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UNIVERS OUVRE-TOI chapitre VI
03/12/2008 09:23
L’esprit cosmique
Qu’est-ce que l’esprit cosmique ?
Déjà tout simplement, nous dirons l’esprit de Dieu. Un esprit générateur de toutes choses.
Dans des temps très anciens, au fin fond de l’espace, vivait une poussière bien minuscule pourtant. De cette poussière stagnant dans cet espace, sortit un jour, on ne sait comment un « Esprit de grande intelligence ». C’est es tout cas le souvenir de Dieu. Comment cette poussière se trouvait-elle là ? Personne, oh, non, personne ne pourra l’expliquer. Même pas ce grand Dieu qui pourtant réfléchit à ce que poussière lui avait amené.
Toujours est-il que ce grand esprit se mit à créer. Il se créa d’abord de grande intelligence puis se donna de très grands pouvoirs, car de cet espace de silence, il voulait déjà faire de très grands couloirs. (Père es-tu bien d’accord sur ce que tes ministres écrivent ? Oui, ma chérie, je ne te laisserai pas taper des inepties. Merci Père.)
Comme chacun doit le penser et peut-être le redouter, la solitude n’est pas conductrice de bienfaits. Et pourtant, ce Dieu dans sa grande détresse sentit déjà le besoin de trouver compagnie. L’espace étant immense et bien dans les ténèbres, il ne pouvait en mesurer les limites. Bref au bout d’un temps qu’il ne pouvait compter en années lumière puisque lumière n’existait pas, il commença à bâtir « son corps », mais un corps bien pensant qui le satisferait. Telle une bulle emplie de grande intelligence, il prit tout son temps pour en tirer partie et dans cet effort cérébral dirons-nous, il réussit à créer une seconde poussière.
Baigné déjà dans un sentiment de reconnaissance pour cette créature qui venait là combler son existence, il fit en sorte toujours selon ses pouvoirs d’améliorer son esprit bien pensant. C’est alors que découvrant que poussières pouvaient naître de son « corps » il se créa plus fort, voulant ainsi bien faire pour commencer multiplicité. Il créa donc ce qu’on appellera bien plus tard, pénis et vagin et de ces deux outils en fit reproducteurs. A l’intérieur de LUI beaucoup d’autres ficelles firent de cet esprit, écrin de saveurs. Nous resterons là un peu poétique car l’invention fut si belle qu’elle demande beaux mots et douceurs bien mises ; car petits spermatozoïdes et ovules gracieuses durent pendant des millénaires faire grande tendresse pour apprendre un jour à procréer.
Et voilà notre Dieu, nanti de ces deux frères, mais ne sachant faire utilité. Esprit de grande mouvance et de grande souplesse, il fit l’accord de ces deux amoureux. Sortit alors, dans un jour bien lointain et après bien des peines, une petite poussière en forme de petite sphère. (Je voudrais dire ici, que pour mon exposition au musée des Matelles, PERE avait à l’aide de mes doigts sculpter « son corps ». Et il m’avait expliqué que celui-ci était muni de ce que nous appelons maintenant vagin et pénis. Et c’est par des mouvements ondulatoires qu’il était arrivé à réunir les deux, et ainsi donner naissance à l’œuf. Tout ceci se fit bien entendu en plusieurs millénaires.)
En ce temps là, comment nommer cette chose ?
Peut-être petit œuf ou simplement cellule. Toujours est-il que devant cette chose, émerveillements furent de belles mises. Dieu et sa poussière promise regardèrent longtemps, (si nous pouvons nous exprimer ainsi, car seule vue de l’esprit existait) ce petit « œuf. ». Déjà en ce temps, sentiment de protection gagna nos deux fiancés. Dieu alors essaya avec compassion de fermer cet esprit toujours bien pensant afin de faire abri à ce petit amour. Mais après bien des contorsions et grande perte d’énergie, il se rendit à l’évidence. Seul, il ne pouvait venir en aide à cette petite chose. C’est alors que voyant ou plutôt ressentant l’émoi de sa poussière, il fit grande prouesse et la transforma en oiseau portant de belles ailes. L’oiseau alors couronné par son Dieu, prit ce petit Dieu car pour elle c’en était un et le cacha sous ses ailes. Les deux parents, car parents il y eut, couvèrent ce petit, Dieu de son regard et DEA de ses ailes. Car ce grand oiseau aux plumes couleur de nuit, fut baptisé par ce Dieu du nom de DEA, Dieu au féminin. (Père ! Je ne comprends plus rien !
- N’oublie pas ma chérie que mon corps est conçu avec les « deux sexes » je puis être masculin comme féminin.
- –Mais Alors DEA qui est-elle ?
- Ma partie féminine.
- Donc tu es aussi l’oiseau ?
- –Je suis toute chose créée. Je suis Toi, tu es MOI, comprends-tu ma chérie ? J’essaie PERE. J’essaie.)
Des siècles, des millénaires passèrent avant que ce petit prenne forme d’oiseau car c’est bien ce qui arriva après grandes galères que nos amoureux vécurent dans cet espace. Mais comme grandes vagues se calment, le bonheur arriva quand de ce petit œuf sortit un petit bec, un petit bec d’amour pareil à sa maman. On saura bien plus tard que ce petit oiseau était petite femelle.
Eh, oui ! Mes chers terriens, il vous faudra revoir toutes vos belles histoires. Car les deux premières créations que notre Dieu fit dans ce grand univers, furent bien deux femelles pour engendrer le monde.
Peut-être est-ce pour cela que les hommes dans leur mémoire cosmique ont très grande colère de n’avoir pu s’arroger le droit de procréer. Ils bafouent toutes ces femmes et leur font grandes misères afin inconsciemment de pouvoir se venger.
Les animaux, eux, n’agissent pas de même, ils ont gardé grand respect pour toutes leurs femelles qui leur font beaux petits. Pensez au beau lion, au renard, à l’aigle ! Que direz-vous hommes pour vous disculper de tous ces outrages que vous faîtes subir à ces femmes qui n’ont que pour vertu de vous faire des enfants afin d’en faire lignée.
Ceux sont aux femmes que nous devons fortune, ce sont à elles que vont nos belles pensées, car elles ont su dans ce monde de misères, garder la tête haute pendant bien des années. Des années durant lesquelles, votre soif de conquêtes a anéanti bien des choses dans ce monde où elles ne demandaient que nids, sécurité. Que leur donnez-vous en remerciement de leur dévouement ? Des champs, des champs de mines où leurs enfants perdent leurs pieds, des asiles de fous, encore pour ces petits, car à entendre bombes et fusils, au dessus de leur tête, ils en perdent la raison et viennent s’enfermer dans des mondes où, vous, humains ne pouvaient accéder.
Que faites-vous encore de ces pauvres femmes, qui toute leur vie durant doivent cacher à ce Dieu, leurs cheveux, leur visage et le corps que Dieu leur a pourtant donnés.
Que dire encore, des foyers que vous avez construits bien trop loin des points d’eau ? Elles partent au petit matin, leurs enfants dans le dos, le seau sur leur tête, pour que la famille puisse bien s’abreuver.
Continuerez-vous longtemps cette punition ? Dans vos âmes d’écervelés, ne voyez-vous pas que le monde change et que bientôt ces femmes reprendront les guides de leur vie et celles de leurs enfants ? Ici, nous le voyons très bien arriver et nous applaudissons car de ces femmes emplies de tendresse, viendra un jour, un monde de Paix.
(Comment ne pas les croire, depuis ma médiumnité, peintures, sculptures, poèmes et livres d’enfants, racontent la même histoire.)
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PROCHAIN SPECTACLE DU 1 FEVRIER 2009
02/12/2008 14:12
Bonjour à tous mes amis du blog. Les livres, c'est trés bien mais cela ne nourrit pas nos petits malgaches. Nous continuons à donner nos spectacles pour leur venir en aide. Aider les enfants, telle est ma mission. Les Aléas de la chanson viendront donc le dimanche aprés midi 1 Février 2009 ravir un public que j'espère trés nombreux. Ce spectacle, nous l'avons décidé avec mes compagnons Hugo Cabanes et Renée Calmettes en avant première de la fête des grands mères. En effet, quelle joie d'entendre toutes les belles chansons françaises du répertoire des années de Saint Germain des prés. Si vous passez par là, venez nous aider par votre présence.
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UNIVERS OUVRE-TOI chapitre 5
02/12/2008 10:10
V
Nos âmes et nos corps liés
Nous allons ici décrire l’une des premières toiles que nous avions inspirée à Georgy. Cette toile, intitulée : Nous ne sommes pas des robots sans cœur, a été très difficilement interprété par notre amie. Comme elle se demandait : « Mais qui sont les robots ? Vous ou nous ? Nous avons repris son interrogation pour plus d’explication : Est-ce que l’Univers sert la Terre ou est-ce la Terre qui sert l’Univers ?
Et d’après vous amis ?
Nous allons donc tacher de répondre à cette question sans froisser quiconque. Comme nous vous le disions plus haut, nous sommes deux mondes bien liés. Nous ne pouvons nous passer l’un de l’autre. C’est bien pour cela que nous nous découvrons aussi clairement car nos deux mondes sont en péril.
Nous, âmes célestes, avons été créées dans un deuxième temps. Effectivement, nous vivons parce que vous vivez. Notre Père dans sa première création a fait l’être animal. Cet être animal, Il l’a doté d’esprit. Cet esprit s’échappe après la « mort » du corps physique et rejoint l’Univers ou Au-delà. Mais, les esprits humains qui habitent dès lors l’Univers se réinvestissent auprès des esprits terriens, puisque chaque être naît déjà avec un esprit.
Nous faisons-nous bien comprendre humains ?
En résumé, votre esprit est composé de deux parties : une qui vous est propre et une autre partie qui vient de l’Univers. Votre cerveau, car qui dit esprit, dit cerveau, n’est donc pas seul à fonctionner.
Dans cet esprit que vous recevez de l’univers, il existe plusieurs parties d’esprits ayant appartenues à plusieurs corps. Cela semble compliqué, mais si vous faites un petit dessin, vous comprendrez.
Dans cet esprit multiple univers, va donc pouvoir s’installer, esprits de bonnes âmes comme esprits de mauvaise. Nous dirons comme nous l’avons toujours dit, que dans chaque être humain, se trouve le bien et le mal.
Qui donc pourra agir ?
Vous seul humain, car c’est de votre seul esprit que doit venir la sagesse. Si vous savez bien écouter votre « Moi » intérieur, vous devez prendre les bonnes décisions. Mais pour cela, il faut sans doute pas de précipitation et bien peser le pour et le contre. En définitif le bien et le mal.
Qui l’emportera ?
A vous seul de décider. Donc, bien que nous vous aidions dans vos choix, quelquefois très judicieux, c’est à vous seul qu’incombe la décision.
Vous retrouverez donc déjà un brin d’explication dans les robots de Georgy. L’univers représente donc ce bon Père et la Terre cet enfant. Mais comme tous les enfants, écoutons-nous toujours les conseils de notre père ?
Pourquoi cet univers est muni de blocs et la Terre de souliers ?
Nous dirons là amis, que vous êtes notre mouvement. C’est grâce à vos pensées que nous nous mouvons dans nos vies célestes ; et comprenez déjà, que si nous nous mouvons, nous pouvons vous aider. Entrevoyez-vous bien ce cercle qui sse dessine entre vous et nous ?
Alors vous demanderez-vous : « Nous devons toujours penser à vous ? ». Mais que serez nos vies terrestres, si tous les jours, nous devions penser à tous ces êtres chers et disparus ! C’est ici qu’entre la notion de cerveau cosmique. Une autre toile peinte par Georgy et dont nous lui avons donné explication car elle ne pouvait inventer toute cette théorie.
Lorsque sur la Terre vous perdez une être cher, votre chagrin va durer de longues années selon les sensibilités de chacun, puis les peines s’estomperont, pour arriver à un semblant d’oubli. Nous disons semblant car rien ne s’oublie vraiment. Une photo, une parole, un endroit viendront toujours vous rappeler l’être cher que vous avez aimé. Quelques uns pourtant se plaisent à effacer des moments douloureux.
Donc au bout d’un certain temps, ces âmes vont tomber dans l’oubli. Nos corps alors bien éthérés, se figent dans une immobilité que seul notre esprit tient en vie. Nous sommes à ce stade, beaucoup moins performants que lorsque nous sommes investis de mouvements. Notre Père ayant un amour et une bonté sans égal a donc rassemblé dans son esprit cosmique, esprits de toutes âmes. Ce qui veut dire, qu’il vous suffit terriens de penser à Dieu pour que tous nos esprits se mettent en mouvement. Nous entendons d’ici vos esprits bien trop vifs à dire :
« Alors il faut prier ? »
Non ! Humains, nous vous le répétons, ici pas de prière, simplement des pensées d’amour et de tendresse. Lorsque vous vous levez le matin, les yeux bien ouverts, dites tout simplement : « Bonjour Père et merci de cette belle journée. » Ces mots qui pour vous sont que banalités sont pour nous mille et une lumières qui viennent de l’esprit de la Terre. Car si nous avons notre Esprit cosmique, vous avez-vous aussi, Esprit fort de la Terre. Cet esprit qui récolte comme dans un champ de blé tous les épis de vos âmes fidèles, fidèles à notre Père qui vous a toujours aimés.
Sachez bien maintenant que dans votre Univers, tout ce qui est humains, plaines, mers, forêts, montagnes, lacs et rivières sont imprégnés de l’essence de Dieu. Quant à nous, nous sommes dans vos doigts, vos pieds, mais aussi votre tête. Nous nous servons de vous pour voir, entendre, toucher, déguster. Grâce à vous nous gardons d’une manière subtile, les cinq sens de l’être humain. En fait nous vivons, mais dans l’invisible.
Lorsque nous goûtons à votre eau bien fraiche, nous en délectons toutes les saveurs, vos petits cafés de tous les matins, nous en avons les arômes. Nous participons aussi à vos disputes et vos réconciliations mais bien discrètement pourtant car nous ne voulons en aucune façon faire preuve de voyeurisme ou de curiosité bien déplacée. Nous sommes des spectateurs amusés mais bien tristes de ne pouvoir vous montrer tous les dangers ; car de votre vie de Terre, vous devez en monter tous les paliers. Nous sommes bien là pour vous en montrer les chemins, mettre souvent vos pieds dans les bonnes directions, mais si votre esprit prétend le contraire, nous ne pouvons que vous laisser faire.
Que serez votre vie si nous nous en mêlions ?
Nous avons eu la nôtre ici, sur cette terre, nous avons-nous aussi suivi nos chemins, quelquefois des chemins de très grande poussière qu’il nous a fallu payer en arrivant. Car nous l’avons dit amis de la Terre, Père est bon mais juste à la fois. Il ne veut ici que lumières et non âmes noires. Faites de vos vies des sentiers de clarté, car ici, dans ce monde où nous vivons, vous n’aurez qu’à vous louer de ce Père si bon qui aime ses enfants.
Votre vie est bien là, dans ce grand Univers où toute chose nous est donnée. Vous pourrez revivre sur la Terre, si vous le demandez. Mais quand vous aurez goûté aux délices suprêmes que Dieu nous donne ici en quantité, nous sommes bien certains qu’après votre arrivée, vous n’aurez qu’un désir celui d’y rester. L’amour que vous vivez là-bas sur cette terre n’est rien en comparaison de celui qui vous est donné ici !
Oh, non amis, ce n’est pas une invitation à abréger vos vies ! Non, amis, sachez que le suicide est fortement puni. Vous devez, là sur la terre aller jusqu’au bout de vos vies. Celles que Dieu à décidées pour vous mais aussi celles que vous avez inscrites sur ce grand livre d’or, promesses de rémission.
Nous voulons aussi bien vous dire à ce sujet qu’une personne qui se suiciderait dans l’intention de retrouver quelqu’un dans l’autre monde serait à jamais perdue. Car deux suicidés auront à revenir sur terre et chacun de leur côté.
Que dire encore dans ce très beau chapitre qui parle de nos vies liées. Nous allons encore entretenir ces mères et ces pères dont les enfants se sont envolés.
Tout être sur la Terre est création de Dieu. Ce qui veut dire que nos vies entières lui appartiennent. Vos enfants et vous-mêmes, puisque liliation existe, ne sommes sur terre que pour le servir. Certains le font avec honnêteté, avec foi et sont toujours prêts à Lui donner ce qu’Il désire.
Mais que désire-t-il ce PERE là- haut ?
En avez-vous idées, ici sur cette Terre ?
Il veut tout simplement que les choses se fassent comme chacun le lui a promis. Car pour Lui, le plus important est de savoir tenir ses promesses. Si un adulte fait une promesse à un enfant, celui-ci doit toujours la tenir pour être respecté. Si un enfant (nous le sommes tous) fait une promesse à PERE, celui-ci se doit de la tenir aussi.
Cet enfant que vous avez reçu un jour dans votre ventre, c’est Dieu qui vous l’a envoyé pour que ce petit puisse vivre la vie que lui-même s’est donnée, en réparation de ses fautes d’une vie antèrieure, dans laquelle honnêteté n’avait pas été son meilleur sentier. Ce petit a donc décidé avec ce PERE qu’il aime, naissance et retour. Et si un jour il s’en est allé, c’est que dans sa conscience, alarme était donnée de rejoindre ce PERE. Mais sachez bien mamans et vous braves papas que seul le corps physique n’est plus. Chaque jour qui passe sur la Terre, votre petit vous accompagne, les yeux pleins de bonheur de vous voir toujours et les oreilles remplis de vos petits mots d’amour. Ne pleurez pas parents ! Chantez, mettez de la musique, riez, amusez-vous car les larmes dans notre monde nous attristent et nous donnent grands froids. Mettez de petites bougies, nous adorons cela, car de cette petite flamme qui vacille, nous essayons vainement de vous faire signe. Nous sommes d’ailleurs bien heureux de vous dire que nous essayons par quantité de moyens de vous démontrer que nous ne vivons pas très loin. Mais encore faut-il que vous soyez à l’écoute, de tous ces petits signes que nous vous envoyons. Certains sur cette Terre y sont bien sensibles, d’autres essaient de nous contacter. Continuez mes frères, l’espoir a toujours fait vivre les êtres de charité et les bons terriens. Nous arrivons dans ce siècle, que nous voulons de lumière, à un jour peut-être nous rencontrer. Nous serons ce jour-là heureux comme des compères, compères que nous avons toujours été.
Courage et espoir mes frères ! Mais il nous faut tous ensemble ramener la Grande Paix sur Terre car c’est à ce seul titre que notre PERE pourra nous exaucer.
Commentaire de labelleeve (03/12/2008 14:32) :
Kikou ma Djydjy! Toujours très intéressants et très instructifs, tes
écrits! Perso, je pense à ce qu'à dit Jésus, dans son sermon sur la
montagne:"Que ton oui soit oui, que ton non soit non". Tes peintures sont
très belles! Je te souhaite un bon Mercredi, ma douce amie. Le temps est à
la flotte, mais il fait pas très froid, c'est passable. Je te fais
tout plein de gros gros bisouxx affectueux. A plus.
http://labelleeve.vip-blog.com
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UNIVERS OUVRE-TOI chapitre 4
01/12/2008 10:14
IV
Univers ! Parle
Nous avons longtemps hésité à venir vous parler, Dieu dans sa grande bonté aimait à garder la surprise de ce monde si beau dont il est créateur. Mais devant le danger encouru par vos nombreuses bêtises, nous avons décidé après en avoir délibéré dans les plus hautes sphères, de lever le mystère de ce bel Univers.
Nous nous sentions jusqu’alors bien préservés par cette couche d’ozone qui entoure la Terre. Mais depuis bien des temps, où hommes montent bâtisses, bâtisses d’idioties illimitées, nous nous devons de tirer l’alarme, car par ce trou formé dans le voile protecteur, monte une pollution qui empoisonne nos vies.
Nous encourageons tous ces êtres qui crient : « Pas de nucléaire ». Il faudra bien un jour que les grands les entendent car de ce nucléaire viendra grandes misères pour nos vies liées.
Là est le premier objet de notre première découverte. Le second vient de ce danger aussi grand. Les scientifiques qui se jouent de nos lois, projettent maintenant de piller le soleil, pour faire économies dit-on sur cette terre. Nous avions, il y a un an déjà, peint une toile à Georgy. Jusqu’à ce jour, elle n’en avait pas trouvé interprétation. Devant cet article de presse qui parlait du soleil, elle a très vite compris l’allusion. Car le message est clair, il y va de nos vies comme celle de la planète.
La troisième cause est cause spirituelle. Nous l’avons déjà expliquée dans notre second livre, mais nous pensons qu’il faille insister. Pourquoi ? Bien certainement parce que nous parlons ici aux incroyants : à tous ces hommes et femmes qui ignorent notre monde et qui par un orgueil mal né, pensent que le monde dans lequel ils vivent n’est que monde d’illusions.
A ces hommes et femmes, nous allons donner explications afin qu’ils réfléchissent sur la finalité. Nous n’essaierons pas de convaincre mais si nous arrivons ici à ce que quelques-uns d’entre vous se posent des questions, nous serons heureux d’avoir touché vos consciences. Vous allez pour cela vous munir d’une feuille et d’un crayon. Installez-vous bien et commençons la démonstration.
Tout en bas de votre feuille, dessinez un homme I et une femme O
Nous devrons pour cet exercice admettre (la science l’a prouvé) qu’avant nous, existait un monde animal et que des transmutations de ce monde, est né l’humanité.
? œuf
L’homme et la femme ont une fille (nous aurions pu commencer par un garçon, le sexe n’a pas d’importance pour notre explication). Cette fille devient adulte et va à son tour prendre homme pour avoir un bébé (garçon) ce garçon devenu adulte prendra femme et aura un bébé, ainsi de suite. En remontant le temps, nous arrivons au monde animal.
O bébé
/
I ------------O
Dans ce monde animal la même chaine se produit, nous aurons mâle et femelle. Continuons notre montée, nous arrivons ainsi au monde des dinosaures. Vous n’avez pas été sans remarquer qu’une catégorie de ces dinosaures volait, lourdement, je vous l’accorde. Ces dinosaures étaient une transmutation toujours en remontant le temps de l’oiseau, lequel venait d’un œuf. Mais grande question, D’où venait cet œuf ? La seule et unique présence qui se trouvait dans le néant : Notre PERE à tous.
Réfléchissez amis, depuis des temps anciens, l’homme n’a-t-il pas cherché à retrouver ses ailes ?
Si maintenant, vous voulez connaître la suite, lisez donc notre deuxième livret, nous vous avons tout expliqué. Union de cette Terre avec l’Univers date depuis des millénaires mais les hommes l’ont bien oublié. Il est temps que nous nous retrouvions afin de bien comprendre l’espace qui nous entoure. Le voulez-vous amis ?
Voulez-vous bien admettre que Mort n’existe pas et que nous sommes bien là dans cet Univers à attendre que vos yeux bien vite nous regardent et que vos oreilles entendent cette prière que nous faisons chaque jour pour que vous ne nous oubliez pas.
Car de vos belles pensées, notre monde s’abreuve,
Et de vos souvenirs coulent nos petits matins.
Dans cet espace si pur où nos esprits s’endorment,
Nous avons grand besoin d’être secoués.
Vos larmes nous attristent et vos ondes s’affolent
Lorsqu’elles touchent ici nos corps bien subtils.
Nous aimerions amis avoir sur la robe
Tout un parterre de fleurs et de volubilis,
Pour écouter ici vos rires et vos détresses
Qui font de notre vie des journées de labeur,
Car si vous nous croyez, amis de cette terre,
Nous sommes dans vos doigts depuis des décennies.
La seule chose qui pour nous, compte maintenant
C’est la Paix que bien vite, nous devons ramener
Car de cette Paix, viendra longue jeunesse
Longue jeunesse pour toute l’éternité.
Pensant que ce poème vous aura édifié sur la vie que nous menons ici dans l’Univers, nous espérons humains ne plus vous voir pleurer sur des corps que notre âme a bien déserté. Vos cimetières vides, vos tombeaux bien fleuris ne servent à personne si ce n’est aux souris. Tel le serpent muant dans la campagne, nous laissons sur la Terre tous nos vieux habits. C’est eux et eux seuls qui remplissent les fosses, que vous comblez de terre sous vos grands yeux meurtris.
Humains ! Humains ! Changez vos habitudes, faites de ce départ, un grand moment de joie. Les peuples primitifs là bas dans les forêts l’ont bien compris depuis bien des années. Vous vous dites grandement civilisés, mais non amis, ce sont tous ces petits peuples qui sont proches de la vérité. Ils encensent leurs défunts de mille bouquets de roses, de parfums et de danses endiablées à plaisir. Dieu de là-haut assiste à ces fêtes avec des sourires qui comblent sa vie. Ils montent encore de grands bûchers afin que l’âme s’éclaire dans ce grand labyrinthe et cette âme voyant très grande fête, s’élève sans angoisse vers ce grand firmament.
Nous répondons ici à des êtres de terre qui se demandent toujours si l’incinération est autorisée. Nous vous disons amis, que rien n’est plus purificateur que ce feu que Dieu a envoyé aux hommes, il y a fort longtemps. Nous parlons bien entendu des âmes de la Terre et non de ces feux qui ravagent les forêts. Ici, nous admettrons que c’est « le diable » (mauvais esprits) qui pousse ces pyromanes à détruire la nature. Mais nous dirons aussi à ces écervelés que si sur Terre, ils échappent à la justice, ici, on leur demandera réparation.
Vous ayant instruit sur ce corps de terre, parlons d’un sujet d’actualité. Le don d’organes. Si nous admettons bien que ce corps est inutile dans tous ces caveaux garnissant cimetières, humains vous admettrez très vite que vous pouvez faire grand cadeau de ce corps qui ne sert plus à rien. Mais de cela, nous le savons, il faudra faire grands progrès pour admettre que Dieu ne s’intéresse qu’aux âmes et non à des chemises ou des corps bottés.
Le don de soi est le plus beau cadeau qu’on puisse faire avant de quitter cette terre. Mais nous devons bien insister : l’être donneur doit avoir rendu son dernier souffle. Ce qui nous amène à parler « euthanasie ».
Ceux qui s’insurgent très fort sur cette pratique ont mille fois raison. Seul Dieu peut s’arroger ce droit. Sachez que l’être choisit sa vie et sa mort à la fois. Vous ne devez en aucun cas abréger celle-ci. Abréger les souffrances, oui, vous avez le droit et d’ailleurs, ici, dans ce grand ciel, nous travaillons à trouver le remède de partir sans souffrance. Vous connaitrez bientôt toute notre médecine celle que nous faisons passer dans le cerveau des hommes de sciences. Nous donnerons recherches et belles solutions. Vous voyez bien amis que nous sommes toujours Terre et Univers, deux mondes unis. Même si nos corps sont d’éther, nos esprits fonctionnent toujours grâce à vous car de nos corps de chair que Dieu a créés, nous prenons le meilleur pour nous élever. Mais de cette élévation, vous, humains de la Terre profitez bien aussi, car de nos recherches viennent chez vous de grands progrès.
Mais si progrès il y a, l’homme doit en faire choix, car certains d’entre eux conduisent à la perte. Il faut savoir ici, sur cette Terre, se contenter de ce qui est donné et ne pas vouloir toujours trop avancer. Car à trop avancer, on oublie l’essentiel : Faire de tous les êtres, des frères de la Terre ayant toute équité. Nous en arrivons dans ce siècle à autant de misérables que dans les temps anciens. C’est dire ici, comme l’homme fait de sa vie, un éternel recommencement.
Parlons de certains frères qui au lieu d’aider à redonner sur terre une vie décente à tous ces malheureux, se complaisent à dire grandes prières dans des endroits déserts ou entre quatre murs. Nous ne sommes plus en des temps, où la prière nourrissait les plus grands, nous voulons ici que chaque homme prenne grande responsabilité à relever nos mondes. Que dire de cet être qui laisse famille, pour s’isoler afin de trouver Dieu ? Que dire encore de sa façon de vivre, aller voir ses frères et faire mendicité ! Quelle honte mes frères ! Quelle honte ! Il y a ici, grande lâcheté. Car quand on veut s’approcher de ce Père qui là-haut regarde ses enfants, ce n’est pas dans un coin à faire des prières qu’on côtoie son image et son grand sentiment.
Ces hommes et ces femmes qui se disent de Dieu devraient lever leurs manches comme notre bonne Thérésa et aller par le monde aider ces malheureux. Leurs aides alors seraient plus efficaces et certainement bénies de Dieu. C’est cette voie amis, que vous devez bien suivre et non ces chemins qui conduisent vers les sphères, les sphères qui ici regorgent de fidèles qui ne cessent de répéter toutes leurs balivernes.
A ce propos amis, méfiez-vous de ces voix qui viennent dans vos oreilles réciter religions. Elles ne sauront parler que clarté, prières et lumières, car dans le néant, elles n’ont pas su encore se détacher de ces mots, qu’elles répétaient souvent.
La prière amis, c’est le bien qu’on peut faire à chaque être qui accompagne chaque jour votre vie. Croyez-vous que Coluche faisait grandes prières ? Non, mes amis, bien que sa verve n’ait pas été toujours de notre goût, il a su amener grandes lumières dans des cœurs malheureux qui lui doivent la vie. Nous saluons Coluche, qui dans ce grand ciel fait partie de ces êtres qui garde encore sur vous, un regard de lumière, d’amour, de compassion. Son œuvre continuera encore bien longtemps car dans cette terre où traîne l’indifférence, vous n’êtes pas prêts à gommer la misère.
Il nous faut encore parler de ces gens malhonnêtes qui profitent de ces aides pour se remplir les poches. Car dans ces restos que l’on dit du cœur, le cœur de certains est prés du porte-feuilles. La décence voudrait que l’on ne parlât pas, mais nous, qui voyons de là-haut, croyez-nous, nos esprits se soulèvent à voir comment humains, pourtant bien garnis, pillent encore ces réserves de nourriture. Quels sont donc ces êtres, qui ensuite bien cachés, vont prier notre Dieu de laver leurs péchés ?
Est-ce cela frères, que vous appelez, religions ?
Mais de quelle religion êtes-vous ? Est-ce Dieu qui apprend à ses enfants à voler, à tuer, à tromper son ami ?
Père ! Dites-leur, dites à toutes ces vies, que si la chanson continue, vous donnerez refrain. Car ici, dans notre univers, univers de lumière, nous ne voulons pas de ces âmes qui prient et tuent leurs frères.
Vous grands terroristes, kamikazes en herbe, que croyez-vous trouver ici ? Pensez-vous que Dieu votre Père bénira vos exploits sanguinaires ? Après quoi courez-vous, encore « Religion » ? Mais de quelle religion faites-vous bien partie ? Croyez-vous que ce Père, ce Dieu de grande bonté, décorera vos âmes ? Croyez-vous trouver ici, récompenses et honneurs ? Non, mes frères, vous irez comme beaucoup depuis des millénaires réapprendre la valeur de la VIE. Vous connaitrez alors la teneur des souffrances que vous avez infligées, tandis que tous ces êtres que vous avez tués, seront remplis de félicités.
Vous avez oublié qu’ici, sur la Terre, vous n’étiez que de passage. Un passage au cours duquel notre Père observe bien tous vos agissements. Le tri est bien à faire entre les bons et les méchants et nous, ministres de notre Père, nous nous en chargeons. Alors voyez-vous frères, votre calvaire va peut-être ici commencer, car, dans cet Univers vous n’avez rien à espérer. Notre Père est un Dieu de grande justice, il punit les méchants et récompense les bons, c’est peut-être la seule vérité inscrite dans la bible, le coran ou tout autre livre qui parle religion. Nous n’en faisons pas le compte, car tant de bêtises ont été dites, qu’il faudrait d’autres millénaires pour toutes les rectifier.
Vous allez peut-être nous trouver bien sévères, comme le pense notre petite Georgy qui tape encore ces lignes sans en compter les heures. Mais l’honnêteté est notre mise et nous devons mettre en garde ces âmes qui sur cette terre ont pris des chemins que Dieu n’a pas tracés.
En ce qui concerne Jésus, bien des récits ont été interprétés donnant à tous ces ecclésiastiques, main mise sur leurs pauvres sujets. Jésus qu’on se le dise n’a été qu’un messager de Dieu comme l’est notre petite Georgy et beaucoup d’autres êtres depuis des décennies. C’est un homme qui a vécu une vie de famille, a eu des enfants comme tout un chacun. Mais cette vérité est difficile à dire quand depuis bien longtemps on encense sa vie.
Dieu est ici, le seul Maître, et c’est de LUI qu’il faut attendre bonté car il est le seul, nous disons bien le seul à gérer nos deux mondes dans cette éternité. Nous, qui sommes ses ministres, avons très grande vérité sur ce Père, ce Dieu de toutes ces sphères qu’il a bien voulu créées. Car sans cet amour qu’il a pour les êtres, nos vies seraient encore que grand néant. Mais l’amour qu’il portait à sa reine ne pouvait résister à lui faire « enfant ». Pourquoi ce mot enfant est-il entre guillemets ? Parce que enfant était bel oiseau. Un oiseau que sa force a là-bas engendré, pour que l’humanité fasse un jour naissance.
Vous comprenez amis, que cette vérité est loin des balivernes qu’on a pu raconter. L’histoire est bien simple, l’homme a pris le jour après des millénaires, des millénaires d’amour.
Dieu pensait que ce beau sentiment prendrait priorité ici, dans ce bas monde, mais si amour emplit vos très nombreuses vies, vous avez su un jour en faire marchandage. Et dans ce siècle que nous vivons, que sont devenues les valeurs de ce beau sentiment ? Des valeurs que bien des animaux récrieraient, car pour vous Amour n’est plus signe de loyauté. On bafoue cet Amour en le servant de viols, d’adultères ou de pédophilie. On va même à payer pour en avoir le goût, à faire des kilomètres, traverser océans, pour salir ces petits malheureux qui n’ont pour seul espoir, de remplir leur panse.
Croyez-vous que cela peut durer ? Certains ne sont plus dignes d’être appelé « hommes ». Vous pensiez dans ce corps, ressembler à Dieu ? Peut-être dans des temps bien lointains son visage se reflétait dans celui de vos frères, mais en ce siècle où fous et dépravés font légions, Dieu garde le regard de l’oiseau, du poisson mais évite bien de ressembler à l’homme.
Nous allons malgré ce, tenter de l’apaiser car dans sa grande colère à voir sa Terre brûler, brûlures d’esprits, brûlures d’esprits cosmiques, il a grande envie de changer de « sujets ». Voyant tous ces enfants partir à la dérive, nous lui avons promis de bien accélérer le grand nettoyage sur cette Terre. Amis, frères, nous ne voulons pas vous affoler, tant qu’il y a vie, il y a espoir, mais de cette mince chance, quand ferez-vous amis ?
Il va falloir dès lors vous mettre à l’ouvrage car le temps que Dieu nous a octroyé est imparti dans ce siècle. Si vous croyez que nous nous amusons, vous en serez bien vite à marquer tous les points. Tous ceux qui parlent cataclysmes, catastrophes, ne sont pas très loin de la vérité. Une vérité qui vous semble impossible, car de vos vies, êtes bien protégés, vous semble-t-il ! Ne vous y fiez pas, le but à atteindre est la très grande Paix, la Paix universelle que Père nous a demandée. Vous comprenez bien pourquoi il est urgent que nos deux mondes bougent car si rien ne se fait dans un laps de temps, c’est votre Terre bien malgré nous qui bougera pour la dernière fois.
Nous ne voulons pas comme Nostradamus voir sur cette Terre toujours grandes catastrophes ! Mais il faut avouer que dans ses prédictions, beaucoup d’évènements sont déjà arrivés.
Nous implorons donc notre Père là haut pour que Georgy puisse vous bouger. Arrivera-t-elle avec son entêtement à ouvrir vos oreilles pour que vous l’écoutiez ? Nous sommes là, suivons son chemin. Nous la couvons comme un petit œuf pour qu’elle ne brise pas sa ténacité. Elle vous apporte tous nos messages dans les pièces que nous lui écrivons ainsi que les tableaux que nous lui peignons. Tiendra-t-elle le coup devant ce manque d’écoute ? Nous verrons chers amis. Si l’abandon arrive comme nous le craignons, alors il en sera de vos vies un chapelet de misères car sur cette terre où tout sera détruit, les pauvres âmes qui auront été épargnées, devront reconstruire un monde de beauté.
C’est pourquoi notre Djy s’adresse aux enfants pour que leur avenir diffère bien du vôtre. Vous avez déjà commencé à tourner ces chères petites têtes vers des horizons bien sombres, des horizons dont vous avez posées les premières fondations. Il est grand temps que l’Univers se charge de ces petits en perdition. Car à vous voir agir toujours de là-haut, nous pensons que l’argent mène encore votre vie et que de ces enfants qui demandent tendresse, vous en ferez encore objets de grand commerce.
Nous pensons arrivés car nous sommes obstinés ainsi que cette sœur que nous avons appelée. Elle aime les enfants et leur souhaite grande vie, une vie pleine d’amour et grande foi aussi en ce très bon Père qui saura ramener chez tous ces beaux enfants, respect et grande Paix.
Vous, qui en ces temps serez peut-être ici, applaudiraient cette sœur qui donne sa vie, sa retraite qu’elle ne voulait pas sans projet, car disait-elle : « je ne pourrais pas vivre ». Père a exaucé son amour de la vie. Il lui a fait cadeau d’une belle union, une union du cœur dont elle a fait logo. Vous qui lisez ce livre en vous demandant peut-être ; »Pourquoi elle et non la voisine ? » Vous l’apprendrez un jour, dans des temps plus futures car Elle aussi, ignore ce qui lui vaut une si belle distinction. Nous ne pouvons que dire ici, que Georgy, notre petite Djy a été bien choisie depuis des décennies. Il faudra donc se contenter de cette explication. Si votre cœur ou bien votre conscience se rapproche de cette femme qu’on aime par-dessus tout, c’est que, amis, vous avez su bien voir le regard de Dieu qui éclaire son aura. Car de cette femme si belle dans son âme, nous avons tous envie qu’elle reste notre sœur.
(Je voudrais dire ici, que tant d’éloges me rendent mal à l’aise. Je voulais sauter le paragraphe, mais Père m’a intimé d’en enlever aucun mot. J’ai donc obéi.)
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UNIVERS OUVRE-TOI chapitre 3
30/11/2008 10:34
III
Les lois de la Nature
Vaste sujet quand on pense à ce qu’était la nature il y a des millénaires et ce qu’elle est devenue de nos jours.
Ô ma Terre toi, si belle
Toi que Dieu, amant de la Nature, avait dessiné de ses doigts ! Que reste-t-il de ces beaux pâturages, de ces étendues vertes où l’oiseau se cachait ? Qu’en est-il de ces mers où par vents et marées, les hommes remplissaient toujours plus belles nasses ? Dame Nature, toi en qui tout chantait, recueillerons-nous dès lors que larmes de tristesse ? Ton maître de là-haut réclame réparations de tous ces méfaits portés sur cette Terre. Nous sommes là, bien désolés de voir brûler toutes tes belles forêts. L’argent mène toujours ce monde, promoteurs, constructeurs, n’en ont-ils pas assez des espaces déjà bien entamés ? Nous savons qu’ici la colère gronde, nous savons que Nature reprendra tous ses droits car de ce bel amour bafoué par les hommes naîtra un jour, indéniable combat.
Dans ce monde lointain où Eau était maitresse, les animaux savaient en tirer leur pitance. Ils avaient la pluie et le soleil comme maîtres et savaient conserver leurs graines en abondance. Mais l’homme est arrivé en pillant la nature, il s’est mis à détruire ce joyau tant aimé. Comme de ces actes, ils ne pouvaient tirer gros bénéfices, il a inventé les armes pour mieux tuer. C’est alors que Nature s’est encore engourdie dans des failles si profondes où ne poussent que racines. Les arbres dénudés, les rivières bien grises, les hommes ont alors encombré les chemins et là, en inventant multiples religions, ils ont encore bâti très grandes constructions sans se demander si Dieu dans sa candeur permettait ces rouages. Mais que leur importait à ces hommes sans vergogne, ils avaient maintenant leurs sanctuaires d’idoles. Alors pour ces idoles, il a encore fallu tuer : hommes femmes enfants, pour se faire respecter. Mais où va-t-on dans ce monde d’athées ? Savent-ils bien que seul Dieu en est le Maître, et de LUI seul dépend décisions ? Mais qu’en reste-t-il de ce Dieu dans leur tête ? Un petit Père bien sage et bien conciliant.
Ah ! Humains, garnissez vos gamelles (on notera le vocabulaire du siècle dernier) car de courir ainsi derrière votre perte, un jour viendra où elle devancera vos pas égarés par tant de misère. Vous vous croyez bien à l’abri dans vos petites maisons, vos petits paradis. Rien ! Dites-vous ne pourra nous arriver. Vous avez vos alarmes et vos gros cadenas, mais vous pourrez fermer ici toutes vos maisons, quand souffle le cyclone, les eaux empotent en mer, oreillers et fortune. Ainsi racontera notre Dame Nature dans son dernier couplet des Droits de la Nature. Elle se rappellera à vos bons souvenirs, vous, qui l’avez déviée et souvent maltraitée, elle vous montrera comment trouver son lit. Peut-être que ce jour, vous l’ayant annoncé, vous ne penserez plus météo déréglée. Peut-être que vos têtes, vos esprits non pensants, se diront ce jour là :
« Mais Dieu a-t-il raison ?
Existe-t-il ?
Est-ce LUI le Maître et nous simples valets ?
Mais ce jour là amis, serez-vous toujours là, pour le constater ? Où serez-vous enfouis sous des gravas de pierres, ces mêmes pierres que vous avez scellées pour bien vous protéger !
Vous avez toujours ri de toutes les prophéties, vous avez empoisonné Platon en son temps, vous avez aussi nié pas mal d’évidences de cette pauvre Jeanne que vous avez brûlée. Oh ! Bien sûr direz-vous, ce n’était pas notre siècle ? Mais croyez-vous amis que le monde a changé ? Que ferez-vous des avertissements que l’on vous donne ici sur toutes ces lignes. Vous ne pourrez pas dire que le ciel vous ignore ! Inventez autre choses ! Mais trouvez vite les mots car dans des temps bien proches vous pourrez constater qu’on ne vous a pas leurrés.
(J’ajoute un mot pour dire qu’effectivement depuis 2003 comme ils nous l’annonçaient, les cyclones se sont multipliés ainsi que les feux de forêts et nous avons connu aussi les tsunamis.)
J’aime cet Univers autant que j’aime ma Terre et pour garder ces mondes bien liés, je suis prête à donner toute ma loyauté. J’ai une mission ici sur cette Terre, c’est Dieu qui m’en a priée, je lui obéis car il est mon seul Maître. Qu’importe les qualificatifs dont on m’affublera, je sais que ma vie je la dois à ce PERE et je promets ici de répondre toujours à son attente.
Commentaire de labelleeve (30/11/2008 14:12) :
Kikou ma Djydjy! J'adore cet article, car c'est le sujet que nous
avons dans les conversations avec ma fille ... Nous disons que "la nature
se venge", mais nous savons que tout cela était écrit: les tremblements de
terre, la famine,les tsunamis, etc ... Quand j'entends parler les
savants, je rigole doucement: il faut dire que ces gens-là, sont assez
cartésiens! Ils ne voient que le réchauffement de la terre, eux, alors
qu'il y a 14 ans, avant que je ne perde mon père, lui qui lisait
énormément, et avait une intelligence assez aïgue, et pertinente, m'a
toujours dit que nous allions vers une période glacière! Je te souhaite un
très bon Dimanche, mon amie, et je te fais tout plein de gros gros bisouxx
affectueux. A plus.
http://labelleeve.vip-blog.com
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Commentaire de labelleeve (30/11/2008 14:40) :
Kikou ma Djydy, c'est encore moi ... Non, je vais pas sur ton blog
parce que je m'ennuie, j'y vais parce qu'il
m'intéresse. Moi aussi, j'ai l'air austère, mais on dit
toujours que ce sont les personnes qui ont "l'air pas aimable qui sont
les plus gentilles", alors ... POur ce qui concerne Yoyo, lorsque tu es sur
son blog, sur la page d'accueil, tu cliques sur "Forum", c'est ça
son 2ème blog, c'est "Johnnyla légende". J'espère que tu vas
toujours bien et que tu pourras y entrer. Je te refais tout plein de
bisouxx. A plus, mon amie.
http://labelleeve.vip-blog.com
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Commentaire de Barbara (30/11/2008 20:18) :
Bonsoir…Djydjy...il est magnifique ton texte comme tout les autre et je
suis tout a fait d'accord avec toi nous avons tous une mission sur
cette terre....je viens te souhaiter une bonne soirée et une douce nuit
plein de beaux rêves…bonne semaine…Bisous…avec toute mon amitié…Barbara
 aimer_ la_ vie
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Commentaire de cristalinette13 (01/12/2008 07:58) :
Bonjour, et bonne continuation dans ta mission divine : elle ne peut que
faire du bien ...
Bizouxxx à toi :)
http://cristalinette13.vip-blog.com/
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