toucher, déguster. Grâce à vous nous gardons d’une manière subtile, les cinq sens de l’être humain. En fait nous vivons, mais dans l’invisible.

       Lorsque nous goûtons à votre eau bien fraiche, nous en délectons toutes les saveurs, vos petits cafés de tous les matins, nous en avons les arômes. Nous participons aussi à vos disputes et vos réconciliations mais bien discrètement pourtant car nous ne voulons en aucune façon faire preuve de voyeurisme ou de curiosité bien déplacée. Nous sommes des spectateurs amusés mais bien tristes de ne pouvoir vous montrer tous les dangers ; car de votre vie de Terre, vous devez en monter tous les paliers. Nous sommes bien là pour vous en montrer les chemins, mettre souvent vos pieds dans les bonnes directions, mais si votre esprit prétend le contraire, nous ne pouvons que vous laisser faire.

Que serez votre vie si nous nous en mêlions ?

Nous avons eu la nôtre ici, sur cette terre, nous avons-nous aussi suivi nos chemins, quelquefois des chemins de très grande poussière qu’il nous a fallu payer en arrivant. Car nous l’avons dit amis de la Terre, Père est bon mais juste à la fois. Il ne veut ici que lumières et non âmes noires. Faites de vos vies des sentiers de clarté, car ici, dans ce monde où nous vivons, vous n’aurez qu’à vous louer de ce Père si bon qui aime ses enfants.

Votre vie est bien là, dans ce grand Univers où toute chose nous est donnée. Vous pourrez revivre sur la Terre, si vous le demandez. Mais quand vous aurez goûté aux délices suprêmes que Dieu nous donne ici en quantité, nous sommes bien certains qu’après votre arrivée, vous n’aurez qu’un désir celui d’y rester. L’amour que vous vivez là-bas sur cette terre n’est rien en comparaison de celui qui vous est donné ici !

Oh, non amis, ce n’est pas une invitation à abréger vos vies ! Non, amis, sachez que le suicide est fortement puni. Vous devez, là sur la terre aller jusqu’au bout de vos vies. Celles que Dieu à décidées pour vous mais aussi celles que vous avez inscrites sur ce grand livre d’or, promesses de rémission.

Nous voulons aussi bien vous dire à ce sujet qu’une personne qui se suiciderait dans l’intention de retrouver quelqu’un dans l’autre monde serait à jamais perdue. Car deux suicidés auront à revenir sur terre et chacun de leur côté.

Que dire encore dans ce très beau chapitre qui parle de nos vies liées. Nous allons encore entretenir ces mères et ces pères dont les enfants se sont envolés.

Tout être sur la Terre est création de Dieu. Ce qui veut dire que nos vies entières lui appartiennent. Vos enfants et vous-mêmes, puisque liliation existe, ne sommes sur terre que pour le servir. Certains le font avec honnêteté, avec foi et sont toujours prêts à Lui donner ce qu’Il désire.

Mais que désire-t-il ce PERE là- haut ?

En avez-vous idées, ici sur cette Terre ?

Il veut tout simplement que les choses se fassent comme chacun le lui a promis. Car pour Lui, le plus important est de savoir tenir ses promesses. Si un adulte fait une promesse à un enfant, celui-ci doit toujours la tenir pour être respecté. Si un enfant (nous le sommes tous) fait une promesse à PERE, celui-ci se doit de la tenir aussi.

Cet enfant que vous avez reçu un jour dans votre ventre, c’est Dieu qui vous l’a envoyé pour que ce petit puisse vivre la vie que lui-même s’est donnée, en réparation de ses fautes d’une vie antèrieure, dans laquelle honnêteté n’avait pas été son meilleur sentier. Ce petit a donc décidé avec ce PERE qu’il aime, naissance et retour. Et si un jour il s’en est allé, c’est que dans sa conscience, alarme était donnée de rejoindre ce PERE. Mais sachez bien mamans et vous braves papas que seul le corps physique n’est plus. Chaque jour qui passe sur la Terre, votre petit vous accompagne, les yeux pleins de bonheur de vous voir toujours et  les oreilles remplis de vos petits mots d’amour. Ne pleurez pas parents ! Chantez, mettez de la musique, riez, amusez-vous car les larmes dans notre monde nous attristent et nous donnent grands froids. Mettez de petites bougies, nous adorons cela, car de cette petite flamme qui vacille, nous essayons vainement de vous faire signe. Nous sommes d’ailleurs bien heureux de vous dire que nous essayons par quantité de moyens de vous démontrer que nous ne vivons pas très loin. Mais encore faut-il que vous soyez à l’écoute, de tous ces petits signes que nous vous envoyons. Certains sur cette Terre y sont bien sensibles, d’autres essaient de nous contacter. Continuez mes frères, l’espoir a toujours fait vivre les êtres de charité et les bons terriens. Nous arrivons dans ce siècle, que nous voulons de lumière, à un jour peut-être nous rencontrer. Nous serons ce jour-là heureux comme des compères, compères que nous avons toujours été.

Courage et espoir mes frères ! Mais il nous faut tous ensemble ramener la Grande Paix sur Terre car c’est à ce seul titre que notre PERE pourra nous exaucer.

Commentaire de sophy (02/12/2008 11:31) :   Un ptit coucou et un gros bisous ma Djydjy Bonne journée http://sophy.vip-blog.com

Commentaire de labelleeve (03/12/2008 14:32) : Kikou ma Djydjy! Toujours très intéressants et très instructifs, tes écrits! Perso, je pense à ce qu'à dit Jésus, dans son sermon sur la montagne:"Que ton oui soit oui, que ton non soit non". Tes peintures sont très belles! Je te souhaite un bon Mercredi, ma douce amie. Le temps est à la flotte, mais il fait pas très froid, c'est passable. Je te fais tout plein de gros gros bisouxx affectueux. A plus. http://labelleeve.vip-blog.com

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