| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://djydjy.vip-blog.com


AU NOM DU CIEL
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

AU NOM DU CIEL

VIP-Blog de djydjy
  • 571 articles publiés
  • 646 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 06/06/2008 09:04
    Modifié : 20/12/2012 10:33

    Fille (67 ans)
    Origine : Sud de la France
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Mon Livre ] [ Mes récits ] [ Mes poèmes ] [ Mes peintures ] [ Livres d'enfants ] [ Vivre autrement ] [ Mon Association ] [ Spectacles ]


     

    DE LA TENDRESSE EN PARTAGE

    17/06/2008 18:15

    DE LA TENDRESSE EN PARTAGE


    Bonjour mes amis

    Je vois que quelques uns ont fait le pas de venir sur mon nouveau blog. Celui de UMPRE marche toujours car tous les jours le nombre des visiteurs augmentent, bon et bien comme dit le PERE, ma chérie, tu ne dois laisser tomber personne. Alors je fais marcher les deux en même temps. Pour ce qui est de mon premier livre "Courrier pour des inconnus" vous vous êtes certainement rendus compte que les pages avaient subi un petit dérèglement. Est-ce ce petit hasard  qui veut vous faire travailler les méninges ? Qui sait ? Qui sait ?

    Je travaille en ce moment à la relecture de mon second livre que je vous transmets chapitre par chapitre à la cadence d'un tous les 3 jours afin que vous ayez bien le temps de lire. Vous n'allez pas vous ennuyer mes amis. Moi même et mon esprit écrivain avec qui je travaille prenons de sacrés fous rires. Il est vrai que les évènements que j'"ai vécu à 20 ans, me font extrëmement rire maintenant. Comme quoi la vieillesse nous rend cool. J'ai aimé ma vie malgré mes souffrances. Je crois qu'il fallait que je vive toutes ces péripéties. Cela m'a rendu forte. J'ai pardonné à mon père et ma mère car j'ai bien compris que "c'était la vie que je m'étais choisie". Et je dis MERCI à PERE car il ne m'a jamais abandonné. Il m'a donné un petit ressort magique qui m'a permis toujours de refaire surface quand je touchais le creux de la vague. ce ressort, je le garde précieusement, peut-être me servira-t-il pour amener l'humanité à l'essentiel : DIEU

    Pour répondre à Sophie, j'ai essayé d'éditer mes livres, je suis allée à Paris, mais on veut trop en faire un livre commercial. Alors je l'offre de bon coeur à tous les internautes. L'important pour moi, ce ne sont pas les bénéfices que je pourrais en retirer, ce sont les messages que je passe à ceux qui veulent les comprendre et les accepter.

    Bisous à tout le monde.





     
     


     

    Histoires d'Animaux

    16/06/2008 13:54

    Histoires d'Animaux


     2

     

      

     

      Histoires d'animaux

     

     

     

     

     

     
                            

     

     

     

     

     

     

     

     

     1 Shalimar

                      

    Shalimar

     

     

    Elle arriva chez moi, fermée dans un panier,

    Silencieuse et tranquille comme une demoiselle.

    Elle plongea ses yeux au fond de mes prunelles,

    Tout en cherchant réponse à son grand désespoir.

     

    Mon fils qui partait dans des îles lointaines,

    M'avait donné la garde de cette petite chatte.

    C'est donc dans ma maison qui s'ouvrait grande pour elle,

    Qu'elle fit bien méfiante ses tous premiers pas.

     

    D'abord bien distante, craignant mes doigts agiles,

    Elle fit des ronrons pour se faire caresser.

    Le soir, dans ma chambre où mes pas me menaient,

    Elle n'hésitait point à venir se coucher.

     

    Elle bondissait alors d'un saut bien assuré

    Sur la belle couette qui m'enveloppait,

    Et là, bien allongée, comme une  princesse,

    Elle lançait ronflements et miaulements feutrés.

     

    Shalimar, tel est son nom, un nom de  parfum

    Qui garnit les vitrines des plus beaux magasins.

    Ses yeux, deux très grandes pupilles

    Dont le vert émeraude brille dans le lointain.

     

    Sa fourrure golden pousse comme des épis

    Qui se veulent couchés sur une terre glaise.

    Et ses pattes, plus belles qu'une panthère

    Se chaussent de bottes aux semelles arrondies.

     

    Elle est très belle cette grande chasseresse,

    Papillons, criquets, lézards sont sa gourmandise,

    Mais comme dans les salons, où petits fours excellent,

    Elles torturent ses proies sur mes douillets tapis.

     

    Ah ! Shalimar ma belle,

    Tu as su me charmer et choisir ta maison,

    Car il faut dire, qu'après bien des trêves,

    Elle n'a jamais voulu rejoindre son patron.

     

    Je suis bien sa seule maîtresse,

    Celle qui lui voue un grand amour,

    Celle qui partage avec sa belle

    Tous les instants les plus fous.

     

                                         

    2003

     

     

     A ma petite Shalimar

     

    Les lumières s'éteignent

    La lune s'arrondit.

    Dans le jardin d'hiver

    Les branches sont meurtries.

     

    Un froid humide règne

    Dans la maison blottie

    Au milieu des tourelles

    Où le lierre a laissé

    Le long de la façade,

    Des lacets tortueux

    De couleur rougeâtre.

     

    Personne, plus de bruit.

    La nuit a recouvert

    De son tulle bleu sombre

    La nature habitée

    De paysages sans ombre.

     

    Seule dans l'opacité,

    Un persan malheureux

    Recherche sa maîtresse

    Les yeux luisants d'amour

    Et le regard peureux.

     

     

    2003
            
    Le chien et l'oiseau

     

    Oh pardon ! Petit oiseau du ciel,

    Je sais que dans mon cœur

    Il y a tant d'amour !

    Mais vois-tu, les hommes

    N'ont pas compris que

    Nous faisions tous deux

    Corps avec la nature.

    Ils m'ont forcé à te pourchasser

    Toi, dont le chant ravit mes oreilles.

    Avec leurs fusils qu'ils pointent vers toi,

    Ils arrachent dans mon cœur

    Toute cette tendresse que je ressens pour toi.

    Pardon, petit oiseau, pardon !

    J'espère qu'un jour viendra

    Où les animaux reprendront la nature

    Et que nous, pourrons revivre en paix,

    Toi, dans ton joli ciel, ton ciel d'azur

    Et moi, dans mon jardin à te regarder.

     

     

     

     

     

     

     

                                                            2004

     

    Les petits moineaux

     

     

    Hier matin, un grand sac de pain attendait au fond de ma cuisine, que deux mains bien expertes le transforment en généreuse pâtée.

     

    Sachant que le temps prenait force froidure et que les petits oiseaux manqueraient de graines, je pris le pain dans le sac plastique et le passai très vite sous la belle fontaine.

     

    Dehors, les moineaux mais bien aussi les pies, attendaient patiemment que le dîner se fasse car à travers les vitres de ma grande cuisine, ils voyaient bien mes mains préparer ce repas.

     

    C'est alors que munie d'une belle assiette, j'allai d'un pas alerte jusqu'au fond du jardin et là, dans un geste de grande maîtresse, envoyai tout le pain à travers les herbes.

     

    Aussitôt mille oiseaux venant de toutes parts, se mirent comme des fous à picorer le pain, mais alors qu'ils livraient entre eux grande bataille, une pie s'approcha le bec déjà ouvert.

     

    Elle fonça sur ces pauvres petits moineaux et de sa queue bien majestueuse envoya balader tout ce menu fretin pour seule, engloutir bon repas et dessert.

     

    Avez-vous deviné, vous qui lisez les fables, qui sont ces petits moineaux et cette vilaine pie ! Croyez-vous qu'après de longues batailles, nous pourrons remplacer les méchants… par les gentils ?

     

     

                                                    2005
      Le repas de Shalimar

     

     

     

    Ce matin en préparant mon petit déjeuner,

    Un très gros papillon est venu me frôler.

    Afin de lui rendre sa belle indépendance,

    J'ai ouvert ma porte pour qu'il puisse s'en aller.

     

    Mais non ! Ce papillon aux ailes vrombissantes

    Dédaigna la sortie et s'envola plus loin.

    "Ah, mon pauvre chéri ! Si Shalimar te chope

    Elle fera de ton corps un fabuleux festin.

     

    Tu as choisi, c'est bien, je respecte ce choix,

    Alors vole dans la maison et régale-toi."

    Alors que je buvais mon délectable breuvage,

    J'entendis cavalcade venant de mon couloir.

     

    Et oui ! Ma chatte endormie, là-bas dans la chambre,

    Etait en train de faire la chasse au papillon.

    Celui-ci affolé, vint frapper à la vitre

    En pensant bien très fort qu'on la lui ouvrirait,

     

    Mais c'était bien trop tard pour ce petit insecte,

    Car deux yeux magnifiques l'avaient bien repéré.

    De ses pattes de velours, elle fonça sur la bête

    Et d'un geste étudié, l'écrasa un ptit peu.

     

    Le pauvre papillon sentant sa mort prochaine

    Alla chercher femelle qui s'était bien cachée.

    Et là, notre chatte, découvrant cette aubaine

    Se dit :"Merci Dieu pour ce très bon repas.

     

    Je croyais n'avoir de ma belle maîtresse

    Juste un menu fretin pour petit déjeuner,

     Et voilà que le ciel, ce ciel que je vénère,

    M'envoie sur un plateau le couple tout entier."

     

    Ne dit-on pas ici sur cette terre

    Que chacun cherche mort au détour du chemin ?

    Car enfin, la porte était grande ouverte,

    Pourquoi ne s'est-il pas envolé ce matin ?

     

    Peut-être est-ce par amour qu'il a voulu rester ?

    Peut-être voulait-il partir avec sa belle ?

    La seule consolation qu'il en ait retirée

    C'est d'être dévoré par une belle princesse.

     

     

     

     

                                            2003
     Shalimar, mon petit amour

     

     

    Elle m'accompagne toujours dans mes grandes solitudes.

    Elle me regarde sans cesse de ses yeux émeraude.

    Elle se frotte à moi en différentes postures

    Pour attirer à elle un geste de ma main chaude.

     

    Elle cherche toujours mes pas dans la grande cuisine,

    S'enivre des parfums qui chatouillent ses moustaches,

    Elle saute aussi souvent près des viandes qui marinent

    Afin d'en mieux sentir l'odeur qui s'en détache.

     

    Le soir, quand elle me voit habillée en coquette,

    Elle comprend très vite que soirée sera longue

    Car elle sait très bien que si talons claquettent,

    Ce n'est pas pour rester assise dans une chaise longue.

     

    Alors pour me donner remords d'évasion,

    Elle me tourne le dos et s'emplit de tristesse

    Et moi, de ce grand cœur qui l'aime avec passion,

    Je regrette déjà ma petite princesse.

     

    Mais dans la nuit, alors que ma démarche résonne,

    Elle dresse les oreilles et miaule un petit peu

    Puis dans une posture qu'elle veut  grande baronne,

    Elle me toise dignement et retourne près du feu.

     

    Je me dirige alors telle une belle coquette

    Faire un brin de toilette et brosser mes cheveux

    Puis vivement me plonge sous ma douillette couette,

    Afin de bien voler vers d'innombrables cieux.

    Alors, dans le noir de toutes lumières éteintes,

    Je sens deux petites pattes venir s'accrocher

    Au rebord de mon lit qui fait comme une empreinte

    Et dans laquelle elle plonge pour bien me retrouver.

     

     

     

                          2004
          
    Le lézard

     

     

    Il passe insouciant sous les yeux de Princesse

    S'arrête dans le jardin pour grignoter un peu

    Puis pensant qu'il est temps de faire grande sieste

    Choisit coin au soleil et étale sa queue.

     

    Alors comme un félin se délectant d'avance,

    La chatte bien patiente mesurant cet enjeu,

    Pose une patte, puis l'autre ainsi que dans une danse,

    Et s'approche du festin qui cuit à petit feu.

     

    Le lézard heureux de ce temps magnifique

    Ferme les yeux doucement pour goûter au bonheur,

    Mais alors que ses rêves deviennent fantastiques

    La tigresse se jette et tranche le dormeur.

     

     

    Triomphante et bien fière de ce combat facile,

    Elle emporte sa proie vers des coins plus douillets,

    Là, sur le tapis, près des coussins de coutil,

    Elle s'amuse du lézard, dès lors handicapé.

     

    Si la queue n'est plus là, les yeux restent ouverts,

    Profitant du dédain que la belle fait de lui,

    Il court vers le sofa et se glisse comme un ver

    Sous le sommier métal qui l'abrite en ami.

     

    La belle alors frustrée de son jouet chéri,

    Renifle de toutes parts l'odeur de son festin,

    Mais ne pouvant atteindre l'objet de son délit

    Retourne au soleil et attend le déclin.                     2005

    3

     

     

     

    Amour d'enfants

     

     

     

     

     


     Enfants ! Je vous aime

     

     

    Ồ enfant ! Toi qui es le bourgeon de la tige,

    Toi qui renais sur Terre quand le vieillard s'éteint,

    Toi qui donnes ton cœur en faisant grands prodiges

    Regarde bien le monde et prends d'autres chemins.

     

    Toi que j'ai bien instruit durant de longues années,

    Toi qui avais pour moi, cette fine tendresse,

    Je voudrais que tes yeux regardent la clarté

    Et amènent dans ton cœur une douce sagesse.

     

    Des hommes, dans ce siècle où la fureur gronde

    Veulent bâtir bien haut des murailles de haine,

    Tu es encore petit, mais tu peux en une ronde

    Donner grand coup de queue comme une grosse baleine.

     

    Refuse le racisme, l'indifférence aussi,

    Sur les bancs de l'école, reste toujours joyeux,

    Apprends à secourir tes camarades aussi

    Quand ils ont du chagrin tout au fond de leurs yeux.

     

    Tu deviendras alors un enfant responsable,

    Un enfant de la Terre dans ce grand Univers,

    Un enfant qui tiendra toujours la tête droite

    En disant bien aux autres:"Je ne fais pas la guerre".

     

    La planète sera comme un grand tournesol,

    Elle tournera sa face vers le plus beau soleil :

    Celui qui brillera dans le cœur des hommes

    Qui auront bien compris les lois de l'essentiel.      2004


    A mon petit Sylvain

     

     

     

     

    Toi qu'on a accueilli comme un petit poupon,

    Tu as depuis huit ans enchanté nos matins.

    Rusé, un peu malin, tu sais charmer longtemps

    Les êtres qui t'entourent ici, dans la maison.

    Dans ta soif de connaître un peu toutes les choses,

    Tu t'attelles très vite dans chaque activité

    Mais à peine entrevue, tu demandes une pause

    Car de ton petit corps, tu es vite fatigué.

     

    Sylvain, mon petit Sylvain, la vie est un torrent

    Qu'il te faudra dompter, toujours au cours du temps

    Si tu veux en cette Terre refaire tout un monde.

    Il faudra bien apprendre à te lever matin.

     

    Patience, mon poussin, patience,

    Tes neuf ans arrivent au grand galop,


    Commentaire de bellisima-veronika (21/09/2008 13:23) :

    j'ai eu beaucoup de mal à te retrouver,la une chance tu est connecter..;merci de ton passage...bon dimanche,j'espere qu'il t'apporteras beaucoup de joie et de bonheur...belli




     
     


     

    Arrêt: Planète Terre

    16/06/2008 13:46

    Arrêt: Planète Terre


                                                                    Georgy ROD

     

    Arrêt

     

    Planète Terre

     

    Recueils de poèmes pour grands et petits.

     

     

     

     






    A la mémoire des poètes envolés mais non disparus.

    A mon fils Christophe et à tous mes amis qui m'aident et me soutiennent dans cette seconde vie.

     

                                                                                                                                            G R

     

     

     

    Préface

    Nul n'est sensé savoir de quoi demain sera fait, mais chacun de nous peut œuvrer pour que notre avenir s'améliore. J'ai regroupé ici quelques poèmes qui me paraissent utiles pour ouvrir le chemin.

     

    Je ne suis pas grand poète, mes rimes sont souvent imparfaites et mes vers quelquefois estropiés mais mon inspiration qui vient de ce grand ciel a permis à mon âme de tout vous raconter avec générosité et grand amour.

                                                                  G. ROD

     

     

     

     

     

     

     

     

     
    1 Le coin des enfants

     

             

     
      Zone de Texte:
      Dame Nature


    Dame Nature se plaint.

    Avez-vous vu ma robe?

    Mes volants de satin

    Ont perdu leurs couleurs.
    Au lieu d'un joli vert
    Le noir me grignote.
    Mes rubans bleus aussi
                                   Se couvrent de purin.
                                    Mais que vous ai-je fait,
                                    Pour me vêtir ainsi?

                                   N'aimiez vous pas ma robe?

                                  Enfants ! Mes chers petits !

                                             Prenez soin de moi,

                                     Faites vite la lessive,

                                    Ravivez mes couleurs!

                                         Au bal, je vais ce soir

                                           Retrouver mon ami.

     

     

     

     

     

     
    Le soleil

     

     

     

     

     

     

    Le ciel est bleu,

    Le ciel est beau,

    Pourquoi le salir

    Avec tant de fumées ?

    Sur mon dessin, j'ai mis

    Un soleil tout jaune.

    Va-t-il un jour ternir ?

    Va-t-il disparaître ?

    Moi, je suis petit,

    Mais dites-le aux hommes

    Que pour l'avenir

    Il doit rester jaune

    Car mon dessin

    Sera plus joli.

     

     

     

     

     

     

                           
      La petite vieille

     

     

     

     

    Elle était là, assise

    Dans le creux de sa chaise,

    Son tablier noir

    Lui tombant aux chevilles.

    Elle ne pouvait plus

    Mettre ses lunettes

    Car ses yeux étaient

    Toujours, toujours humides.

    Elle pleurait

    La pauvre grand-mère,

    La télé

    Lui prenait ses petits :

    Ne plus parler,

    Ne plus compter,

    Comment finirait-elle sa vie ?

    Mais Marc, son tout petit

    Caressa son oreille

    En lui disant :

    "Grand-mère ! La télé

    C'est fini.

    Je veux que revienne

    Le temps, Grand-mère,

    Où nous étions réunis".

     

     

     

                                                   2002
      Amour d'enfant

     

     

    Un enfant est venu

     Me prendre par la main.

    C'était une main noire,

     Mais c'était mon copain.

    Nous avions tous les deux

    Les mêmes baskets,

    Les mêmes pantalons

    Et les mêmes chaussettes.

     

    Dans nos yeux aussi,

     Le même regard

     Tourné vers l'avenir.

     

    Devant le miroir blanc,

    Nous vîmes alors passer

    Un magicien heureux.

                                     Il avait dans ses mains,

    A la place des doigts,

    Dix jolis petits nains

    Qui chantaient à tue-tête :

     

    "Regardez-nous amis,

    Ce soir on fait la fête.

    On a toutes les couleurs

    Que le ciel a choisies

    Pour faire de la Terre

    Une belle palette".

     

     

                                                            2002
                                     L'oiseau

     

     

    J'ai vu par la fenêtre

    Passer un échassier.

     

    Il avait dans son bec

    Un petit fil doré.

     

    Sous son poitrail velu,

    Un petit rond brillait :

     

    C'était une goutte de sang

    Que l'homme lui avait fait.

     

    Pourquoi ? Pourquoi Monsieur

    Avez-vous tiré ?

     

    Je venais sur la Terre

    Un peu me promener.

     

    Comment vais-je faire

    Si je suis blessé ?

     

    Mes petits, ma femelle

    M'attendent pour dîner.

     

     

     

                                          2002
      La cigarette

     

     

     

     

     

    J'ai le nez qui se bouche

    La gorge qui toussote,

    Maman ! Papa ! Amis !

    Cessez de fumer

    Cela m'empoisonne !

     

    Vous, partis,

    Que va-t-il me rester ?

     

    De nombreux cendriers

    Où les mégots foisonnent,

    De nombreux cendriers

    Qui me feront pleurer.

     

     

     

     

     

     

     

     

                                          2002
      Maman

     

     

     

     

    Maman ! Tu es la plus jolie.

    Ton bel amour si grand, ravit toute ma vie.

    Tu es pour moi, un havre de très grande tendresse

    Où je me réfugie pour prendre tes caresses.

     

    Tu es comme cette fleur qui anime la toile,

    Un grand cœur de douceur pour apaiser mes peines.

    "Maman, Maman !" Ce doux mot bien chéri

    Je le dirai toujours jusqu'au bout de ma vie.

     

    Maman ! Maman ! Je t'aime.

    Je t'aime d'un amour qui n'a pas de mesure

    Car du plus loin qu'il soit, ma mémoire portera

    Cet amour si fort qui nous lie ici-bas.

     

    Ecoute maman ! Ecoute !

    JE T'AIME

     

     

     

     

     

                            2002
       Le clown

     

     

    Habillé de haillons, la casquette de travers,

    Il marche sur le sol, soufflant dans sa trompette.

    Il ne demande jamais où on va le mener

    Mais il suit bien toujours le grand chemin tracé.

     

    Le nez toujours en l'air, la bouche bien coquette,

    Il débite salades pour faire rire les enfants.

    Et entre ses deux pieds qui font des galipettes,

    Il s'étale par terre dans un enchantement.

     

    Il a dans ses deux mains, deux gros gants qui le gênent,

    Et pourtant de ses doigts, il parle un petit peu

    A ces êtres qui sont là et souvent le retiennent

    Pour rire encore une fois avant d'entrer chez eux.

     

    Les lumières s'éteignent, la magie est finie,

    Il enlève sa casquette et son gros nez aussi.

    Sous ses haillons de cirque que son père a portés,

    Il écoute le rire de ce père bien aimé

     

    Qui un soir de fête sous les lampions brisés,

    A quitté cette scène pour aller retrouver

    Des enfants de cette Terre qui s'étaient envolés,

    Dans ce ciel si bleu, pour rejoindre leurs aînés.

     

     

     

     

                                                        2002


                                       L'esclave

     

     

    Dans ces contrées lointaines où la terre se craquelle

    Les hommes sans scrupule appellent les enfants,

    Se servent de leurs bras encore bien trop frêles

    Et emplissent leurs caisses de la sueur des fronts.

     

    Ces pauvres enfants qui n'ont pour seul bagage,

    Un bagage bien trop lourd à traîner dans la vie,

    Taillent dans ces carrières de grands blocs de marbre

    Pour garnir en des lieux les tombeaux des plus riches.

     

    Comment peut-on avoir aussi grande impudence,

    A bien servir ces âmes du sang de ces petits,

    Car il faut dire là, comme dans les romances,

    Que ces pieux Draculas se nourrissent de leur vie.

     

    Ces enfants qui espèrent comme tous les enfants,

    Avoir instruction et assiettes bien remplies

    Auront donné leur vie à des pierres sans nom

    Car l'âme blanche s'envole dès la première nuit.

     

     

     

    En hommage à tous ces enfants qui travaillent et meurent dans les carrières pour donner aux hommes des tombeaux bien plus riches.

     

     

                                                            2004

                      Message aux enfants de la Terre

     

     

     

     

     

     


                          

     

     

     

          

     

     

     

     

     

     

     

           L'arbre

     

     

    "Regarde mon enfant comme la Terre serait belle

    Si l'homme avait gardé tous ses trésors cachés !

    Mais il a pollué les mers et les rivières

    Pour gagner belles richesses dont il veut se parer.

     

    L'arbre dans ses racines qui blanchissent de peur

    Attend la bûcheron qui viendra le couper,

    Ou l'homme inconscient qui dans une grande fureur, Allume de grands feux pour bien le consumer.

     

    L'arbre alors s'étouffe et privé d'oxygène

    Se met à perdre ses feuilles comme meurent les poissons Les poissons qui nageaient dans cette jolie mer

    Que les hommes sans v




     
     


     

    ROSE ET LE PAPILLON

    15/06/2008 12:05

    ROSE ET LE PAPILLON


    Papillon de mon coeur, Papillon de mon âme,
    Papillon des chemins qui dirigent ma vie,
    Tu m'as conté fleurette pour me donner nectar
    Afin que je m'envole vers d'autres paradis.


    Commentaire de felinec31 (25/07/2008 09:18) :

    Hebergeur d'images

    ''La quantité se regarde et la qualité s' apprécie.''

    Je te souhaite une bonne journée

    et un excellent week-end

    Bisous  

    http://felinec31.vip-blog.com

    Commentaire de claire005 (01/09/2008 19:07) :

    Kikou ! et oui nous voici déjà en septembre ! que j’aimerai être une petite fée et d’un coup de baguette magique ralentir ce temps qui passe si vite ! C’est a croire que plus les années passent plus elles sont pressées de se terminer ! elles se conforment au progrès elles aussi !elles ont pris le tgv et laissé le train a vapeur a la gare !j'ai lu ton récit mais je trouve que les coms ont mieux leur place dans d'autres articles qu'elle triste fin pour ton frére et quel courage il a eu ainsi que son épouse tres dur de perdre une percsonne que l'on aime et encore plus dur dans ces conditions Bonne semaine et rentrée a toutes et tous Amitié et bisous pour toi Claire http://claire005.vip-blog.com Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit




     
     


     

    UN ETRANGE VOYAGE

    15/06/2008 11:57

    UN ETRANGE VOYAGE


    Le Bonheur


    Le bonheur est un petit lutin qui remue ses clochettes.
    Inutile de courir pour entendre les sons.
    Il se cache quelquefois au bout de nos baguettes
    Que nous tenons bien droites dans toutes nos maisons.


    Commentaire de BELLISIMA veronika (29/07/2008 22:25) :

    bonsoir...le bonheur quand on le tien il vaut mieux l'entretenir sinon adieu...en faite c'est quoi le bonheur??bizzzzz

    http://bellisima.vip-blog.com



     
     

    Début | Page précédente | 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact djydjy ]

    © VIP Blog - Signaler un abus